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cette soirée de rêve

Le ciel était sombre, chargé de ces petits cumulus noir, car la nuit nous enveloppait. On roule vers ma demeure.

Bakugo: as-tu faim? Moi j'ai faim.

Tp: on pourrait commandé à mangé?

Bakugo: ok on fait ça

Et je vois qu'il tourne et ne va pas dans la direction de mon logis.

On roule un petit 10 min et on arrive devant une petite maison simple et mignonne. Modeste mais moderne.
Je réalise que c'est sa demeure.

Il me fait entré dans sa tanière, épuré, propre et très simple. Je découvre une immense bibliothèque dans le salon.

Bakugo: fait comme chez toi, tu veux un chandail et un pantalon de jogging? Tu vas pas rester en robe de cocktail toute la soirée.

Surprise par les mots, chandail, jogging et toute la soirée...
Je vais rester ici toute la soirée? Je pensais qu'on allait juste mangé.
Peut être qu'il est tannée de faire de la route aussi. Il ne cesse de me trimballer à gauche et à droite. En même temps il n'est pas obligé c'est lui qui me l'impose. Je me ressaisi et j'accepte. Il part dans sa chambre et reviens quelques minutes après. Il c'est également mis une tenu confortable. Oui oui LA dite tenu qui impose tout retenu pour le genre qui est attiré par un homme portant un jogging gris une taille trop grande et un chandail ample noir. J'essaie à tout pris de détourner le regard de se bas qui fait valsé un membre que je détecte qui est plus grand que je ne pensais. Je détache ma vue de cette vision exquise et sort de ma pensée quand il me dit qu'il a également mis des vêtements sur son lit à mon égard.

J'entre dans sa chambre et découvre la chambre du numéro #3. Chambre classique d'homme qui à les moyens mais n'exagère pas sur le mobilier.
Literie en soie grise et rouge assortis avec un sofa en coin et je constate que "la preuve" le roman qui suit "le grand cahier" d'Agatha Cristoff y est déposé avec un signet qui dépasse de plus de la moitié du livre.
Mes futurs vêtements sont posés sur le lit.
Une paire de jogging noir et un chandail manche longue noir également avec des bas de laines.
Décidément il a pensé à tout. Je retire ma robe et enfile le pantalon, je repense à son jogging et à son organe qui se baladait aisément dans le tissu souple.
Je me tappe le visage. Voyons ressaisi toi! Dit toi le une dernière fois... il ne m'intéresse pas, je ne l'intéresse pas, ont est que des collègues, bien qu'il soit gentil malgré tout et attentionné tout ça ne veut rien dire. Bien que finalement Momo est avec Todoroki et que je pensais que je n'avais plus de chance, pensé que j'en avais une, ce n'est pas envisageable.

Je termines de m'habiller et sort de sa chambre. Les vêtements sont tellement confortable on dirait ma garde robe de mes vendredi soir avec un verre de vin à la main et un roman dans l'autre.

On dirait que Dynamight à lu dans mes pensées, car il est en train de servir deux coupes de vin.
Je commences à paniquer un peu de l'intérieur, parce que pour moi en ce moment précis ça pourrait être ma date de rêve, mais je ne veux pas me faire de faux espoirs et être déçu, car je ne connais pas ses intentions et je me redis dans ma tête les mêmes phrases que je me suis dite 5 mins plus tôt... Qu'un collègue de travail.

Il me tend la coupe bordeau qui me rappelle ses yeux et nos doigts ses frôlent et je le remercie pour ce verre.
J'approche le nectar à mes lèvre et y sens une arôme de cerise et de framboise. Je porte le liquide dans mon œsophage et goûte une acidité vive, il est mis-corsé et découvre qu'il est bien généreux en bouche.

Tp: il est très bon et merci pour les vêtements.

Bakugo: tu veux mangé quoi?

Tp: j'en ai aucune idée.