Deux princes opposés

Chapitre 5: Contenance interrompus

Il place son visage pile face au sien, aillant réussi à calmer sa soif qui revenait dangereusement. Ses pupilles étaient dorées, regardant les deux océans face à lui.
Tartaglia détourna la tête, n'en pouvant plus et coupa sa respiration pour éviter de renifler l'odeur trop appétissante qui venait du vampire.
Tartaglia : Tu ne sais pas ce que tu me demandes là...
Les pupilles dorées du brun le rendaient si faible qu'il allait bientôt y succomber. Mais il allait tout de même essayer d'y résister.
Zhongli: Je n'ai jamais parlé, ou plaisanter dans des moments sérieux.
Il pose sa main à sa joue, la caressant, le forçant à le regarder, il mit son front contre celui du loup.
Zhongli : Alors si j'ai conscience de ce que je te demande... Me force pas à le formuler autrement...
Il devient rouge, gêner, mais regarde le roux.
Le vampire le voulait.
Réellement.
Cet sensation, cette chaleur en lui, monter... Pour finalement qu'il cède.
Il pose alors ses lèvres sur les siennes, comme ils avaient fait quelques heures avant.
Tartaglia finis lui aussi par céder en collant davantage le vampire contre lui, son corps fut parcouru par un frisson terrible qui le rendit fou. C'était la goutte d'eau de trop qui fit déborder le reste de raison qu'il lui restait.
Le sentant enfin céder, il continua jouant avec ses lèvres, les léchant, jouant avec ces mains les faisant tâter le corps du roux, fermant ces yeux avec leur baiser ardent... Le réchauffant réellement.
Le rouquin grogna contre ses lèvres, et par surprise, il poussa le brun en arrière pour se retrouver à califourchon sur lui, passant sa langue dans la bouche et mettant ses mains de chaque côté de la tête du vampire.
Le vampire émet un son de surprise en le voyant en un éclair au-dessus de lui, sentant sa langue, par instinct, la rejoint avec la sienne.
Ses mains viennent alors entourer le cou du loup, le tirant vers lui.
Cette chaleur qui le prenait...!
C'était intense !
Il était dépendant de cette sensation !
Brûlante, et si plaisante...
Son corps frémit entièrement à chaque geste du loup.
Après avoir parcouru sa bouche de toute part avec sa langue, dans un grognement, il délaissa ses lèvres pour descendre dans son cou. C'était la première fois, mais il laissa parler son instinct. Il se laissa guider par lui, mais prenait un immense plaisir...
Cette chaleur en lui en redemandait, l'incitait à faire plus...
Il ne savait plus vraiment où donner de la tête... Il ne prit même pas la peine de déboutonner la chemise du brun qu'il arracha les boutons et colla son torse-nu à celui du vampire dans un soupir...
Il était froid, mais ça refroidissait un peu son corps devenu bouillant.
Le brun eut un couinement.
Personne n'avait approché le cou d'un vampire...
Et encore moins un loup.
Torse coller à celui de Tartaglia, sentant parfaitement la chaleur de ce dernier, ses pupilles brilles d'un doré intense, tirant la tête du loup davantage sur son cou.
Son souffle chaud, et leur proximité commencée à le réchauffer... Autant physiquement que mentalement.
Dans son cou, il y déposa des baisers, des coups de langue et mordillait à quelques moment. Dans un élan de désir, il colla son bassin à celui du vampire lui faisant sentir son excitation grandir dans son pantalon.
De sa vie, il n'a jamais eu autant une envie pareille pour quelqu'un et surtout d'un vampire.
Plein de sentiments et d'émotion se mélanger dans sa tête, mais il préféra s'arrêter au désir charnel. C'était devenu comme une drogue à ce moment même...
Le brun, bougea un peu son bassin, une fois coller au roux.
Il sentait son corps réagir à celui du loup, tout en faisant des caresses à ce dernier voulant qu'il dirige lui, entièrement, car c'est lui qui est dans le besoin... Tandis que le vampire, été "pur" aillant rien lu, rien entendu dans ce sujet.
Mais se permit d'embrasser le torse à chaque occasion qui se présentait, évitant le cou pour le moment le temps qu'il parvienne à se calmer... Surtout ces pulsions ne voulant pas blesser son """ami""".
Bien qu'il maintient son regard dans le sien.
Le loup grogna, se débarrassa de son pantalon et celui de son compagnon. Il n'en pouvait plus.
Il allait exploser...
Il descendit sur le torse aussi immaculé du vampire et le lécha avec appétit tout en frottant sa virilité a la sienne.
Si le vampire ne l'arrêtait pas, il ne comptait pas s'arrêter là... Il avait trop mal dans le bas du ventre pour s'arrêter en si bon chemin. De son regard azur et perçant, il demanda comme une autorisation au brun.
Zhongli finit par gémir faiblement au frottement.
Son regard doré était obstrué d'un voile de désir, passant ses jambes derrière le roux le tirant vers lui.