« Je te frappe parce que je t'aime. »
Les premières années d'une vie sont déterminantes pour un être humain. Ici, on apprend comment elles pourrissent la vie d'un homme.
« Est-ce qu'on mérite le bonheur quand on a gâché la vie d'autrui ? »
Découvre...
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« Parait que la vie c'est une grosse biatch, qu'elle est beaucoup moins belle sans son maquillage. »
Voilà comment j'ai perdu Nawfel, aussi facilement.
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|DANS LA PEAU DE ZAKARIA|
11:25 : Dubai, Émirats Arabes Unis📍 Naya et moi étions dans le taxi, je tenais sa main en fermant les yeux. J'étais lessivé, j'avais sommeil, j'avais chaud..
Naya-Zak !
Moi -Hmm ?
Naya -Ouvre les yeux.
⏳
[...]
On a pris l'ascenseur puis nous sommes montés jusqu'à notre chambre.
J'ai claqué la porte tandis que Naya est allée sauter sur le lit. Ce lit aurait pu contenir quatre personne tellement il était grand... la clim était déjà en marche ; qu'est-ce que ça faisait du bien.
Naya s'est laissée tombée sur le lit en mode étoile. Moi je suis allé m'attarder sur la vue ; à la fois impressionnante et déstabilisante. Naya m'a rejoins.
Moi -Ça m'a manqué.
Naya -Quoi, t'es déjà venu ?
Moi -Non.
J'ai serré bebesita contre moi.
Moi -Ça m'a manqué d'être avec toi, loin de chez nous.
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|DANS LA PEAU DE DEYENA|
00:25 : Paris (Haut-de-Seine, 92)📍 Après avoir fait dix-sept heures de trajet en voiture —où j'ai passé plusieurs heures à pleurer toutes les larmes de mon corps— me voilà arrivée saine et sauve chez moi.
J'ai garé ma voiture un peu loin de mon quartier, par peur de représailles. J'ai pris mes deux valises, mon sacs à main et je me suis dirigée vers mon bâtiment. J'ai utilisé une technique que je connaissais depuis longtemps pour ouvrir la porte sans le badge, je suis allée prendre l'ascenseur.
