Bonjour à tou.te.s ! Voici le chapitre 7 qui s'avère être un peu moins long mais pour l'unique et bonne raison que j'ai du le couper en deux partie. J'ai malencontreusement écrit deux chapitres en un alors vous aurez la suite très rapidement je pense... Et comme vous pouvez l'imaginer, la suite sera bien plus haute en rebondissements. Alors mettez vous à l'aise, installez vous confortablement, il semblerait que notre reine du sarcasme préférée commence à laisser tomber le masque...
Je vous aimes tous, merci de continuez à me soutenir comme vous le faîtes à chaque fois, vous êtes une source de motivation intarissable !
N'hésitez pas à me donner votre avis et à commenter, toutes les personnes qui le font c'est grâce à vous si je continue d'écrire et garde cette motivation constante à terminer ce que j'ai commencé, Aucune de mes histoires n'auraient jamais était ce qu'elle est sans vous! N'hésitez pas à voter également ! Love u all <3
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Il était trois heure trente du matin lorsque Regina fut réveillée par les coups frappés contre sa porte, elle s'éveilla dans un sursaut, son cœur ratant un battement. Ce devait être encore un coup de la russe, elle et son entêtement pour l'entraînement à des heures insensés, elle hésita à ouvrir mais elle n'avait aucune envie que Moscovitch n'enfonce sa porte. Elle s'y dirigea alors, toujours dans un demi-sommeil, à peine la porte fut ouverte que l'agent américaine comprit qu'il ne s'agissait pas d'un entraînement.
- Tu vas bien? Demanda la brune en voyant le visage inquiet de sa mentor.
- On a une prise d'otage en cours à l'opéra de Moscou depuis plusieurs heures maintenant, on va avoir besoin de toi... On a aucun visuel de l'extérieur, les murs sont tellement épais et isolé que c'est impossible de savoir ce qu'il se passe à l'intérieur. On a plus de neuf cent personnes à l'intérieur et on a aucune idée de ce qu'il s'y passe en ce moment. Un des artistes qui a réussi à s'enfuir des loges à donné l'appel. Une quarantaine de personnes parlant ukrainien armées de kalashnikov, de pistolets semi-automatiques et de grenades, on en sait pas vraiment plus pour le moment. Environ quatre vingt personnes ont réussi à fuir le bâtiment.
La main de la plus jeune vint se poser sur le bras de la russe, glissant dans une caresse rassurante.
- J'arrive, j'enfile mon uniforme et je te suis d'accord ?
Elle relâcha l'autre femme, partant vers la salle de bain, sans prendre soin d'en refermer la porte sachant que la russe l'attendait et continuait la conversation.
- Fais vite, et appelle ton garde du corps.
La voix de la brune provenant de la salle de bain l'interrogea.
- Pourquoi ?
- Je veux quelqu'un pour te protéger.
Regina réapparu, un léger sourire sur les lèvres, complètement habillée, enfilant ses rangers encore légèrement sales.
- Tu fais déjà ça très bien tu sais...
- Mais je ne peux pas te protéger si je suis envoyé là dedans, alors appelle-le, ne discute pas.
- N'oublie pas ce que tu m'as promis...
- J'ai promis que je ne mourrais pas devant toi, et ça n'arrivera pas car il n'y a aucune chance que tu rentres là dedans...
- Je ne rentrerais pas là dedans effectivement mais tu ne mourras pas non plus à l'intérieur...
La petite brune la suppliait presque du regard, s'accrochant à sa manche tandis que la russe continuait de regarder attentivement son cellulaire sans lui prêter attention.
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Une balle contre leur camp
Любовные романы"Il m'aimait, avec haine, c'est l'amour le plus fort..." - Dostoïevsky. À Moscou, Elena Moscovitch et les autres agents du FSB ne semblent pas avoir beaucoup à apprendre d'une jeune criminologue à peine sortie de ses études. Regina Price de son côté...