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- Ce soir là, l'orage allait éclater, nous avons retrouvez Lucenzo près d'une forêt. Il était avec des dizaines d'hommes, j'ai trouver ça étrange.

"
- Qu'est ce qu'on fait là? Lui demandais-je.

- Faire taire une bonne fois pour toute ces bonne femmes !

- Tu est sérieux ?

- Oui, c'est putes doivent crever.

- Écoute Lucenzo...

- Donattelo c'est moi qui dirige, Pablo qu'à tu vue ?

- Elles sont toutes là avec toute leurs gamines.

- Parfait, ajoute-t-il en souriant. On n'y va"

- Tout c'est enchaîner très vite, ils pénétré dans la propriété du côté de la forêt, les femmes criait, les autres et moi nous sommes rester en retrait, sa tirait de partout, et je voyait les femmes tomber comme des mouches, nous étions pétrifié, je tenait mon arme contre moi, je ne pouvais pas m'en servir, c'était impossible, ils on mis le feu à la maison, puis se sont regrouper dans l'entrée, j'ai commencé a marcher entre les cadavres et je l'ai vue, Iris, elle n'était pas morte sur le coup comme les autres.
Je me suis baisser et je lui ai pris la main.

"
- S'il te plaît Donattelo, je t'en pris. Aide moi.

- Je... je.

- Je t'en pris, fait ça pour moi.

Une larme coule le long de sa joue.

- D'accord.

- Sauve mes bébés.

- Promi. "

- J'ai pointée mon arme sur elle et j'ai tirer, dit-il en pleurant. Si ils l'avait retrouvez vivante je ne sais pas ce qu'ils en aurait fait, j'ai fait ça pour la sauver. Je n'avais pas le choix.

Donattelo essuie ses yeux remplis de larmes, je pose mon regard sur Morgann, ses yeux son embuer, enfin nous sommes toute ému, nos mères son morte comme si elles était des moins que rien.

- Nous avons retrouvez Lucenzo et les autres, vous étiez toute réunis au centre, les hommes vous regardait comme du betailles, c'est là que j'ai compris, on c'était fait avoir, elles avait raison depuis le début, mes frères et moi nous nous sommes regarder et nous avons compris se qu'ils allait faire de vous. Il en était hors de questions.

"
- Qu'est ce qu'on va faire d'elles ? Demandais-je naïvement.

- J'ai bien ma petite idée.

Lucenzo nous regarde en souriant.

- Nous avons un marché assez lucratif, dit-il. On pourra en tirer de bon prix et faire cinquante cinquante.

- Non, il en ai hors de questions !

- Alors que veux tu en faire ?

- Les tuer, dis-je froidement.

- Fait comme tu veux, mais quel gâchis.

Lucenzo pose son regard sur les gamines.

- Va les tuez dans la forêt, je ne veux pas voir ça.

- Très bien.

Mes frères et moi nous nous emparons des gamines, elles cries, hurle, j'en ai mal au cœur, nous sommes obliger de passer par le jardin où se trouve toutes les personnes qu'elles aimait, je m'en veux. Nous sommes dans la forêt, les filles en face de nous.

- Allez vous en ! Dis-je

Mais elle ne bouge pas.

- Partez ! Dis-je. Vite !

Elles finissent par se mettre à courir. Je sort mon arme."

- Vous avez tirer dans le sol, dis-je. Je vous ai regarder. Vous êtes tomber à genoux et un de vos amis a poser une main sur votre épaule.

- J'ai tirer quatre coups de feu. Après quelques minutes nous sommes retourner à l'entrée mais il n'y avait plus personnes, avant que les pompiers arrivent nous sommes retourné dans la forêt et nous vous avons chercher mais on ne vous a jamais trouvez.

- Nous connaissions la forêt par cœur, ajoute Laura, nous avons trouvez refuge chez une bonne amie de nos mères, quand elle nous a vue elle a tout de suite compris.

- Je m'en veux tellement si vous saviez, dit-il en pleure. Quand nous sommes rentrés ce soir là, mon père a tout de suite compris, on en a jamais reparler, il m'a fallu des jours pour m'en remettre, je n'ai jamais rien dit a personnes, ce qui c'est passer se soir là nous l'avons garder pour nous. Je vous ai chercher par tout mais vous aviez disparu. Alors on a repris notre vie comme ci de rien n'était, nous avons plus jamais fait affaires avec les Hiros et avons mener une guerre contre leurs business. J'ai rencontré ta mère quelques semaines après, dit-il en regardant son second fils. Je ne lui ai jamais rien dit.

Je renifle bruyamment.

- Merci de nous l'avoir dit, dis-je. Il est temps que nous nous en allions.

Nous nous levons, les larmes de l'homme coulent toujours.

- Il est plus de trois heures du matin, vous allez passez la nuit ici, nous dit Dean.

Ils se sont tous levez. Annie prend Donattelo dans ses bras.

- Nous réglerons tout ça demain, nous avons tous besoin de dormir, termine par dire Dean.

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