<<Neith-Âheli: plus fou que moi? Ça existe.>>

11.

[Neith] 11.

- S'il te plait laisse moi, je suis vierge. Dis-je tremblante en pleurant.

- Chuut, n'est pas peur je vais pas te faire de mal. Dit-il en m'embrassant.

Je me débattais du mieux que je pouvais, mais impossible.

Je me mis alors a criée le plus fort possible, pour éventuellement avoir de l'aide.

- Ferme-la. Cria le jeune homme.

- Laisse-moi. Dis-je en suffoquant.

- Tu peux criée autant que tu veux personne ne viendras. Dit-il en riant avant de m'embrasse.

Sans m'y attendre, une douleur atroce se fit ressentir vers le bas de mon ventre.

- AAAAAAAAAAAH. Criais-je de toute mes tripes.

Ce jeune garçons, dont je ne connais ni le prénom, ni l'âge venait de retirée mon bijoux, ma fierté.

Comment a t-il pu? N'a t'il aucun principe?

Pourquoi ai-je voulus écouter mes sois disante amies?

Si seulement mes parents ne m'aurait pas abandonner, si seulement je n'avais pas écouter mes "amies", si seulement je n'aurais jamais connu cet orphelinat.

C'est avec les Si qu'on referait un monde.

Je hais cette orphelinat.

Lorsqu'il eut finit, il se releva de moi et s'habilla, je fis de même.

- J'en ai pas finis avec toi poupée. Dit-il en caressant ma joue avant de sortir et en me volant un baiser.

•
Je jouais tranquillement dans ma chambre, lorsqu'IL ouvrit la porte.

Mes membres se mirent a trembler, ce jeune homme est mon pire cauchemar.

- Ta quoi a me fixer? Dit-il en fronçants les sourcils.

Pourquoi je te fixe? Car tu es un monstre, tu as osée m'enlever mon bijoux sens scrupule, a cause de toi je suis sale et sans valeur.

- R..Rien excuse-moi. Dis-je en baissant la tête.

Je ne pus répondre autre chose a par sa.

- Ouai ouai, *hessoule tu fais quoi? Dit-il en s'asseyant près de moi.

- J..Je joue a Mario Kart. Dis-je apeure.

- Pourquoi ta peur? Dit-il en me caressant la cuisse.

- Qu'est ce que tu fais? Dis-je terrorisée.

- Rien de grave a mon avis. Dit-il en riant avant de se mettre au dessus de moi.

Il était au dessus de moi, m'embrassant.

L'enfer recommence pour la énième fois.

- Non s'il te plait pas encore. Dis-je en essayant de le repousser.

- Tu peux me pousser ou m'insulter autant que tu veux, tu vas encore y passer. Dit-il en riant.

Ce bâtard ma encore violée, j'en ai marre, sa fait trois mois que je subit chaque jours un viole par cet ordure.

- Tu vas le regretter. Dis-je en pleurant.

- A demain Âheli. Dit-il en riant.

•
- Samer s'il te plait. Dis-je en faisant une bouille de bébé.

- Pff bon d'accord mais on fait vite.

- Merci Terkan. Dis-je en lui sautant dessus.

- Arrête de m'appeler comme sa c'est moche. Dit-il en boudant.

- Haha mais qu'est ce que raconte, tu t'appelles comme sa.

- Nan, c'est Samer mon prénom.

- Samer-Terkan. Dis-je en souriant

- Neith-Âheli. Dit-il en souriant lui aussi.

Nous sommes alors sortit tout les deux faire un tours sans que personne ne le sache, très mauvaise idée d'ailleurs.

- C'est sois toi, sois elle. Dit l'éducateur.

- Prend-moi, moi. Dit Samer se mettant devant moi.

- Ton courage te tuera mon petit.

L'éducateur, nous prit Samer et moi, et nous mimes dans une sorte de cave.

Sous mes yeux, il se mît a torturer Terkan, je le voyais souffrir je sentais sa souffrance a travers ses yeux et ses cris.

- Je t'aime Âheli. Dit-il en chuchotant avec le peu de force qu'il lui reste.

- Moi aussi. Dis-je en chuchotant les larmes aux yeux.

D'un coups, l'éducateur pris une barre en fer et donna un coups très puissant sur la tête de Samer qui lui cria tellement fort que mes oreilles me firent mal.

- SAAAAMEEER. Criais-je en pleurant.

Ce jours la, j'ai vu Samer-Terkan mourir sous mes yeux, a cause de moi.

Tu était mon frère, ma vie, mon meilleur ami, mon mari, mon tout.

Tu as rejoints les cieux pour me laisser saine et sauf, j'aurai du t'en empêcher.

Repose en paix Samer.

- SAMER NAN TU L'AS TUÉE. Dis-je en criant et pleurant.

•
- APPELEZ UN MÉDECIN VITE.

- madame réveillez-vous.

Je me sentis secouer et vis une infirmière au dessus de moi le visage inquiet.

- Madame vous allez bien?

- Oui, ou suis-je?

- Vous êtes dans un hôpital, vous avez été hospitalisé après vous êtres évanouis, nous avons dut vous mettre dans un coma artificiel pendant trois mois pour évité toute hémorragie. Dit le médecin.

- Humm d'accord.

- Nous allons vous faire quelque examens et vous gardez en observation.

Je ne répondus pas, ils sortirent tous de la chambre.

Devant la porte se trouvais deux gardiens de prison pour évité que je m'échappe.

J'étais comment dire...déstabilise.

Mes souvenirs étaient remontée, ces p*tain de souvenir que j'aurai préfère ne jamais avoir, mon passe qui a écrit mon futur.

Ce passe qui a fait de moi, la femme d'aujourd'hui.

Si vous saviez mon passe, vous seriez choquer de ce qu'une gamine de dix-huit ans a vécu.

J'avais une seul envie, c'est de lâcher ces p*tain de larme, que je retiens.

J'aimerai temps remontée le temps, évitée tout les problèmes que j'aurai pu avoir, et empêcher Samer de ce sacrifier pour moi.

Je m'endormis la gorge nouée, et les larmes aux yeux.

J'assume et je le dit, ma plus grande faiblesse reste mon passer.

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