Une balle contre leur camp

Chapitre 14

Bonjour à tou.te.s! Voici le chapitre 14  qui annonce le début d'une air tout autre dans ce roman, nous arrivons enfin à l'affaire qui aura le plus traumatisé Regina. Évidemment je ne m'attaque à aucune religion ici, le but n'est pas de décredibiliser une quelconque religion, Fyodor n'est pas un religieux vous l'aurez compris, simplement une personne atteinte de pathologies mentales non soigné dont le délire s'est orienté vers le spirituel et la religion. Alors plein d'amour sur les chrétien•nes, musulman•es, juif•ves et tou•te•s les autres qui me lisent! Je vous souhaite une très bonne lecture!

Je vous remercie de continuez à me soutenir comme vous le faîtes à chaque fois, et à continuer de me suivre dans ces aventures ! Vous êtes une source de joie et de motivation inimaginable !

N'hésitez pas à me donner votre avis et à commenter, toutes les personnes qui le font c'est grâce à vous si je continue d'écrire et garde cette motivation constante à terminer ce que j'ai commencé, Aucune de mes histoires n'auraient jamais était ce qu'elle est sans vous! N'hésitez pas à voter également ! Love u all <3

************************************

Après plus de 14 heures de vols sans le moindre droit de sommeil, leur avion se posa au sol à 22 heure 38 heure local grâce au 11 heure de décalage horaire entre les villes de New-York et Novossibirsk, ce qui fut un soulagement pour les deux femmes.

Regina sortit de l'avion en tremblant, réalisant à quel point il faisait froid dans ce pays qu'elle haïssait et plus précisément cette ville de malheur aux portes de la Sibérie. À l'interieur de l'avion, le commandant de bord avait annoncé -18 degrés mais elle était persuadée qu'il faisait au minimum quinze degrés de moins. Une fois les valises récupérées, Elena aila un des rares taxis qui se trouvait à l'aéroport, lui donnant les indications en russe avec un accent bien plus prononcé qu'à l'habituel l'empêchant de comprendre un seul mot. L'homme conduisit rapidement, sans détour, les déposant devant l'hôtel, la russe paya cash avant de sortir leurs valises et d'amener la brune à l'intérieur. L'hôtel semblait assez moderne, plutôt pas mal pensa Regina, tant qu'il y a un bon chauffage, de l'eau chaude et un lit chaud c'était tout ce qu'elle souhaitait à ce moment même. Un trousseau de clés leur fut attribué, Regina lui adressa un regard en coin.

- Tu ne dors pas ici ? Demanda la criminologue légèrement inquiète.

Elena afficha un léger sourire, appuyant sur le numéro 4 de l'ascenseur qui se mit à grincer une fois en marche.

- Pourquoi? Tu ne serais pas rassurée seule ici? La taquina-t-elle.

- Non, avoua Regina.

Elles sortirent de l'ascenseur et Elena déverrouilla la porte au fin fond du couloir, qui s'ouvrit sur une grande pièce semblable à l'entrée d'un appartement. Elle donnait directement sur un canapé face à une télé, derrière ce canapé se trouvait un immense lit qui faisait déjà rêver Regina. Une porte était ouverte sur une grande salle de bain dont la baignoire faisait également rêver la brune. Une porte dérobée attira l'œil de l'americaine, elle la fit coulisser dévoilant une seconde chambre où trônait un lit plus petit que le premier ainsi qu'un bureau.

Regina se retourna vers Elena, un immense sourire sur le visage.

- Tu restes ici avec moi alors? Dans la même chambre?

Elena se mit à rire légèrement, envoyant un faux regard de reproche à Regina.

- N'affiche pas ton bonheur, je suis simplement ici pour assurer ta sécurité puisqu'on a abandonné ton blondinet. Egalement pour que l'on soit plus efficace, ça nous permet de travailler jour et nuit.

- Évidemment, souffla Regina en s'approchant de la russe.

Elena s'échappa rapidement, évitant la brunette qui menaçait le programme.