Chapitre 4

6 1 1
                                        

La Deuxième Mer.


Au confins de l'univers, entre l'espace et les cieux,

Existe un immense paradis azuréen, beau et gracieux.

Parmi la poésie de cet outre monde féerique,

Habitent toutes sorte d'être bienveillant, fabuleux et magnifique.


Façonné par la pureté de l'air, la souplesse des nuages,

Et par la somptuosité d'une eau claire et sage,

Ce monde n'entend que les échos de la joie et du partage,

Loin des flambeaux des sombres présages.


En ce paradis, l'eau flotte aux bras du vent,

En gouttelette, nageant librement sur les radiances du soleil levant.

De bien belle créatures serpentines à la robe pâle et pure

Serpentent et joue en cet éblouissant spectacle d'azur.


Un endroit après la mort, où l'on ne cesse de rêver,

Bâti pour recueillir les âmes d'artistes tourmenté et oublier,

Mais aussi les cellules d'esprit ayant vécu la vie a son obscurité,

Terminant ainsi leur destin en ce lieux d'étrange félicité.


Une mer où l'on s'envole plus loin que l'infini,

Une mort plus poétique, hors d'un temps qui nous est escompté,

Près des moelleuses et tendres symphonie, qu'offre ce paradis.



Clair-ObscurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant