CHAPITRE 10 -J

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PDV Josh

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PDV Josh

Putain! Je l'ai revue!

Revue merde!

Ses yeux sont encore plus bleus, sa voix... Putain quand elle m'a parlé juste avant dans les couloirs, je mourrai d'envie de l'embrasser avec  fougue et de lui faire découvrir des choses pas très catholique.

Elle m'a vu, et elle ne veut plus me voir. Elle veut que je la laisse tranquille.

Merde....

Ça ne devait pas du tout se passer comme ça...

Quand je suis rentré dans la salle ce matin, j'étais fatigué, de mauvaise humeur.

J'ai balayé la salle du regard juste pour vérifier comme ça...

Et j'ai cru rêver en l'apercevant, encore plus belle qu'avant, les cheveux coupés au niveau de sa poitrine, lui donnant un air un peu plus femme.

Elle étais plus maquillée qu'avant et était encore plus irrésistible.

Putain.

Elle est belle... Magnifique.

Je ne veux même pas imaginer le nombre de mecs qui louchent sur elle comme de vieux pervers, comme des gros porcs.

Mon cœur souffrait quand j'ai vu qu'elle m'évitait déjà. Son regard n'a même pas regardé une seule fois dans ma direction... Elle ne cherchait même à voir qui venait d'entrer...

Alors que moi, je n'ai pas cessé de regarder dans sa direction.

Je l'ai admiré tout le long du cours, c'est bien plus passionnant que d'écouter les paroles barbantes du prof de philo.

Et quand j'ai appris que je devais faire un travail avec elle, mon cœur a fait plusieurs sauts dans ma poitrine.

Une excellente raison de me rapprocher à nouveau d'elle...

Tout d'un coup, le prof me paraissait plus cool...

J'entre dans un amphithéâtre pour ma seconde heure de cours.

Je regarde attentivement la salle du regard.

Mon entrée à fait tourner tous les regards vers moi.

Les gens, dans mon nouveau monde, sont hypocrites, sont faux, et ils sont là pour toi, pour la personne qu'ils veulent que tu sois. Ils t'aiment pour que tu sois une passerelle vers la gloire pour eux. Si du jour au lendemain, tu échouais tu t'écroulais, tu perdais toutes réputation tout prestige, ils partiraient te laissant seul comme une vieille merde....

Les gens en ont rien à branler de toi. C'est une sorte d'effet de groupe. Les gens influents t'aiment, tout le monde t'aime. J'avoue que je dois un peu ma gloire et Marc et à Paola...

La racine carrée de l'hiverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant