grosse erreur

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C'est vraiment pas la façon la plus sexy de me le demander mais ça le mérite d'être clair.

Tp: tu as tout ce qui faut?

Neito: je ne serais pas venu ici sinon. 

Je me lève et le prends par la main, il me suit et on pénètre dans ma chambre.
Je commence à me déshabiller en le regardant.
Ses yeux deviennent gros et commence lui aussi à se dénuder.
Je m'allonge dos sur mon lit, il vient me rejoindre et me chevauche. Il glisse ses doigts dans mon entre jambe, me masse délicatement.
Il n'est pas très doué, mais la première fois avec un nouveau partenaire c'est un peu stressant et on ne sait jamais comment s'y prendre de toute façon.
Je fais mine de gémir pour l'aider un peu à augmenter la sensation de ce que j'aime.

Il sort le préservatif et l'installe.
Quoi déjà, mais il a presque pas eu de préliminaire.

Il me pénètre quand-même doucement, il essaie de se mettre à l'aise, sans me faire mal.
Un fois bien entré il commence à me piner. Il n'y avait rien d'excitant, c'était ordinaire, une baise pour baisé, je lève mes jambes sur son torse et je commence à me masturber en même temps, il ne faut pas que sa soit juste monsieur qui ai du plaisir.
Mais je pense que ça lui a un peu trop excité et il est venu presque instantané.

Génial, déjà terminé, j'espère qu'il y aura une round #2, parce qu'aussi non c'est vraiment décevant. Mais je le vois  sortir du lit et se rhabiller.

Neito: ha c'était une superbe soirée, je te texte demain d'accord.

Et je le vois prendre la poudre d'escampette me laissant là nue sur mon lit insatisfaite...
Je sors du lit et j'entends sa voiture partir, je vérifie qu'il est bien parti et barre la porte.
J'apporte ma coupe de vin non terminé dans ma chambre et puis merde, je ne vais pas resté comme ça, je me termine à la main.

Une fois l'orgasme atteint, je reprends mon souffle et attends que la dopamine fasse effet, je me glisse sous mes couverture et prend mon cell, je regarde Instagram et je vois de multiples photos de bakugo avec pleins de femmes différentes et il a presque l'air d'aimer sa soirée. Je prends une gorgée de vin et elle passe de travers, bon je pense que je vais me coucher.

Je reçois soudainement un texto de Neito.

"Salut c'était agréable comme soirée, mais je pense qu'on va en rester là, ne le prend pas trop mal, je vais être honnête je voulais juste me taper la coéquipière de bakugo. J'espère que tu ne m'en veux pas trop. Bonne soirée."

Ho le trou de cul, j'étais enragé, hors de moi, mais des larmes coulaient tout seuls. Je l'insultais continuellement, j'avais envie de hurler, je me sentais souillée, utilisée, je suis juste une maudite conne!

Je reçois soudainement un autre message mais il vient de bakugo cette fois. J'essuie mes larmes.

"Tu as tu un autre livre à me suggérer la weirdo?"

Je sors du lit et me dirige à la bibliothèque et je prends une photo d'un roman.

"Le grand cahier d'Agatha cristoff, histoire trash c'est deux jumeaux qui essaie de survivre à la seconde guerre mondiale"

"Ouais sa m'intéresse, je passe demain."

"Entendu, vers quelle heure?"

"Pourquoi tu es occupé?"

"Non, c'était juste pour savoir, ta soirée ce passe bien?"

"Correct... Toi?"

"Moyen pour être honnête."

"Ok."

Il m'écrit un ok avec point... Ok c'est sur qu'il s'en fou de moi et de comment je vais, il fait juste ça pour être poli.

"Bonne nuit."

"Ouais bye."

J'essaie de m'endormir mais je me sens plus mal que d'autres choses. Mon one night avec Neito et bakugo qui me fait sentir encore plus mal.
Faut vraiment que je me fasse des amis ou que j'essaie de reprendre contact avec mes amis d'enfance, parce que je suis vraiment seule.

.

Sa sonne à la porte, je me réveille je regarde l'heure il est 9h du matin.
Je met mon peignoir et je vais ouvrir.
Bakugo est dans le cadre de porte, visiblement un peu gêné de ma tenu.

Tp: ho tu veux ton livre c'est vrai, je vais aller le chercher, tu es matinal?

Je me retourne et part à la bibliothèque et en me retournant il me prend le bras, il entre et ferme la porte derrière lui.

Bakugo: tu as pleurée?

Tp: hein quoi?

Bakugo: as-tu pleuré? Tu as les yeux boursouflés et rouge.

Tp: ho non c'est rien, c'est mon regard matinal.

C'est quoi son problème, hier il s'en foutait complètement et la ma vie lui intéresse.

Bakugo: si tu le dis.

Je quitte son emprise et va chercher le roman dans l'étagère. Je lui donne.

Bakugo : merci

Mais je vois qu'il ne quitte pas ma demeure et reste dans l'entrée de mon salon.

Tp: tu veux me dire quelque chose?

Il hésite

Bakugo: hier tu étais avec Neito, et là on dirait que tu as pleuré et tu m'as texter que ta soirée était moyenne, il c'est passé quelque chose?

Tp: en quoi maintenant ça t'intéresse? Hier ça ne t'intéressais pas, tu m'as répondu ok... Pourquoi tu veux savoir ça sa maintenant?

Bakugo: bah je savais pas quoi dire. On va être partenaire pendant un mois. Va falloir que tu me dise si ya de quoi qui va pas. 

Tp: vrai

Je m'assoie sur le sofa.

Tp: je me sens mal, j'ai couché avec Neito hier il après être parti il m'a dit que c'était juste pour se taper la  coéquipière de bakugo.

Bakugo: je vais lui éclaté sa face, le défoncer...
Hurle-til

Tp: arrête voyons. Ça te concerne même pas, c'était mon choix, je le savais un peu que c'était juste une baise d'un soir, mais j'aurais pas penser qu'il avait se genre d'idée en tête.

Voyant que j'avais très mauvaise mine.

Bakugo: aller habille toi on sort.

Tp: hein quoi? Faire quoi?

Bakugo: j'ai dit on sort, habille toi la devergondée.

Je m'habille et je passe la journée avec bakugo.
On c'est promené sur sa moto toute la journée. On est allé à la bibliothèque, marché à la rivière, prendre une bière sur une terrasse avec des natchos et on termine la soirée avec une crème glacée.

Il a pas beaucoup parler, mais à tout fait pour me changer les idées.
Il a vraiment été attentionné, même s'il m'insultait constamment.
Je pense qu'il est de nature colérique, quelqu'un de passionné et à sang chaud. Il n'a aucun filtre et c'est pour ça qu'il parle peu. J'apprends tranquillement à le connaître.

Il me raccompagne chez moi et s'arrête.
Je descends de son engin et je lui redonne son casque.

Tp : merci bakugo, c'était très gentil de ta part, tu m'as beaucoup aidé aujourd'hui pour me changer les idées. Merci

Bakugo: y'a pas de quoi. Prochaine fois texte moi ok.

Tp: sans faute.

Il démarre sa moto et part, puis je rentre chez moi, très heureuse de ma journée

bakuxreader 🍋🌶️ Nouveau PartenaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant