Je m'appelle Laurence j'ai 42 ans. Depuis toute petite j'ai toujours voulu être indépendante, forte. Mon rêve, c'était de devenir une femme d'affaires, d'avoir l'argent et surtout le pouvoir. J'ai donc tout fait pour réussir, je suis ce qu'on appelle une femme de caractère. Après de belles études en économie, je me suis faite embaucher dans une grande société industrielle. J'ai franchi les étapes, jusqu'à devenir co-directrice d'un des département commercial. Je gérais plusieurs dizaines de millions de revenus et une trentaine de commerciaux. En parallèle, je me suis tout de même mariée, j ai eu des enfants, des amis. Je suis plutôt petite et très brune, les cheveux longs et je pense de jolies formes. je ne me suis jamais sentie ni canon ni moche. Bref rien de spécial, j'avais une vie bien rangée et très centrée sur mon travail, comme beaucoup à notre époque. Et puis un jour, tout a changé.
Je me rappelle très bien de ce jour, c'était un vendredi de juillet. Je me suis levée stressée, plus tôt que d'habitude. Un mauvais pressentiment. Je me suis douchée très vite, puis je me suis habillée d'un petit string noir Aubade avec le haut assorti - j'adore cette marque et la lingerie a toujours été mon pêché mignon - , une petite robe bleue, des talons. J'ai commencé à lire mes mails en buvant mon café : ma messagerie explosait de messages plus alarmistes les uns que les autres. " Lo (mon diminutif) ca sent pas bon" me dis-je. Notre plus gros client se retournait contre nous alors que nous venions de conclure le deal du siècle avec eux. Je vous passe les détails mais j'étais directement responsable après avoir validé les contrats sans l'accord de mon service juridique. Le client activait une clause du contrat qui coutait une fortune à la boite. J'avais eu en plus la maladresse d'écrire un SMS au client qui l'avait semble-t-il renvoyé à Robert, l'autre directeur du pôle, mon "ennemi". Un grand mec de 54 ans, blond, sportif, élégant, très beau mais très prétentieux. Nous nous détestions cordialement et nous nous tirions sans cesse dans les pattes. Dans ce message, je lui disais en "off" qu'on avait pas le temps de suivre le process et que j'avais le droit de valider les clauses, ce qui était faux dans ce cas. Si ce message était divulgué, toute ma carrière était brisée. Vous ne pouvez pas vous imaginer le choc que ce fut. J'en pleurais sur la route du travail. La journée fut un enfer, je la passais à faire bonne figure, la fille forte et à mentir afin de garder la confiance du board. Robert qui m'avait prévenu le matin que le client lui avait renvoyé mon message, ne répondait pas évidemment pas à mes messages.
Je le vis débarquer enfin dans mon bureau à 21h30. Tout le monde était parti. Il entra sans frapper, l'air triomphant. "Alors tu fais tes cartons ?" me lança-t-il avec un regard vengeur. Je le regardai fixement, en serrant les dents, en restant assise sur ma chaise derrière mon bureau. "T'es content ?" lui dis-je. Il vint s'assoir sur celui-ci. "Tu ne peux pas savoir à quel point. Tu vas enfin arrêter de me faire chier. Je n'ai plus qu'à renvoyer ton message au comité de direction et tu seras virée sur le champs. Avec un truc comme ça, si ça sort, tu ne retrouveras jamais de boulot. "Les larmes me montaient aux yeux. "Tu es vraiment un sale mec, tu as eu ce que tu voulais. Tu sais parfaitement que j ai validé ce deal de bonne fois, j'y croyais...cette société c'est toute ma vie". Je tremblais de colère et de peur. "T'es qu'une connasse prête à tout pour réussir, je vois aucune raison de te sauver le coup...sauf si..." il me regarda d'un air lubrique et passa sa main sur mon visage. je me reculais, dégoutée. Comment avait-il osé ? Je n'étais pas une de ses poules. Le ton monta, nous hurlions l'un sur l'autre. Pris de colère, il frappa du point sur le bureau. "écoute moi bien, ta seule chance de t'en sortir, sinon tu peux te casser...tu as compris ?" La violence de son mouvement me paralysa....je le fixai dans les yeux. Il était sûr de lui et avait un regard pervers. Il me serrait plus fort.
- T'es un vrai salaud. Ok, ok...j'ai pas le choix de toute façon"
Il sourit, sa main passa sur mes cuisses, remonta sur mon ventre, mes seins puis mes lèvres. Il approcha son visage. j'étais sous son emprise, il plaqua ses lèvres contre les miennes, glissa sa langue dans ma bouche et m'embrassa profondément. J'étais énervée et honteuse...mon corps frémissait..."Très bien...je vais sauver ta peau mais ta vie va changer maintenant. Tu vas m'adorer en nouveau boss. Rentre chez toi maintenant. Je veux demain que tu viennes au bureau en bas porte-jarretelles, string et soutien gorge les plus sexys que tu as. Tu mettras ta mini jupe la plus courte et un chemisier blanc. Allez file ma salope"...il me fessa et me demanda de sortir de mon propre bureau. choquée je marchais jusqu au parking. Ma tête tournait. Ma chatte et ma culotte étaient trempées.
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Les confessions de laurence
RomanceLes confessions d'une femme d'affaires de 40 ans, tombée dans luxure.