Je me réveillai le lendemain matin en pensant avoir fait un horrible cauchemar. Il était 5h30, mon mari dormait paisiblement à côté de moi. Je me glissai hors du lit et me dirigeai vers le dressing. Je n'arrivais pas à croire que tout cela était réel. Je pris des bas noirs, mon ensemble de porte-jarretelles - string - soutien-gorge à balconnet de la marque "Agent provocateur". je passai ma micro jupe grise et un chemisier serré blanc. je pris mes vêtements et me dirigeai vers la salle de bain pour me préparer au plus vite sans réveiller personne. J'avais l'impression d'être habillée comme une strip-teaseuse qui va à un enterrement de vie de garçon. Je pris vite mon café en vérifiant mes mails. Le boss voulait nous avec Robert en milieu d'après midi, pendant le board meeting, pour faire le point. Robert avait sûrement déjà tout manigancé derrière mon dos.
J'arrivai le plus tôt possible au travail afin de ne voir personne. Robert était déjà là. J'allai le saluer dans son bureau. Il sourit avec son éternel air prétentieux, "pas mal, par contre ca met pas en valeur ton gros cul" il se mit à rire s'avança, me claqua les fesses, et laissa sa main dessus. J'ai toujours été complexée par mon cul, et il se faisait un plaisir de le tater et de l'agripper. "Allez viens on va dans ton bureau, on a du boulot". Je soufflai, le suivis, désespérée, sans réaction, contenant ma colère.
Il s'assit sur mon siège. "Allume ton ordinateur et ton téléphone, puis va me faire un café lo". Je le regardai interloquée qu'il m'appelle par mon dimonutif, je restai sans bouger. "Allez magne toi , j'ai pas que ça à faire, tu vas pas faire ta mijorée toute la journée ! Tu dois vite t'habituer à ton nouveau rôle !
— Mais tu veux lire mes mails ?
— Oui, mais si t'es pas contente tu peux te casser et je balance tout et je te défonce au meeting de cet après-midi...alors ?"
J'obéis en montrant mon agacement et j'allai vers la machine à café. Je lui servis son café. "Plus de sucres, retournes-y"...je serrai les dents et revins dans le bureau en fermant bien la porte. "Bon c'est mieux...dis-donc j ai vérifié tes mails, pas très sympa ce que tu dis sur moi....j'ai annulé tous tes rendez-vous. Ce matin tu vas faire tes cartons et te préparer à déménager dans un bureau au second près de moi. C'est Thierry qui va prendre ton poste, le Board l'annoncera ce soir. Je n'ai pas fait suivre le message que tu connais et j'ai déjà obtenu un bon deal avec le client. Ta commerciale Sophie prendra pour toi, elle est virée ce matin. Le Board va te proposer un nouveau poste, directement sous ma direction. un espèce de poste d'assistante de direction et d'animation des équipes commerciales de terrain. Avec une réduction de salaire de 40%. Ils sont sûrs que tu vas refuser. Mais tu vas accepter...et tu me remercieras publiquement devant eux. " Je me sentis mal, je dus m'assoir. Robert ne dit rien. Il me fixa du regard en souriant. "Tu n'as pas le choix, tu imagines les conséquences pour toi si tu refusais ? Je crois que la société peut même t'attaquer...bon, je dois y aller. Nettoie tout pour Thierry." Il se leva puis se retourna avant de franchir la porte. "Au fait dès aujourd'hui tu recevras des instructions de ma part. Est-ce clair Lo ?" ma voix tremblait "Oui Robert..." Il rit et partit.Les heures suivantes furent horribles. Je fermai mon bureau. Les quelques fidèles qui passèrent furent surpris de ma tenue et sentirent que je ne pouvais rien dire. Je reçus à 9h30 un premier sms d'un numéro inconnu sur mon téléphone personnel. "Enlève ta culotte et viens la déposer dans mon bureau". Mon coeur s'emballa, je me tenais la tête dans les mains. C'était bien ce que je craignais, Robert était bien le pervers narcissique décrit par certaines filles de la boite. La plupart étaient des stagiaires qui n'étaient pas restées et qu'on ne croyait pas car Robert avait la réputation d'un grand dragueur à cause de son physique avantageux et des poupées qui défilaient régulièrement au bureau. J'avais déjà eu affaire à ce type d'hommes mais c'était 20 ans auparavant. Je pris un dossier et marchai jusqu'aux toilettes. Sur le chemin j'avais le sentiment que tout le monde regardait mes fesses dans cette ultra mini jupe, j'étais rouge écarlate. Aux toilettes, Je retirai mon string et le glissai dans le dossier. Je serrai les cuisses en espérant que personne ne voit ma chatte. J'arrivai devant le bureau de Robert. Il était fermé. Je dus demander honteuse à la secrétaire de m'ouvrir ce qu'elle refusa. je lui donnai le dossier en lui demandant de le déposer dans le tiroir de Robert et courus dans mon bureau. je sentais ma chatte comme exposée au milieu de l'open space.
L'humiliation ne s'arrêta hélas pas là. Robert me demanda de venir en salle de réunion à 10h15. nous étions seuls. il me fit signe de venir prêt de lui au centre de la salle. "Tes seins m'ont toujours plu" dit il. sa main glissa sous mon chemisier et les pressa. il les caressa, joua avec mes têtons...je sentis sa main ferme tenir et pincer ma poitrine...je gémis..."S'il te plait je..." il me regarda sévère "Tu n'as que ce que tu mérites." il continua à jouer avec mes seins puis s'arrêta soudainement et se tint contre le bureau. "Assis toi également sur l'angle du bureau" me dit-il. dans cette position je serrai les cuisses le plus fort possible pour ne pas montrer ma chatte brune. Il sourit une nouvelle fois. "J'ai préparé une petite réunion avec ta future équipe pour leur présenter ton futur rôle. Ils vont être surpris et ravis". Il éclata de rires. Je vis entrer une dizaine d'hommes, des vieux commerciaux aux regards vicieux. Tous regardaient ma mini jupe et ma chatte que je 'avais du mal à cacher. Robert expliqua mon futur nouveau rôle et me demanda de faire un petit discours. Je n'avais jamais été aussi humiliée devant autant de personnes. Lorsque cela fut fini ils sortirent en éclatant de rires. J'entendais leurs commentaires. Robert me regarda triomphant de nouveau. " Tu déjeunes avec moi rendez-vous au parking à midi...et un autre point : tu vas prendre rendez-vous chez l'esthéticienne après le board de 14h30. Tu te feras épiler intégralement la chatte, c'est un ordre." Les yeux humides, je fis oui de la tête et courus de nouveau à mon bureau.
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Les confessions de laurence
RomanceLes confessions d'une femme d'affaires de 40 ans, tombée dans luxure.