# Partie 71 #

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# Partie 71 #

ll est hors de question qu'elle gagne en nous fesant souffrir et il est hors de question que moi Eva je tombe dans son piège !

On verra qui est qui ! Et ça commence maintenant sorcière.

Lui c'est une victime mais il me fou a bout quand même je pouvais plus me le voir et j'avance et il me dis.

Bilel : Tu fais quoi ?

Moi : C'est pas tes affaires !

Je l'ignore et je vais dans le dressing prendre mon manteau j'ai besoin de souffler sinon je vais devenir folle !

Je le met et retourne dans la chambre prendre mon sac et mes clés et il me dit.

Bilel : Tu vas où tu fais quoi ?

Moi : Tu m'étouffe laisse moi ! 

Bilel : T'es sur ?

Moi : Oui je suis sur pourquoi tu vas me menacer  ? Tout ça pour un cadeau.

Bilel : T'avais qu'à te mêler de ce qui te regarde.

Moi : C'est ce que je fais donc fais en de même ! Et j'oubliais je parle avec qui je veux ! Tu veux pas lui parler c'est ton choix si j'ai envie de lui parler je lui parlerai après tout c'est chacun c'est  affaire non ?

Bilel : Je m'en fou fais ce que tu veux c'est ta vie,  mais ta pas intérêt à lui parler de moi.

Moi : T'es pas le centre du monde ! C'est bon je suis passer à autre chose si y'a rien à dire lâche moi.

Bilel : Je te tiens pas.

Je préfère ignorer, je vais pas jouer à qui aura le dernier mot je lui laisse je vais tellement l'ignorer qu'il vas douter de sa propre existence là je veux juste sortir et prendre l'air.

Je descend et je vois la folle qui lui sert de mère qui est encore là et elle me regarde avec un sourire sournois.

Sa me fesait ni chaud ni froid au fond de moi je me disais « souris bien et pense que ta gagner on verra qui sera le vainqueur » et je m'en vais.

Une fois dehors je monte en voiture et je roule pour me calmer.

Je décide d'aller dans l'ancienne maison, une fois là-bas je souffle mais j'arrivais pas à me changer les idées.

J'ai horreur de m'embrouiller avec lui mais le connaissant sa n'allait pas s'arrêter !

J'essayer de me détendre j'y arrivais pas j'avais la haine, le regard de sa mère ne quitter pas ma tête elle me fou a bout celle la !

Quand je pense que la soirée avait si bien commencé.

Ahlalala je voulais bien faire mais je réalise que j'ai eu tord, c'est dommage qu'il ne vas pas essayer mais je pense que sa doit être mieux comme ça lui seul sait ce que son père lui a fait vivre Ahlalal.

J'étais plongée dans mes pensées quand je reçois un message.

Je prend regarde lis et je me dis que c'est une blague ?

C'était sa mère mais il lui manque vraiment une case !

Sa disait.

: Sache que tu t'es attaqué à la mauvaise personne ce soir. Je suis pas ton égale ! Et quand tu t'attaque à plus fort que toi couvre bien tes arrières et serre bien ta ceinture, je m'en fou que tu sois sa femme si j'ai envie de mettre fin à votre relation j'y mettrai fin, profite parce que dès que je commencerai à te prendre ce que tu as je me contenterai pas de prend 10% ! Je te prendrai tout jusqu'au dernier idiote !

C'est vraiment une malade je sent que si je montre ce message à Bilel elle vas trouver le moyens de foutre la merde !

Comme ci elle a fait exprès mais elle ne vas pas gagner.

Moi : Ok d'accord.

Belle-mère : On verra bien si ça va durer

Moi :...

J'ai pas répondu, après ça j'ai décider d'aller prendre l'air dans le jardin et il commençait à ce faire vraiment tard.

Mais j'arrivais pas à décolérer et avoir les idées en place si je rentre et qu'il parle on vas vraiment s'embrouiller.

Je le sent elle a du lui monter le cerveau quand je suis partie.

Il fesait trop frais donc je suis rentrer à l'intérieur et je prend mon téléphone et je sais pas pourquoi mais je décide d'envoyer un message à son père.

Je sais pas y'a que lui qui m'a traversée l'esprit.

Moi : Bonsoir désolée pour le message tardif ! Mais je tenais à vous remercier pour le gâteau c'est Eva bonne soirée.

Et la contre tout attente il me répond

Beau-père : Ce n'est rien sa ma fait plaisir, j'espère que tout c'est bien passer.

Moi : Oui tout c'est bien passer et vous ça va ?

Beau-père : Tu peux me tutoyer !

Moi : Sur ?

Beau-père : Oui sûr je te considère comme ma fille.

C'était des simple mots mais tellement j'étais mal sa ma fait un bien fou.

Moi : Merci sa fait du bien.

Beau-père : C'est normal ne me remercie pas.

Moi : D'accord et tu vas bien ? C'est sur ?

Beau-père : Très bien, tu t'inquiète parce que je suis réveillé si tardivement ?

Moi : Un peu.

Beau-père : Je travaille mais une petite pause grâce à ma belle-fille me fait beaucoup de bien.

Aaaaah c'est vraiment trop mignon il a dit ma belle fille.

Moi : C'est avec plaisir.

Beau-père : Et toi ça va ? C'est normal que tu sois réveiller si tardivement ?

Moi : Ouii c'est normal avec le rangement et tout sa ma prit un peu de temps.

Je veux pas qu'il culpabilise.

Beau-père : Je vois et tu est sur que c'est une bonne idée de me parler et qu'il ne vas pas ce fâcher ?

Moi : Oui je suis sur ne t'inquiète pas, je lui ai fais savoir que j'allais te parler. Et je voulais te dire que je suis désoler de n'avoir jamais appeler ou même chercher à te joindre c'est pas polie de ma part après tout ce temps, je m'en veux.

Beau-père : Tu n'a pas à t'en vouloir j'ai était en retrait dans vos vie, donc ne t'en veux pas et puis mieux vaut tard que jamais.

Moi : Oui sa me fait un peu bizarre, en tout cas je suis contente d'enfin te rencontrée.

Beau-père : Plaisir partagé.

Moi : Je vais te laisser on ce dit à une prochaine fois, tu dois être déborder pour travailler si tard.

Beau-père : C'est pas faux mais sa ma fait du bien.

Moi : Merci bonne nuit prend soin de toi.

Beau-père : Bonne nuit ma fille.

Après ça j'ai poser mon téléphone sa ma vraiment apaiser du coup j'ai décider de rentrer à la maison.

Une fois arrivée tout étais éteins j'en a conclu que mon idiot de mari dort.

Du coup je suis aller voir Youba dans sa chambre et il dormait profondément.

Je lui fais un gros bisou et je vais dans ma chambre.

Je rentre et je vois qu'il n'est pas la.

J'étais épuisée je me suis déshabiller et je me suis coucher, j'essayais de dormir mais j'y arrivai pas, sa me soûler de pas savoir où il était.

Et au même moment la porte de la chambre s'ouvre j'en ai conclu que c'était lui.

Du coup j'étais soulagée et je me suis endormie.

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Eva Ma Vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant