Mon gentil mari

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Je démarrai la voiture et j'allumai la radio. Le son latino de "Despacito" résonnait alors que je sortai du parking. La musique me détendait mais je sentais encore mon corps frissonner d'excitation. Peu à peu, tout en moi s'abandonna au rythme et au bruit du moteur. Cette journée avait été épuisante. Mon sentiment de culpabilité était encore présent mais mes désirs sexuels l'avaient partiellement éteint.

Qu'allait dire Fred? Ne devais-je pas lui cacher la vérité? Je balayai cette idée, je voulais faire face. Il m'aimait tellement, j'étais sûre qu'il allait me soutenir. Notre couple était solide même si nous ne baisions plus beaucoup. Je le savais très attiré par le libertinage, nous avions même failli participer à une soirée, il y avait plusieurs années, avant de nous raviser. J'avais déjà trop peur de replonger. Il demeurait la question de l'argent: comment vivre avec une telle diminution de salaire alors que je pesais pour la majorité de nos revenus ?

Il se mit à pleuvoir, le bruit des gouttes sur le parebrise termina de m'apaiser. Ma chatte était encore humide du plaisir procuré par le godemichet
Au premier feu rouge, les images me revenirent. Cette découverte de ma sexualité, dans une journée si horrible, me procurait un sentiment de joie folle, comme si j'étais libéree de quelque chose, je chantais à tue-tête comme une adolescente.

J'arrivai devant la maison vers 21h30. En franchissant la porte, je vis mes deux enfants affairés sur leur téléphone portable. La plus grande était à l'université, le garçon, plus jeune, venait de fêter ses 18 ans. Ils me saluèrent à peine, comme d'habitude. Au moins eux ne se faisaient pas de soucis. "Ils ont déja mangé" dit Fred en arrivant vers moi et en m'embrassant. Sa présence me réconfortait. Avec lui tout était simple, rien n'était grave. Il avait 44 ans, un beau blond aux yeux bleus, de taille moyenne. "Je suis affamée, lui dis-je. Il y a quoi à manger?" Je savais que le mercredi, j'avais en général droit à des huitres, mon plat préféré. Fred ouvrit une bonne bouteille de riesling et nous nous mimes à table, laissant nos enfants remonter dans leur chambre. "Alors, ta journée, ma chérie ? Demanda Fred. Tu as l'air hyper stressée depuis deux jours, c'est pas ton style, j'ai l'impression qu'il se passe quelque chose." Je pris mon courage à deux mains et lui expliquai mon erreur, le message du client, le chantage de Robert et mon nouveau rôle d'assistante. Fred fulminait. "Ce connard t'as piégée, c'est vraiment dégueulasse !!
- il y a autre chose, répondis-je. L'autre condition est que je devienne sa...maîtresse. J'ai dû... lui faire une fellation et le laisser jouer avec mon corps. Je soulevai ma jupe et lui montrai que je ne portais pas de culotte, mon sexe épilé, les lèvres encore gonflées. Je...je te demande pardon Fred, je...je n'avais pas le choix."

Fred resta longuement silencieux. Que pensait-il? "Mais..comment te sens-tu? Demanda-t-il enfin.
- Ca va... ca peut paraître fou mais j'ai aimé ça. Ca a été comme une ŕévélation. Mais cela ne change rien à notre amour. Rappelle-toi, on avait parlé de soirées libertines...c'est pareil mais dans un autre contexte non ?" Je me tus un instant pour le regarder." Tu dois me prendre pour une folle."
Après un nouveau silence, il me fixa et posa ses lèvres sur les miennes. " Je t'aime si fort. Tout ce que je veux c'est ton bonheur, et s'il passe par des amants, je suis prêt à l'accepter. Tu es si belle lo, te voir jouir, même dans les bras d'un autre, ca m'excite énormément. Je partage le plaisir qu'un mari a à regarder sa femme avec son amant. Je crois que je suis un peu comme ça. Ne t'inquiète pas, je te soutiendrai toujours.
- Mon chéri tu es adorable dis-je en l'embrassant."

Très émue je lui détaillais longuement les scènes de l'après-midi. Il se montra très excité. Je fus surprise car cette discussion, loin de nous gêner, était naturelle, comme si lui aussi se libérait. Quand je lui parlais de la demande de Robert de recevoir un message de sa part, il accepta tout de suite. Je devinais son érection sous son pantalon. Je lui donnai le numéro et il écrivit un petit message de remerciement à Robert. La plupart des hommes auraient refusé, mais il n'était pas du genre macho.

Robert répondis rapidement "Parfait. Je pensais que vous auriez pû m'inviter un soir pour faire connaissance. Dites à Laurence qu'elle ne passera pas les  deux prochaines nuits chez vous, qu'elle prépare des affaires. Bonne soirée."
Fred se sentit gêné et me regarda: "C'est bon pour toi ? On l'invite la semaine prochaine ?
- oui ca ira. Mercredi prochain on peut l'inviter les enfants ne sont pas là". Je le voyais bander si fort, il gigotait sur sa chaise.
- Il est ok. Oh il renvoie une vidéo. Oh putain c'est toi non? La tête est floutée !"
Là c'est moi qui devint toute rouge. Je me voyais me baiser comme une chienne sur ce bureau avec le godemichet. Fred n'en pouvait plus. Un autre bip résonna. Robert avait de nouveau écrit. "I..il veut que je...gicle sur ta chatte sans te pénétrer...puis que je leche tout...et qu'on lui envoie une vidéo..."

On se regarda brièvement. Je sentais qu'il attendait ma réaction. J'étais de nouveau trempée. Je poussai les assiettes, m'assis sur la table.
"Ferme bien la porte et mets la télé assez fort que les enfants n'entendent pas...et sors ta queue." Fred fit un grognement approbateur et s'exécuta. Je pris mon téléphone et commençai à enregistrer la scène, en ne filmant pas nos visages. Il sortit sa petite queue de 12cm. Il bandait comme jamais. Je m'ouvris complètement, lui offrant ma chatte lisse qui dégoulinait. J'avais tellement envie qu'il me baise mais j'avais peur de trop désobéir à Robert. Fred commença à se branler très fort son gland tapait ma vulve sans la pénetrer, juste de quoi exciter mon clitoris.

"— Ahhhhh Hmmmmm Ahhh ma femme est une salope
— Oh oui mon chéri, je suis une grosse coquine, hmmm j'ai envie de ton sperme, vas-yyyy"

il convulsa très vite, se pencha en arrière en secouant sa bite si fort qu'il jouit sur ma chatte en même pas 3 minutes. J'étalais bien le sperme entre mes lèvres en filmant en gros plan son ma chatte lorsqu'il approcha sa bouche de ma fente. Il se mit à me lecher, avalant son propre foutre et dévorant mon clitoris. Je ne l'avais jamais vu aussi excité. Cette fois, c'était moi qui tremblais; je tenais sa tête, sa langue juteuse allait et venait frottant mon clitoris. J'étais si excitée, je me sentais si salope de filmer mon mari me bouffer la chatte. Il me dévora de longues minutes jusqu'à ce que, enfin, je profite de mon premier orgasme de la journée. Je hurlais de plaisir en arosant son visage de cyprine. Nous étions aux anges. Nous nous embrassâmes longuement, collés, dans un moment de bonheur intense, haletant. En me relevant, j'envoyais la vidéo à Robert qui me répondit par un émoji diabolique. J'étais épuisée. Ainsi se finit ma première journée de hotwife.

Les confessions de laurenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant