la carapace fracassée

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Mon réveil matin hurle mon réveil. Mes yeux endolorie par mes larmes nocturne s'ouvrent mais implorent de resté clos. Malheureusement le travail ne doit pas se faire attendre et c'est ce soir la première patrouille avec bakugo après notre lascivité interrompu. Je dois faire l'épicerie et quelques courses avant ma patrouille.

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Je me rend au travail. Il n'y a aucun texto sur mon cellulaire de mon partenaire. Pour la première fois depuis notre première rencontre je me rends à l'ouvrage par mes propres moyens. Une étrange sensation de liberté et d'indépendance émane de mon cerveau.

Arrivé au travail je me rend dans le bureau de bakugo. Déjà pleins de collègues féminins son postées devant sa porte. J'essai de me faufilée entre elles, bakugo m'aperçois.

Tp: faut aller patrouillé, tu as notre destination?

Bakugo: ouais ont y va. Bye les filles.

Les demoiselles font une mine de tristesse, de colère et de jalousie lorsque bakugo vient me rejoindre.

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Il a conduit le long du trajet pour se rendre à notre lieu de patrouille. Aucun mot ne sorti de sa bouche, ni de la mienne d'ailleur. Peut être par malaise, par tristesse ou simplement par manque de discussion. Notre lieu de travail était un cartier d'usine de toute sorte. À cette heure tardive il n'y à que de rares employés de sanitation, de maintenance et quelques agents de sécurités.

Le temps passe plus lentement que la vitesse d'un escargot sur des psychostimulants. Encore aucun mot ne sorti de sa cavité buccale et le silence met insupportable.

Tp: est-ce que sa va? Je sais que tu n'es pas très bavard en général, mais on c'est encore rien dit.

Bakugo: j'ai pas vraiment de quoi à te dire en ce moment. 

Tp: je suis désolée pour hier, mais je n'avais pas le choix d'engager la conversation après ce que Yuga m'a dit.

Mais qu'est ce qui me prend d'en reparler. Retourné le couteau dans la plaie, me faire souffrir encore une fois, à moins que ça me fasse du bien et me soulage. Grevé l'abcès.
Il reste fermé comme une huître.

Tp: je pense que après que Kirishima va être revenu je vais quitter l'agence.

Il tourna sont visage vers le mien et me dévisageais.

Tp: tu sais j'ai conscience de ce que tu m'as dit, que ce n'était qu'une histoire d'un soir, mais je vois bien quand ce moment il y a un malaise entre nous. Et tant que je serais à l'agence ça va être dur de t'oublier.

Bakugo: de m'oublier?

J'ai mal au coeur, je transpire et je ressens le sentiment de vomir toute mes pensées pour m'en débarrasser. Pour qu'elles arrêtent de me ronger de l'intérieur.

Tp: je dois t'avouer que je me suis attaché à toi avec le temps. J'ai découvert le toi derrière la brute que tu laisse paraître. Et la nuit dernière à été une des plus belles nuits que j'ai eu. Mais hier était probablement une des pires. Vue que tu m'as dit que ce n'était qu'une histoire d'un soir, j'ai dû faire mon deuil de notre relation. C'était en même temps mon choix à cause du règlement. Mais on a franchi une étape et on ne peut revenir en arrière. C'est pourquoi je dois quitter l'agence. Pour oublié.

Il ne dit rien, mais il fait une mine songeur. Je le laisse se perdre dans ses pensées. Moi j'ai dit tout ce que j'avais à dire. Je me suis vidé le coeur et pour la première fois j'ai exprimé mes sentiments envers lui et j'en suis soulagée. Je me sens plus légère. Je sais qu'on ne peut revenir en arrière, mais au moins la barrière est brisée et le malaise est percé. Peut être que sa va améliorer notre partenariat temporaire.

bakuxreader 🍋🌶️ Nouveau PartenaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant