Chapitre 9

33.6K 1.4K 1K
                                    



Point de vue d'Alvaro :


On était en voiture avec mes hommes pour aller la chercher , elle allait me filer entre les doigts et ça

c'était impensable

C'était une manie chez cette fille de s'enfuir

J'ai vite compris qu'elle nous avait mener en bateau et qu'elle n'avait pas les codes

ou

qu'elle ne voulait pas nous les donner

Dans tout les cas , elle allait mourir pour m'avoir fais perdre mon temps

En plus de ça j'avais reçu un appel durant le premier trajet qui m'informait que Leandro Rossi , mon pire ennemi , un fils de puta. Il était également à la recherche de cette fille.

Ce fils de pute m'a trahi. Et pour ça, une haine immense s'invite en moi à chaque fois que j'entend son prénom.

C'était à l'époque , mais depuis nous sommes en concurrence et si je pouvais la maintenant le tuer je le ferais.

Mais je ne peut pas.
Leandro était le fils d'un ami à mon père , et il m'avait fais promettre avant sa mort , de prendre soin de lui
sauf que ça c'était avant qu'il me la mette à l'envers putain

Le fait qu'il veuille récupérer la fille me mettait hors de moi. C'est moi qui l'avait trouvé.
Et il est impensable qu'il mette la main sur elle

Nous sommes dans la voiture depuis quelques minutes et nous venons de rentrer dans le centre ville.

Les rues sont envahis de passant. Les innombrables feux créer de longues files de voitures.

Mes nerfs sont mis à rude épreuve. Tout pour nous faire perdre du temps, et nous éloigner de sa position.

Mes hommes sont tendus ,personne n'ose parler car ils savent que je ne suis pas d'humeur
Meme Antonio la ferme et putain ça fais un bien fou.

Diego commence à ralentir la voiture. Je relève les yeux de mon téléphone, me tourne vers lui et le fusille du regard

- Tu fous quoi la ? Accélère bordel on va la perdre .m'énervais -je

- Regarde Patron. Lança Diego en mouvant son menton devant lui.

Je lança un coup d'œil en face de moi, un attroupement de personnes bloquaient la rue , de la ou on se trouvait,on ne voyait pas grand chose.
Puis mon attention se porta sur une ambulance garé à quelques pas de notre voiture. Les sirènes retentissaient encore.

On avait pas que ça a faire alors je suis sorti de la bagnole , j'ai claqué la porte et je me suis dirigé vers le regroupement rapidement.

J'ai bousculé les quelques personnes sur mon chemin. Et je suis arrivé au milieu

Et mes sourcils se sont froncés quand j'ai compris la situation. Que j'ai remarqué ces long cheveux blonds.

DOUTESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant