Du jour au lendemain, ces enfants sont devenus orphelins, les prenant par surprise. Ils sont devenus orphelins, tous avec une raison différente. Et ce n'est pas toujours simple de s'en remettre. Mais d'autres le vivent bien.
Au fil des chapitres, o...
Comme tous les jours, Izuku allait au collège. Il menait une vie banale de collégiens.
Avant d'aller au collège, il habitait à Tokyo, qui était assez loin de l'orphelinat. Donc il n'avait jamais revu ses camarades qu'il avait connu là-bas. Alors qu'il mourait d'envie de revoir Shoto. Son cœur se serrait quand il y pensait, et aussi lorsqu'il se rappelait la main douce et chaude de Shoto dans la sienne. Cette main protectrice qui ne le lâchait jamais. Cette sensation de sécurité et de bien-être à ses côtés. Tout cela lui manquait terriblement.
Lorsque sa mère adoptive lui avait annoncé qu'ils allaient déménager dans une ville plus proche de sa ville natale, il était fou de joie. Même si cette ville lui rappelait de mauvais souvenir. Elle lui rappellait tout de même les bons moments passés avec le bicolore. Rien que cette pensée lui faisait chaud au cœur et un sourire étirait ses lèvres.
Mais malheureusement, ça faisait deux ans qu'il avait déménagé et qu'il allait au collège, mais il n'avait jamais recroisé Shoto. Avait-il déménagé lui aussi ? Il ne savait pas..
La dernière sonnerie de la journée, annonçant la fin des cours, retenti. Izuku rangea ses affaires dans son gros sac jaune qu'il mit ensuite sur son dos. Une fois aux casiers, il changea de chaussures et mit ses baskets rouges
D'habitude, son père venait le chercher en voiture, mais aujourd'hui, il ne pouvait pas. Donc Izuku devait prendre le métro. Alors qu'il ne l'avait encore jamais pris.
Il marcha une quinzaine de minutes jusqu'à la gare.
Finalement, il s'en sortit bien. Il entra dans le train et s'assit là où il y avait de la place.
Le vert inséra ses écouteurs dans ses oreilles et sélectionna une musique dans sa playlist. Il devait bien s'occuper, il avait une demi heure de trajet.
Sans s'en rendre compte, ses yeux se fermèrent et il s'endormit assez vite, bercé par la musique dans ses oreilles.
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La voix qui indiquait son arrêt le réveilla et il se précipita vers la sortie, encore à moitié endormi. La porte s'ouvrit et il allait poser un pied dehors sauf que la personne qui se trouvait face à lui l'en empêcha.
Son téléphone glissa de ses mains et rencontra le sol du train. Izuku avait la bouche légèrement entrouverte, la surprise pouvait se lire sur son visage.
Ces cheveux, ce visage, il les connaissait. Les larmes lui montèrent légèrement aux yeux mais il les ignora, donnant toute son attention à la personne en face de lui.
« Shoto.. C'est toi..?
- ...Izuku...! »
Le bicolore était tout aussi surpris, qu'il en oublia de monter dans le train. Donc Izuku le tira par le bras avant que les portes ne se ferment.
