Eva Ma Vie

# Partie 84 #

# Partie 84 #

500 millions c'est pas possible !

Pourquoi ils m'ont garder si il avait autant d'argent c'est énorme.

Sa me rendait dingue je sais plus quoi penser.

Moi : Sa peut pas être vrais ils m'ont pas relâcher parce que tu n'avais rien donner, il ce foutait de ma gueule en me disant que tu t'en foutais de moi, et me montrer tout les articles ou vidéo te concernant, ils ont dit que tant que tu ne passera pas l'argent je resterai avec eux.

Papa : J'ai toujours payer les rançons, de la première à la dernière, il ce jouait de moi, au début ils ont demander 1 million, en suite 2 million puis 10 million, c'était sans fin, je sais pas comment ils ont fait mais quand ils ont su que j'avais engagé quelqu'un ils m'ont menacer et envoyer les doigts à ce moment là, j'ai tout arrêter j'avais peur de te perdre, je savais pas qui était mes ennemis, c'était difficile pour moi de savoir que mon seul fils a était kidnapper, oui je bossais énormément et comme je te l'ai dis je le fesais pour payer leur rançons, mais je ne t'ai jamais abandonné.

Moi : Tout ce qu'il me montrait prouver le contraire.

Papa : Il voulait que tu y crois, que tu perd espoir et que tu pense vraiment que je t'ai abandonné, tu n'a pas penser à cet éventualité ?

Moi : Ils ont rien montrer de telle sur maman pourquoi toi et elle ils ont rien dit à son sujet rien montrer, sauf qu'elle me pleurait. J'aurai pu y croire mais tu a changer quand je suis rentrer à la maison tu étais distant !

Papa : Tu voulais pas que je t'approche, tu voulais pas que je te parle, que je te touche, ou que j'essaye de faire quoi que ce soit. Sa ma briser le coeur j'ai pris mes distance pour que tu sois mieux, j'avais l'impression de te rendre encore plus triste en m'approchant de toi et que ton état mental empirer, je m'en voulais de ne pas avoir eux un rôle de père exemplaire. Et tu avais ta mère, tu la laisser t'approcher tu la laisser te parler, j'étais soulagé et je pensais que c'était suffisant pour toi vu que tu souriais de nouveau petit à petit et y'avait aussi Massa avec toi, je pensais que c'était la meilleure des solution, vu que tu me détester.

Moi : Pourquoi tu dis ça ?

Papa : Parce que c'est vrais ! Tu me déteste tu crois que je t'ai abandonné mais c'est pas le cas, je te donne des explications mais tu en crois aucune et en ce qui concerne ta mère comme quoi je l'ai trompé, oui c'est vrais j'ai fauté dans ma vie mais ça a était une seule et unique fois, sa a dû gâcher ton enfance et briser le coeur mais je ne suis pas un homme parfait, elle et moi on avait décider de pas te mêler à ça pour ne pas te perturber mais bon elle en a décider autrement sans m'informer, je comprend pas pourquoi elle t'a mit ça dans la tête quand on c'est séparer, t'avais déjà subit avec ton kidnapping.

Moi : Tu veux dire que c'est la faute à maman t'es erreurs ?

Papa : Ne mélange pas tout je reconnais avoir commis une erreur qui visiblement a était irréparable, mais je voulais t'en préserver avec ta mère et elle a changer d'avis sans m'avisé hors que notre but premier c'était de te protéger.    Tu me reproche de ne pas avoir était là après ton retour, mais tu me détester plus que tout tu voulais que je face quoi ?

Moi : Je te détester pas j'avais la haine contre toi parce que pour moi tu ma abandonner et après que ma maman m'ai retrouver et que je suis rentrer tu étais distant c'était de plus en plus et tu étais de plus en plus absence le divorce n'a rien à arrangé, pour moi seul ton boulot compter, je comprend que tu ai prit tes distance mais j'étais un enfant et toi mon père tu aurai du insister tu t'es pas dis que quoi qu'il arrive tu ne devais pas abandonner et tu devais me parler même forcer pour pouvoir avoir des réponses comme tu la dis le kidnapping ma traumatiser et toute les histoires qui ont suivi avec, moi j'aurai jamais lâcher l'affaire si ça avait était mon fils je ne l'aurai jamais laisser sans réponses même ci il aurait rien voulu savoir je me saurai dis qu'il y'a forcément une raison je l'aurai rassurer ta rien fais de tout ça, ta baisser les bras. Et tu t'es éloigner de plus en plus, tu t'es désintéressé de plus en plus.