Être Tréssai [terminée]

Chap 22 l'offensive continue

L'AIP arrive tout le monde prend peur et part. Je le vois car j'ai une pleine vue sur la cour depuis le bureau du président. Je casse la fenêtre en criant « AHHHHH » quand j'arrive sur le sol je casse le béton, je n'ai que peut de temps pour tous les exterminer. Puis je me rappelle qu'un pays sans AIPun un pays faible et que je ne vais pas pouvoir être sûr tous les front. Alors je décide de les effrayer. Je me transforme en Vaiis donc je mesure plus de 100 mètre de haut. Ils ont tous eux peur et ils finissent par partir sauf quelques un qui résiste. En deux en trois mouvement je les assommé. Puis je me souviens que chaque président de pays a une voiture de fonction. Je remonte retourne voir le « président » pour lui demander les clés. Mais la vous ne voyez peut être pas ce que je veux faire. Ce que je veux faire c'est récupérer la lame des Tréssai car c'est une lame sacré et que sans elle je ne pourrais jamais atteindre ma puissance maximum, car elle contient un car de la puissance qu'un Tressai peut avoir. Mais surtout dans de mauvaise mains elle pourrait être un vrai danger. Après avoir trouvé les clés de la voiture je vois Alec il veut venir avec moi alors je lui dis :

- Ecoute mon grand, va retrouver Anna et va la protéger, mais surtout vous rentrez à la maison sinon vous pouvais vous faire ramasser et je n'ai pas envie de ça. Puis je n'ai pas envi que tu commence a tué trop jeune car je sais que que tu seras amené à le faire. Donc retrouves Anna et allez à la maison. Puis tu es aussi un peut jeune pour la guerre crois moi je sais de quoi je parle. Bon allez je t'aime mon chéri.

Il s'en va chercher Anna. Il est vraiment incroyable cette enfant. Je descends dans le garage prend la voiture et comme le garage donne sur une autre rue, elle n'est pas bouchonnée. Je fonce à la banque du pays car j'avais entendu de par mon travail que la lame des Tréssai était ranger dans un coffre top secret. Une fois arrivé à la banque du pays de l'eau je demande calmement à voir le directeur, chose que l'on me refuse. Je me mets alors en état des 3 et refait ma demande. Là elle veut bien, je retire mon état des 3 et la suits, en arrivant je vois le patron, je lui demande si il a entendu parler d'une lame des Tréssai. Il me dit que non, je me mets en état des trois, il me dit que l'impressionner ne changera rien, je fais une épée en oifou et lui dis :

- Tu vois c'est simple la lame que je cherche elle appartient à ma famille, tu me dis où elle est il ne t'arrivera rien, par contre si tu ment tu le payeras très cher. Donc maintenant tu me dis tout ce que tu sais sur cette lame.

Il me dit qu'il ne sait rien, puis une idée me viens, ma mère m'avait dit que pour faire parler les gens ils fait leur arracher les ongles. Je prend alors sa ceinture, l'assoie sur sa chaise, lui attache le bras gauche et modélise une pince en oifou. Je commence à m'approcher de sa mains, il me demande ce que je vais faire, j'agrippe son ongle avec la pince et lui dis :

- C'est simple si tu ne dis riens je t'arrache les ongles un par un. C'est claire ?

Je le vois, il stresse beaucoup plus. Je vais pour le faire, il ne dit rien je lui arrache alors l'ongle, il crie très très fort. Quelqu'un viens toquer à la porte, il demande si tout va bien. Je lui dis de dire que tout va bien qu'il c'est juste coincé le doigt dans un tiroir. Il répète ce que je lui ai demandé de dire. Je vois qu'il ne dit rien, je vais pour faire le deuxième, il le voit et dit :

- Nan ! Attend... attend... y'a une lame qui a transité y'a pas longtemps... elle avait été confié au dirigeant du pay, mais y'a pas longtemps il a demandé à la rapatrier à la capitale. Mais je vous en supplie arrêtez.

- Je lui dis Et bas tu vois quand tu veux. Merci, bon je te laisse j'ai de la route à faire. Dis moi, t'aurais pas un véhicule ? Parce que le mien a plus d'essence et j'ai pas je temps de faire le plein.

Il me répond qu'il a les clés dans sa poche. Je les prend et juste avant de partir je lui dis :

- Bien évidemment ce dont on à parler et un secret, tu le dis t'as plus d'ongle à mon retour. Puis je poursuit attention derrière la porte je vais l'ouvrir.