CHAPITRE 35 -A

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NDA : Le média au 🎶 :) I think u re not ready :)

PDV Ambre

La fête bat son plein, la plupart des gens sont déjà morts, éteints

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La fête bat son plein, la plupart des gens sont déjà morts, éteints. Il doit être 23h30, ou quelque chose comme ça.

Bientôt, les aiguilles des horloges se remettront à zéro, et nous seront le 1 janvier.

A peu près au centre de la piste de danse, je me trémousse avec Evy et Vanessa, ayant déjà ingurgité une bonne dose d'alcool, les images de ma tête ne sont plus tout à fait claires.

La musique assourdissante, encore plus avec le taux de vodka dans mon sang, me tape sur les nerfs.

Les regards curieux des autres également. Ceux qui se posent sur moi murmurant des commentaires surpris, de leur salive venimeuse. Ceux qui crachent sans remords sur moi, sur mon soi disant changement. Ceux qui, si je m'approcherais d'eux, me souriraient faussement, me complimentant hypocritement.

- Les filles ! Je les interpelle. Je meurs de chaud et je suis crevée, je vais près du bar ou des canapés.

Evy me fait un pouce, incapable de parler plus fort que le bouquant émis par le son des sonos.

M'éloignant enfin de tout ce bruit et de ce monde, je m'apprête à aller vers les canapés, ayant trouver une petite place vide, quand une vision des plus atroces m'apparait.

Josh.

Avec une fille à moitié nu, sa tenue ne comportant qu'une jupe fluo et un débardeur blanc, lui caressant le torse un sourire aguicheur sur les lèvres, sa bouche embrassant chaque parcelle de sa mâchoire.

Je stoppe tout mouvement, dégoutée par cette vue.

Lui n'a pas l'air des plus ravi, si j'en distingue bien sa tête affichant une grimace de dégout.

De ses mains, il tente de se libérer de la prise de la fille accrochée telle un sangsue à lui. En vain, elle est plutôt bien accrochée.

Je le vois d'où je suis, lui gueuler quelques paroles inaudibles, mais qui ont l'air plutôt sympathiques. Puis, la repoussant plus fort cette fois, elle finit par basculer en arrière, sans manquer de tomber.

Se levant précipitamment, Josh croise enfin mon regard, et son expression devient toute blanche.

- Ambre... C'est vraiment pas ce que tu crois... Je... Elle est venue comme ça, et me lâchait plus... Lance-t-il nerveusement.

- Tu n'as pas à te justifier. Je le coupe. Tu fais ce que tu veux...

Il tente de s'approcher de moi, tendant la main comme pour effleurer une dernière fois ma peau. Mais instinctivement, mes pas reculent alors que les siens avancent.

- Non. Non... J'ai besoin d'être un peu seule.

Et sur ses mots, je pars déjà vers l'opposée de la salle.

La racine carrée de l'hiverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant