Au Bout, L'océan.
Je fuis loin de cette civilisation pour ne plus mourir,
Pour que mon âme ne puisse plus flétrir,
Alors je cours dans la forêts pour atteindre l'océan,
Sans me retourner, pour m'éclipser de ce fléau aberrant.
Et devant cette immensité que les vents bouleverse,
Je continue ma course effréné, d'une crainte perverse,
Dans une eau froide et trouble que mon corps élague,
Pour voir de moi-même, si il y a un océan au-delà les vagues.
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Clair-Obscur
PoetrySalut à tous ! Petits poèmes écrit à l'ombre de mes insomnies En espérant que cela vous plairas ! Bonne lecture à vous.