Dix-huit

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Arwen et Elio ne s'étaient pas échangés de mots, pourtant leurs yeux, eux, se parlaient. Il suffisait qu'ils se regardent pour se comprendre.
Ça avait été toujours comme ça avec eux. Ils communiquaient en silence. Là été toute la beauté de leur relation, quelque soit.

Élio s'était approché d'Arwen, voilà que seulement quelques centimètres les séparer. Arwen sentait le souffle d'Élio lui effleurer le visage.

Ce fut un moment magique. Élio s'approcha encore plus et le pris dans ses bras. Arwen les yeux remplis de larmes, lui murmura un t'aime dans l'oreille. Il avait eu beau le dire tout bas. Il avait eu l'impression d'avoir hurler. Hurler ses sentiments. Mais il l'avait dit assez fort pour qu'Élio l'entende et pour lui soufflait les mêmes mots.

Arwen pleurait pour de bon. Mais pas de tristesse cette fois ci. Non, de bonheur. De joie. D'excitation. Il pleurait de tout. De tout et de rien. Mais il était sûr d'une chose. Il n'était pas triste. Non il était bel et bien heureux. Et ça il le serait jusqu'à la fin de sa vie.

Toujours enlacé dans les bras d'Elio. Il aurait voulu ne jamais s'en défaire.

Elio et Arwen, Arwen et Elio,ça sonnait bien. C'était jolie.
Arwen et Elio, c'était beau, une magnifique mélodie.

La mélodie de son cœur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant