06.

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TOC TOC

- ENTREZ. Hurla le directeur a travers sa porte.

Je regarda a gauche, puis a droite afin d'être sur qu'aucun gardien ne met remarquer.

- Bonjours. Dis-je d'un sourire narquois.

- Q..Que faites vous ici? Dit le directeur terrifie.

- Mais voyons, ce n'est point comme sa que l'on accueille ces prisonnier. Dis-je en riant.

- J..J'ai tout vus, je sais qui vous êtes Neith. Dit-il tout tremblant.

- Justement, cela me gêne un peu beaucoup. Donc vous allez, gentiment me donner la cassette vidéo ok?

Il mît sa main, en dessous de son bureau pour atteindre un bouton qui doit être un bouton d'alerte je pense.

- Pourquoi appuyez sur ce bouton? Nous parlons entre adultes vous ne voyez pas?

- Vous n'êtes qu'une meurtrier psychopathe. Allez périrent enfer, enfant du diable. Dit-il en rapprochant sa main du bouton.

- J'ai été assez patiente non? Je vais pas me le répéter, vous allez me donnée cette foutu cassette sinon vous le regretterez. Dis-je d'un ton froid.

- Jamais, je ferais tout pour vous envoyez dans une prison jusqu'à la fin de vos jours. Dit-il fier de lui.

- Auriez-vous oublier qui je suis? Si je veux, demain je quitte cette prison, mais pas maintenant ces trop tôt. Revenons, cela serais dommage que la petite Paola est comment dire? Un accident? Dis-je en riant.

- Ne faite pas de mal a ma fille, ces bon je vous donnerai la cassette vidéo. Dit-il au bord des larmes.

- Les cassettes s'il vous plait, ne me prenez point pour une cruche.

- Je peux pas, si je vous les donnes des dizaines d'innocents risque de mourir. Dit-il perturbe.

- Dont votre fille.

- MONSIEUR FOLO VOUS ALLEZ BIEN? Cria un gardien a travers la porte.

- Un mot de travers, et je tue votre famille. Dis-je en chuchotant.

- O..Oui ne vous inquiétez pas, allez surveiller les prisonniers et je veux personnes dans mon bureau. Dit-il d'une voix tremblante au garde.

- D'ACCORD.

- Alors vous seriez près a laissez la vie de votre petit fille pour des cassettes vidéo?

- D'accord, je vous donne les cassettes mais ne touchez pas ma famille si vous plait. Je vous en conjure. Dit-il tremblant.

- Une promesse est une promesse. Dis-je fier.

- Tenez. En me les tendants.

- Ceux qui viens de se passer entre ses quatre mur, reste entre ses quatre mur ok?

- O..Oui.

- De plus, un mots de travers sur mon identité et le dilemme et rompus compris?

- O..Oui d'accord je ne dirais rien.

- Passez une bonne journée.

Je sortis du bureau sourire aux lèvre. Mais, j'oublie un petit détail, ou est-ce que je vais allez? Ma cellule et remplis de sang.

- Au faite. Dis-je en rentrant dans le bureau.

- Que voulez-vous. Dit-il tout blanc.

- Calmez-vous voyons. Dis-je en riant.

- Il me faut une nouvelle cellule car l'autre et comment dire, prise. Dit-je en souriant.

- Par ce pauvre Ismael. Dit-il en chuchotant.

- Oui oui bien sur, alors?

- Ce n'est pas possible, il n'y a pas d'autre cellule.

- Je rêve, ou vous venez de me contredire? Dis-je rouge de colère.

- N..non, excusez-moi.

- On ne s'excuse pas sois-même. Dis-je en riant.

- Revenons, il me faut une cellule est maintenant ok?

- D..D'accord, laissez moi quelque minute pour vous trouvez sa. Dit-il en cherchant sur son ordinateur.

- Ne prenez pas une éternité. Dis-je en m'installant.

- Alors, il y'a deux cellules libre mais avec cohabitation. Dit-il.

- Dite moi tout. En mettant mes pied sur le bureau.

- Cet a dire? Me regardant effrayer.

- Qu'elle incapable, je veux savoir le secteur, le nom du prisonnier avec qui je vais éventuellement partager ma cellule, pourquoi il a été inculpé ces bon? Dis-je exaspérer.

- M..Mais, je suis tenu au secret professionnel.

- C'est pas mon problème sa, sois vous me dites, sois vous dites au revoir a votre seul et unique fille. Dis-je en riant.

- D'accord, je vous dirait tout, juste ne la touchez pas.

- Bla bla bla toujours et encore du bla bla, arrêtez de piailler et dite moi. Dis-je agacer.

- La cellule numéro 256 située dans le secteur A, votre co-cellulaire le prisonnier numéro 578 Raphaël Martin, inculper pour trafique.

- Humm non, passez.

- D'accord, la cellule numéro 567 située au secteur C votre co-cellulaire le prisonnier numéro 234
Jordan Srymaria, inculper pour pédophilie.

- Vous me faites bien rire, est ce que j'ai une tête a faire colocation avec un pédophile? Dis-je d'un ton glacial.

- M..Mais.

- Y'a pas de mais, donc vous allez me trouver une autre cellule et sa immédiatement, j'en veux une dans le secteur B. Dis-je en le coupant.

- D..D'accord.

La peur se lisait dans ses petit yeux de couleur vert. Ses pauvres mains tremblantes, touchaient le clavier. Son beau teint matte de latino faisait place a un teint blafard.

- Alors?

- Je..J'ai pas trouver. Dit-il hésitant.

- Êtes vous sur? Car vous savez Paola, lui reste une long vie a vivre. Dis-je en tournant ma mèche de cheveux autour de mon doigt.

- I..Il reste une seul cellule. Dit-il apeuré.

- Aah voilà, ces pas si compliquer. Dis-je d'un grand sourire.

- La cellule numéro 822 située au secteur B, votre ou plutôt vos co-cellulaire les prisonniers numéro 567 et 568, Chadi et Chahine Ahousnie.

Les jumeaux? Intéressant. Parfait, rien de mieux que d'approcher l'ennemi, gagner sa confiance et le poignarder. Personne, ne serais au dessus de moi.

- Très bon travail. Dis-je en souriant.

- Vo..Vous voulez allez dans cette cellule? Dit-il a la limite du malaise.

- Oui, alors dites moi pourquoi sont-ils inculper? Dis-je toute contente.

- J..Je ne peux rien vous dire excusez-moi. Dit-il baissant la tête.

- On ne s'excuse pas sois-même pour la énième fois, bon je vous laisse pour cette fois si.

- Merci.

- Oui oui, appelez un gardien pour qu'il me ramène dans ma nouvelle cellule, et un autre pour ramasser le corps de l'autre fouineur. Je vous le dit, un mots sur moi et Paola disparaît de ce monde.

- Je ne dirais rien. Dit-il tremblant.

- Alors tous se passera bien.

[...]

A la recrée.

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<<Neith-Âheli: plus fou que moi? Ça existe.>>Où les histoires vivent. Découvrez maintenant