CHAPITRE 14

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Sharnalk attrape de justesse la jeune fille, et l'emmène dans la chambre d'hôtel qu'il avait loué.

Raphaël : tu l'emmènes où ma sœur.

Sharnalk : dans la chambre, comme tu peux le constater, l'épreuve l'a épuisé, elle dormira mieux dans un lit.

Raphaël : tu ne vas pas, enfin vous n'allez pas.

Sharnalk : pour qui tu me prends.

Paku : venant d'un frère qui n'a jamais pris sa défense, c'est assez dure à entendre.

Raphaël : tu lis dans les pensée.

Paku : oui et alors

Raphaël : alors, lis les miennes et tu sauras tout.

Paku le toucha, son visage se déforma, on pouvait y lire de la peur et ensuite une immense colère.

Paku : pourquoi

Raphaël : elle est trop intelligente

Sharnalk : tu as vu quoi Paku

Paku : ces quatre pestes, mériteraient une bonne leçon.

Feitan : qu'ont elles fait?

Paku : elles ont menacé Raphaël, que si malheureusement, il aidait Prisca, elles appelleraient des petites frappes pour la violer aux yeux de tout les personnes de leur établissement.

Sharnalk parti dans la chambre pour la déposer, son visage était totalement fermé par la colère.

Il allongea la jeune fille sur lit de 2 personnes, il se mit en caleçon et la rejoignit dans le lit, et s'endormit auprès de l'élue de son coeur.


Dans les environs de 3 heures du matin, la jeune fille se réveilla.

Elle fut surprise et déçue de constater qu'elle n'avait fait que rêver.

Elle était dans sa cave près de son invention pour aller dans un monde parallèle.

Elle se releva, se mit à sourire, elle partie dans sa chambre pour finir sa nuit de sommeil.

Le lendemain, elle se préparait pour partir en cours.
Pour la première fois depuis longtemps, elle avait un grand sourire.

Dans sa cuisine, elle prit son petit-déjeuner avec son frère et ses parents, qui ne cessaient de la regarder.

Raphaël : Prisca, tu vas bien?
Je ne t'ai jamais vu aussi souriante.
Tu as fumé quoi.

Prisca : j'ai juste rencontré des personnes qui m'ont fait réaliser beaucoup de choses sur moi-même.

Mère : tu ne serais pas amoureuse, ma fille.

Père : tu n'as jamais été aussi belle.

Prisca : cela vous dérangerait, si après les cours, je m'enferme dans la cave.

Père : fais attention Prisca, un jour cela finira mal.

Prisca : ne t'inquiète pas papa, je sais ce que je fais.
Je dois y aller.

L'adolescente partie en cours quelque peu différente, et tout le constatait.

Les persecutrices de Prisca, avait décidé d'humilier une fois de plus leur proie préférée.

??? : oh voyez, le montre a le sourire aux lèvres, une personne a eu le courage de te parler.

Prisca s'avança vers elle ,et lui attrapa les cheveux et lui fit une clé de bras.

??? : mais tu es folle relâches moi, sa folle.

Prisca relâche sa victime.

Prisca : a partir de maintenant, je rendrai coup pour coup, compris.

DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant