Chapitre 18 : Une promesse :

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Je me trouvais aux portes de l'infirmerie, à regarder de loin mon fils se faire soigner sans avoir l'autorisation d'être à ses côtés. Il avait beau être vampire, il n'en restait pas moins sorcier et lorsque qu'il était blessé par un sort ou une potion son côté vampire ne pouvait rien faire pour accélérer sa guérison. Albus avait accepter, les dents serrer que je reste dans le château jusqu'à que je sois sûr que mon fils était idem, mais pour se faire, il avait exigé que ma famille quitte les lieux sur le champs. Voilà pourquoi j'étais encore là à regarder mon fils de loin, sans pouvoir lui apporter de réconfort. Je vis la médicomage en chef administrer à mon fils un puissant sédatif, pour le faire dormir et lui éviter au maximum les douleurs à la sensation de ses os en train de repousser. Et alors que je voyais mon fils fermer peu à peu les yeux sur le monde qui l'entourai, je sentie une présence familière à mes côtés.

- Il va s'en sortir vous savez ? Il est la personne la plus forte que je connaisse et je sais qu'il s'en remettra « dit-elle en regardant mon fils s'endormir. »

    - Oui

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- Oui... Je n'ai aucun doute à ce sujet... Mais je ne peux lutter contre mes inquiétudes de parents. Je suis encore en train de m'adapter au fait d'être père et maintenant, je dois contrôler cette inquiétude qui grandis sans cesse en moi lorsqu'il est loin de moi. Une inquiétude que je n'avais jamais ressentis de ma vie.

- Je suis sûr que vous y arriverez... Je ne dis pas que ce sera facile surtout au vu de son talent pour attirer les problèmes, mais je sais qu'au fond de vous, vous y arrivez déjà... Il vous suffit de vous faire confiance et de lui faire confiance.

Je regarda cette jeune sorcière si inquiète pour mon fils, mais remplis de bon sens, un bon sens très étonnant au vu de son jeune âge.

- Je ressent l'envie d'aller faire une balade et je ne dirais pas non à une compagnie, me ferais-tu l'honneur de m'accompagner ? « Demandais-je en lui tendant la main. »

- J'en serais ravie Elijah « dit-elle en posant sa main au creux de la mienne que je porta sans attendre à mes lèvres avant de poser cette dernière sur mon avant-bras. »

Nous marchâmes ensemble durant une bonne heure sans parler, j'étais perdu dans mes pensées et je voyais qu'elle faisait beaucoup d'effort pour ne pas rompre mon train de pensée.

- Dit-moi Hermione, qui y a-t-il entre toi et mon fils ? Pardonne-moi si ma question semble un peu personnel, mais je ne connais malheureusement pas assez mon fils pour savoir s'il a une jeune sorcière qui l'envoute et je ne serais que trop heureux de mieux connaître cette dernière.

A ma plus grande surprise, j'entendis son doux rire raisonner à travers les plaines écossaise et me transporter dans un endroit remplis de chaleur et d'innocence.

- Il n'y a rien de tel entre Henrik et moi et il n'y aura jamais rien de tel... Il est comme le frère que je n'ai jamais eu et il est si simple de se confier à lui car je sais qu'il m'écoutera sans porter un seul jugement sur mes propos.

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