partie 4

84 16 0
                                    


Alors que leur arme étaient pointé l'un sur l'autre, il se passait un combat mental calculant les moindre fait de l'adversaire pour prévoir ses mouvements. Le silence se brisa sous le bruit d'une arme. Sergio avait tiré le premier, on ne savait d'ou était venu ce vent mais il avait fait dévié la balle sous le regard surpris du mafieux.

Hugo profita de cet instant pour frapper la main de Sergio et faire tomber son arme. Reprenant son calme Sergio se leva d'un bon balançant la table face à eux sur Hugo qui se jeta de côté pour l'éviter. Sergio lanca son pied pour faire tomber l'arme. Hugo regarda l'arme par terre puis regarda Sergio prêt à se battre.

-soit alors on va faire comme à la vielle époque

-ramène toi corbeau

Hugo retira son manteau et se mit en position. Sergio s'elanca, jetant des coups de point à droit et à gauche laissant  peine le temps à Hugo d'en placer une. "gauche, gauche, droit" pensa Hugo, "ouverture". Hugo lanca le point dans le torse de Sergio qui ne bougea pas d'un iota, il avait pourtant mis une 

-tu as oublié que j'étais lutteur, dit alors Sergio, j'ai une peau d'éléphant

-je t'emmerde ! Un autre point arriva directement dans le visage d'Hugo qui ne put l'exquivé le prenant en pleine joue

La gout du sang dans sa bouche, cette sensation ça faisait longtemps. Il reprit rapidement place, commencant à son tour à passer à l'attaque. Sergio avait une technique bien a lui, ne bougeant presque pas, l'ancien lutteur n'avait pas perdu la main. Hugo lui devait se montrer l=plus tactique, commencant à viser certaines point évitant d'autre coup. Il réussi enfin à frapper Sergio qui laissa jaillir un jet de sa bouche. Le combat continuait aucun d'eux ne voulait abandonner "Désirée, je dois sauver Désirée" dit Hugo respirant bruyamment.

-tu as perdu ta langue, dit Sergio en s'approchant d'Hugo

-on va dire que j'ai enfin trouvé un adversaire à ma taille

Hugo s'elanca donna un coup dans le visage de Sergio qui recula, il lanca son pied, l'enfourchant. Le mafieux s'écroula puis sur le point de se relever Hugo se précipita sur lui pour lui assener plus de coup. Il frappait avec plus de rage. Sergio était vulnérable, salement amoché, il souleva un débris de verre avec lequel il traca le torse d'Hugo. La blessure peu profonde avait suffit à l'obligé à reculer. Sergio se remit debout, voulant prendre son arme Hugo revint alors à la charge. Le combat reprit de plus belle, les mouvements plus intense, Sergio n'avait plus de force et se retrouvait face à un Hugo fou qui a chaque coup semblait se délecter du combat.
Bloqué contre le mur Sergio ne faisait que subir les coups d'Hugo. Il s'écroula finalement au sol. Hugo prit son arme le pointa sur Sergio

-je croyais que tu ne devais pas me tuer, Hugo se rappela des paroles d'Ella

-où es ma fille et je t'épargne

-dans l'arrière salle, dit Sergio crachant du sang

-d'accord, Hugo se baissa vers lui, je ne te tuerai pas parce que je considère que tu es déjà mort et que ton secteur m'appartiens prend ta femme et tes enfant et quitté le pays

Hugo se leva et se dirigea vers l'arrière salle. Sergio avança à quatre patte vers son arme voyant Hugo s'éloigner de lui. Il récupéra l'arme se mit difficilement débout et la pointa sur Hugo

-tu es stupide ! il dit à peine cela qu'il voulut tiré mais vacilla

Il avait basculé épuisé, glissant puis se heurtant la tête contre comptoir. Son corps glissa lentement laissant derrière la trainé de sang. Hugo le regarda Sergio était mort. Il avança difficilement vers l'arrière salle. Toussant du sang et tanguant.

-Désirée... il faut que je récupère ma fille, dit-il s'efforcant de rester éveiller il avait reçu des coups à la tête

-Corbeau tu m'entends

-Juan c'est toi

-oui Angel a trouvé Christian 

-tant mieux je vais pouvoir tuer moi même

-il est déjà mort

-dommage, Juan rend moi service continue de parler je ne veux pas perdre connaissance

-ça va ?

-j'ai reçu un coup sur la tête, il ouvrit la porte

-j'arrive

-alors fais vite je pense pas tenir longtemps il faut au moins que je puisse prendre Désirée

Hugo poussa la porte et fut étonné de voir assis tranquillement sur une chaise le fils de Sergio qui dorlotait Désirée endormie.

-Alphons ?

-docteur Devis ?

-qu'est-ce que tu fais ici petit ? dit Hugo en s'approchant du petit qui recula instinctivement Juan arriva rapidement et attrapa Hugo

-mon papa m'a dit de l'attendre ici avec le bébé, Hugo et Juan se regardèrent Sergio était si sûr de lui qu'il avait laissé son fils derrière

-pourquoi vous êtes couvert de sang

-ton papa ne pourra pas venir, dit Hugo

-pourquoi ? demanda le petit

-il euh... il est malade et je viens de l'amener à l'hôpital tu peux me donner la petite

-non papa a dit de ne pas la donner

-oui mais cette petite c'est ma fille, l'enfant de 10 ans regarda la petite puis regarda Hugo

-c'est votre fille docteur ?

-oui Alphons viens avec moi on va aller chez toi

-et pour mon papa ?

-on ira chez toi d'abord puis on voir à l'hôpital

-sur ?

-oui, dit Hugo prudemment le petit marcha vers Hugo et lui tendit Désirée, Hugo passa sa fille à Juan et souleva le petit

-tu vas le tuer, murmura Hugo

-non Sergio ne voulait pas tuer Désirée et ce n'est qu'un enfant, il regarda Alphons, il faut que tu fermes les yeux quand je te dirai de les ouvrir je le ferai tu peux faire ça mon grand

-oui bien sur

-tu auras une récompense après ça

-d'accord, Alphons ferma les yeux, Hugo et Juan traversèrent la salle arrière puis arrivèrent dans le hall du restaurant où le corps de Sergio gisait dans le sang

Ils finirent par sortir de la salle et montèrent dansla voiture, Alphons indiqua la route de sa maison. Hugo tenait Désirée dans ses bras était soulagé, il s'obligeait a rester éveillé. Qu'allait-il dire à la femme de Sergio. Lorsqu'ils descendirent de la voiture, tous les hommes de celui-ci en le voyant arrivé, comprirent finalement ce qu'il s'était passé. Alphons tenait la main d'Hugo qui tenait Désirée de l'autre à son passage, les hommes de Sergio n'intervint pas. Juan sonna à la porte et ils entrèrent dans la maison. 

-ça va Hugo ? demanda Juan inquiet

-je tiendrai le coup jusqu'à la maison, prend Désirée, je vais parler à la femme de Sergio tu n'as pas oublié d'appeler l'ambulance n'est ce pas ?

-non ils doivent être sur les lieux je pense et on a assez de faux témoins pour inculper Emile

-docteur Devis ? dit la dame en venant, Alphons couru dans les bras de sa mère, vous êtes couvert de sang

-maman papa est à l'hopital

-il faut que je vous parle madame Marino c'est à propos de Sergio...



HUGO...[terminé en correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant