Chapitre 7

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Lugubre Symphonie.


Les notes sombres de la nuit,

Dansent dans la clairière de l'ennuie.

Triste jour, ô grand désespoir,

Au loin de l'infini, les symptômes du soir.


Je contemple la salissure austère,

Elles affluent et chantent dans la sèche terre.

Le symbolisme maudit se pavane devant la folie,

Aux rythmes endiablés, le mal, entame sa mélodie.


Au loin, j'entends la mélopée me chuchoter des mots décharnés

Ô toi ténèbres ! Je t'aime, dans toute ta sordide volupté.

Dite à la faucheuse, que mon âme est pâle.

Aujourd'hui, le tocsin rouillé émet son triste râle.


Mon cœur émoussé pleure des larmes de peine,

Accablé, peut-être même, désarmé, mes yeux sont fontaines.

Prédestiné à la noirceur, les vieux instruments guide mes pas,

Et les macabres notes accourt noblement dans le noir amas.



Clair-ObscurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant