Le retour au bureau fut rapide. Pendant le trajet, Robert me demanda d'organiser une passation officielle avec chacun des commerciaux. Nous nous sommes mis à discuter du business comme si de rien n'était. Je me sentais presque à l'aise, comme si mon esprit oubliait tout ce qui venait de se passer. Il me redéposa dans le parking et partit déjeuner. Je remontai à mon bientôt ancien étage. Thierry avait déjà pris possession de mon bureau, il avait mis mes cartons dans l'open space. Il se montra très gentil, comme à son habitude. Heureusement que tous les hommes ne sont pas comme Robert. Je redescendis et m'installai provisoirement dans une petite salle de passage, près du bureau de la secretaire de Robert. Les événements de la matinée repassaient dans ma tête. J'étais bouleversée mais pas détruite. Je devais me l'avouer : J'avais adoré le sucer et sentir sa queue baiser ma bouche. Le goût de son sperme qui restait dans ma gorge, loin de m'écoeurer, m'excitait. Je n'arrivais pas à comprendre comment je pouvais être dans cet état d'esprit, alors que je pensais être guérie depuis 20 ans. Sa virilité avait elle réveillé tous mes instincts sexuels ? J'avais toujours fui ce genre d'hommes après ce qui s'était passé, mais n'était ce pas ce dont j'avais finalement besoin ? C'est vrai qu'il était beau et après avoir vu son sexe, je comprenais mieux les commentaires certaines filles du bureau qui avaient couché avec lui. J'appelai l'esthéticienne puis je me mis à tout préparer pour Robert.
La réunion avec le board fut particulièrement humiliante. Sophie ma collaboratrice - que j'adorais - en charge du client était virée. Tous les membres furent étonnés de mon accord pour une réduction de salaire de finalement 50% et un rôle d'assistante de Robert et de coordinatrice des ventes sur les plus anciens produits. Comment à mon niveau accepter un tel déclassement ? Dans ce milieu sans pitié, je venais de perdre le respect de bon nombre des membres. Je remerciai en plus le board de me garder et particulierement Robert que je décrivis comme formidable dans cette situation. À la fin de la réunion, je ne l'avais jamais vu si triomphant. Sa victoire était totale. Avant de retourner à la réunion d'où j'étais désormais exclue, il m'indiqua mon nouveau bureau, collé à celui de sa secretaire dans une salle à partager. Jasmine ne travaillait plus qu'à mi-temps et partait en retraite dans 2 semaines. Il était clair pour Robert que mon nouveau rôle comprenait également la gestion de ses rendez-vous. Je posai mes cartons sur le petit bureau puis m'éclipsai pour aller me faire épiler. La sensation de ma chatte complètement lisse était finalement plutôt agréable même si je ne trouvais pas ça très joli. Mais j'avais obéi et je me sentais plus proche des fantasmes de Robert. Et j'en éprouvais une forme de plaisir. C'était comme si dans cette journée catastrophique, je renaissais, comme si mes anciens démons, enfouis si profondément, revivaient.
À mon retour au bureau il n'y avait plus que Robert à l'étage. Il était encore plus sexy avec son grand sourire ironique. "Alors montre!" Je rougis, regardai autour de moi puis soulevai ma jupe machinalement et j'exposai ma chatte complètement épilée. "Ca te plaît comme ça?" me demanda-t-il. "Pas trop...mais je veux vraiment que tu me gardes. Et puis, je...enfin, c'est la première fois qu'un homme me traite ainsi..." Moi si sûre de moi il y a 2 jours, je ne savais plus ce que je voulais dire, je mentais, je palpitais presque et j'avais de nouveau la tête qui tournait. Il prit un de ses portables personnels. "Ah oui ? Vu ta réaction j'ai du mal à te croire... Peu importe, c'est un grand jour pour moi. Je comprends ta honte, tu es tombée très bas aujourd'hui. Mais tu l'as déjà incroyablement très vite accepté. Regarde toi la chatte à l'air dans ton bureau de secrétaire. Ca doit être très humiliant mais je sais qu'au fond de toi, il y a une vraie coquine qui adore ça. On va prendre quelques photos et filmer pour immortaliser cette renaissance..." Il enclencha la caméra du téléphone. "Allez montre nous plus en détail ce corps...mets toi toute nue salope, danse un peu, sois provocante et montre bien tes trous à la caméra". J'hésitai un instant puis je me déshabillai en dansant maladroitement. Je souris, je m'abandonnai à l'instant. J'écartai mes cuisses exposant mon cul...je caressais mon clitoris doucement. Je n'étais plus moi même mais l'autre Laurence. "Tu aimes mon corps?" osai-je lui demander en caressant mes seins et ma chatte. Il me regardait à travers l'écran, comme un réalisateur porno. "Ah ah ah, je baise normalement que ma femme ou des jeunes femmes bien plus belles que toi. Tu as des gros seins et t'es bien conservée à part ton gros cul. T as un beau visage. Mais tu vas devoir faire beaucoup plus, des trucs très hard pour moi. Ta vie va changer comme tu ne l'imagines pas encore. Mais bon, je ne pensais pas que cela serait si facile de faire de toi une telle chienne. Je suis très content de toi. Ouvre ton tiroir il y a des cadeaux".
Dans le tiroir, se trouvait un immense godemichet noir et un sex toy en forme d'oeuf. Je pris les deux objets et les montrait à sa caméra. J'étais à la fois tendue et excitée. "Merci...C'est très gros" il rit et moi aussi nerveusement. "Alors le petit sex toy tu le mettras demain matin dans ton vagin en partant de chez toi. Tu le garderas toute la matinée de demain. Le god je veux que tu montes sur ton bureau, tu t'assois dessus, jambes écartées. Et tu te baises la chatte devant la caméra. Allez vas y petite salope j ai un diner avec mon épouse ce soir" Il sortit sa superbe queue qu'il commenca à masturber, se mit face à moi. je m'assis sur mon nouveau bureau, nue et m'écartais en grand puis je frotai le gland géant du god contre mon clito. Je me sentais tellement salope. Ma chatte était surtrempée, le va et vient du god me rendait folle, tout comme la vue de Robert qui se branlait en me filmant. C'était surréaliste. Je gémissais de plaisir en caressant mes seins lorsque j'enfonçai la grosse queue en plastique profond en moi. "Hmmm ca te va comme ça ? Tu sais c'est pas facile à dire mais...moi j'adore." lui dis-je entre deux soupirs. Le toy glissait au fond sans problème. Robert se masturbait fort, il était rouge d'excitation. "Bien sûr que tu aimes, quel pied putain...vas-y baise toi salope et parle à la caméra. Dis que t'es ma chienne". Je me cambrai, je défonçai ma chatte si fort avec le god que je sentis un début d'orgasme monter. Le plaisir était incroyable, je me rendais compte de ce que je faisais et cela me rendait encore plus coquine. Ma bouche s'ouvrit, je commencai à crier, je me lâchai complètement, un flux de paroles me vint, j'étais intarissable :" Ahhhhh je suis ta chienne Robert hmmmm ta salope, j ai besoin de queues...Ahhhh..." il sourit. "Allez dis le à ton mari que t'es ma pute, allez !" Il s'approcha, me caressa les seins. Il continua à filmer. Je me baisais si fort, ma chatte dégoulinait, le god tapait, je ne me contrôlais plus " Ahhh Fred mon chéri je...je suis la chienne de Robert et j'aime ca putaiiiiin" . Il me tira les seins, les malaxa, puis il me prit le gode des mains et il me baisa lui même avec celui-ci, d'une force à faire bouger la table. " Voilà une grosse salope, tu vas devenir un vrai garage à bites mais tu dois tout dire et tout montrer à ton mari ce soir. Je veux un message de sa part pour me remercier avant la fin de la semaine !" Il me baisa, je me sentis prête à exploser.... Il arreta soudainement tout. Ma frustration fut immense, je gémis, en sueur, prostrée sur le bureau. "Mets les mains derrieres ton dos, interdiction de te toucher avant demain matin, Tu as compris ?" Je respirais fort, j'étais si excitée, quelle punition ! "O..oui Robert"...il sourit.
"Allez sale chienne, tu remets juste ta jupe, tes bas et ton chemisier et tu rentres maintenant, demain tu as du boulot !" Je tremblais, je coulais...mais plus important que tout : j'étais redevenue l'autre.
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Les confessions de laurence
Roman d'amourLes confessions d'une femme d'affaires de 40 ans, tombée dans luxure.