L'acceptation

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L'heure qui suivit je cherchais à me calmer. Je devais faire face, être forte. Il avait raison : je n'avais vraiment pas d'autres choix. Si je faisais ce qu'il disait, je restais dans cette société que j'aimais tant et peut être pourrais je retrouver, avec le temps, une meilleure situation. En attendant, il fallait lui obéir. 20 ans après, il fallait de nouveau jouer ce rôle avec un homme.

A 12h30 je descendis au parking après avoir fini mes cartons et m'être remaquillée. Je marchais jusque sa voiture, une belle porsche Taycan grise. Il n'était pas là, je lui envoyai un message pour lui dire que je l'attendais. Il arriva avec 10mn de retard. Il se tint devant moi, triomphant. Il mesurait 1m90 et moi seulement 1m60, je paraissais minuscule à ses côtés. "Bon allez monte". Je ne dis rien et montai dans sa voiture. Il se mit au volant et fit vrombir le moteur. Il sortit vite du parking sans un mot et conduisit jusque dans une zone industrielle un peu plus loin. "Ecoute bien, tout ça c'est aussi ton intérêt. Si je suis content de toi et que j'atteins mes objectifs, je pourrai peut être dans quelque temps te redonner un meilleur poste, mais d'ici là ça va être dur pour toi. Il va aussi falloir arrêter de faire cette tête." Il s arrêta sur un parking extérieur dans une zone en construction. "Voilà ici on devrait être tranquille, descends". Une fois sortie, je constatai qu'il n'y avait rien autour, que des bâtiments vides en construction.

" Ok Lo, maintenant soulève ta jupe jusqu'à la taille et montre moi ta chatte. Écarte bien les cuisses." Je m'exécutais, je me sentais si vulnérable et lui paraissait si fort, si viril. En ouvrant mes cuisses, quelque chose en moi vibrait, quelque chose caché depuis tant d'années, que j'avais tout fait pour oublier. Mes seins pointaient. il passa sa main sur ma fente, glissa un doigt et commença à frotter mon clitoris. je soufflais fort et ma chatte devenait humide. "Et bien on dirait que ça te plait d'être ma petite chienne, regarde comme tu mouilles petite salope...lâche toi un peu, tout dépend de toi." Je le regardais me frotter le clitoris plus fort, je me cambrais en gémissant de plaisir et de honte. "C'est moche ce que tu me fais,hmmm... tu devrais avoir honte". "Tu parles, j'ai bien lu tous tes mails, tu étais prête à tout pour me dégager. Alors pas de leçons de moral. Tu es à moi maintenant, tu as compris ?"..je restais silencieuse quelques secondes, son doigt entrait dans ma chatte...je poussai un cri. " Ahhhh...Je...suis à toi ..." dis-je haletante. "C'est bien maintenant accroupis-toi, tu vas prendre ton seul repas du midi".

il me prit par les cheveux et je m'accroupis devant lui. Il dézippa son pantalon et sortit sa queue face à moi. Elle était immense, peut être 25 cm, je n'avais jamais vu une si belle et grosse bite. "Allez suce moi bien. Tu commences par le bas puis tu remontes vers le gland avant de me pomper" Il me tenait par les cheveux. Je pris le sexe dans mes mains. Malgré moi, j'étais surexcitée et trempée. Cela me faisait honte et me mettait dans un état second. Je me suis mise à lui lécher les couilles , ma langue dehors. Je buvais sa sueur, le parfum de sa bite envahissait ma bouche. Je passais ma langue sur la queue, remontant jusqu'au gland en la branlant bien de la main droite. Il commença à grogner en fermant les yeux. Sa main serrait mes cheveux. mes lèvres embrassèrent son gland et je me mis à le sucer doucement. Sa queue était délicieuse, je n'avais jamais sucé un vrai mâle alpha dans cette situation depuis ce qui c'était passé l'été 2000. Je mouillais de plus en plus et je commençais à me masturber en le pompant, ma main gauche frottait mon clitoris de plus en plus fort, je retrouvais ces sensations qui m'avaient emportées à l'époque. Il gémissait de plaisir et jubilait, je crois qu'il ne pouvait pas être plus surpris par mon entrain à dévorer sa queue." Ahhh comme ca oui hmmm oh putain mais t'es une bonne chienne, t'aimes ça en plus, la grosse salope de Laurence ! je vais baiser ta bouche, prépare toi". Il prit mes cheveux et enfonça sa queue profondément dans ma gorge...je toussai, le gland tapa mes amygdales, j'ouvrai grand la bouche pour respirer. Ma salive mélangée à son jus coula sur mon menton. Je branlai mon clitoris comme une dingue, je gémissai. Il ne faiblissait pas, sa queue baisait ma bouche comme s'il s'occupait de ma petite chatte. Cela dura une bonne quinzaine de minutes, peut être plus. soudain il serra mes cheveux plus fort, il poussa plusieurs cris et sa queue explosa dans ma bouche. Le sperme coulait sur ma langue, dans ma gorge...il giclait des quantités incroyables. Il me repoussa une fois fini. Sans qu'il ne demande rien, je léchais sa queue pour la nettoyer. "Ah putain ca fait du bien. Et t'as aimé ça en plus pas vrai ? J'en reviens pas, en fait t'es une dingue de sexe toi aussi!" Je rougis de honte, sentant ma chatte trempée, le goût de son sperme dans ma bouche, mon corps entier tendu et excité. " Hmmmm...merci..j'en ai plein la bouche". Il avait l'air encore plus pervers que jamais mais je m'étais comportée moi aussi comme une folle de sexe. Il fut assez délicat pour me relever et me rouvrir la portière de sa voiture. "Bon monte, tu as beaucoup de travail, mais c'est très très bien, je suis content de toi. C'est incroyable ! Il..." Il rit. Et pour la première fois, je lui souris. Je venais de rebasculer.

Les confessions de laurenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant