CHAPITRE 25

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Cela faisait déjà plus deux heures que la plus grande partie de la brigade était partie faire leur petits achats si on pouvait appeler cela comme ça.

Kuroro commençait sérieusement à s'inquiéter pour Prisca, selon lui, elle transférerait sa douleur, sur la vengeance, il avait peur qu'elle perd dans sa haine.

Il avait aussi le sentiment, qu'elle lui avait menti, qu'elle connaissait le ou les coupables.

Il redoutait la discussion qu'il aurait bientôt avec elle, comment va t'elle réagir, va t'elle les fuir, il espérait seulement trouver les mots justes, pour ne pas envenimer les choses.

Paku : Ne t'inquiètes pas, elle est suffisamment mature pour comprendre.

Kuroro : en temps normal oui, mais là on vient de lui briser le coeur.

Shizuku : c'est une adolescente, et puis d'autres garçons pourront la refaire sourire.

Kuroro : si ça pourrait être un membre de la brigade, je serais content, elle restera avec nous.

Je regrette de ne pas lui en avoir parlé avant, Sharnalk m'aurait aider.

Nobu : nous allons tous t'aider. Ils arrivent.

Kuroro : je vais lui parler dés qu'elle arrive.

Shizuku : je vais mettre le film, pour qu'on le regarde tous. Vous serez tranquille.

Prisca et les autres arrivèrent les bras chargés d'instruments et autres objets qu'ils l'aideront dans sa vengeance.

Feitan lui, réfléchissait à trouver une excuse pour s'occuper lui même du ou des responsables de son ami.

Prisca devait rester celle que tout le monde aimer et ne pas entacher sa personne.

Kuroro : Prisca, je dois te parler

Prisca : de quoi veux me parler?

Kuroro : de l'autorité que j'exerce sur toi, enfin la raison.

Prisca fut très intriguée, elle suivi le chef de la brigade dans la chambre de celui-ci.

Prisca : je t'écoute.

Au lieu de parler, Kuroro se dirigea vers table de nuit et y pris une photo, qu'il tendit à la jeune fille.

Lorsqu'elle prit la photo, elle eut l'impression que ses jambes la lâchaient.

Prisca : c'est pas possible, comment peux tu avoir une photo de ma mère à mon âges.

Kuroro : Il y a quelque année, plus exactement six ans, je me suis rapproché d'une jeune fille, enfin de la fille de l'un des plus grand scientifique.

A l'époque, on disait de lui qu'il était capable d'aller d'un monde à l'autre, grâce à ces inventions.

Un des Chef de la Mafia, nous avait engager pour voler la machine à cet homme, pour cela j'ai fait en sorte que sa fille tombe amoureuse de moi.

Lorsque j'ai réussi à voler cette machine, le chef de la mafia s'est rendu compte qu'elle était factice.

Je suis retournée voir ce scientifique et sa fille, et elle m'avait laisser une lettre, sur laquelle, elle expliquait qu'elle savait que je me servait d'elle depuis quelque temps.

Prisca : Quand l'a telle su?

Kuroro : quand elle a appris sa grossesse, elle voulait me l'annoncer et elle m'a vu avec la brigade lors d'une de nos réunion.

Elle a donc prit la décision de faire comme si elle ne savait rien et de prévenir son père.

Dans la lettre, elle m'informa de sa grossesse et qu'elle et son père partaient pour cet autre monde et que je ne verrais jamais cet enfant.

Prisca : non, c'est impossible, je ne te crois pas.

Kuroro : comment as tu fait pour créer cette machine qui t'a amener ici?

Prisca :  j'ai trouvé des notes de mon grand père après son décès, et j'ai déduit éléments  qui manquaient.

Kuroro : je suis ton père Prisca, je n'ai jamais autant regretté, ce que j'ai fait, le prix était beaucoup trop élevé, je n'ai pas pu élevé mon enfant.

Je suppose que le temps ne se déroule pas de la même manière entre notre monde et le tien.

Prisca : non, tu mens 

Kuroro : Lorsque je t'ai vu dans ce bar, j'ai tout de suite su qui tu étais.

C'est pour ça que je ne voulais pas te laisser avec Illumi.

Prisca : Non, tu n'es pas mon père, mon père c'est Fabrice MEUNIER, il n'a pas toujours été tendre avec moi, mais il m'a élevé.

Kuroro : Pourtant, il faisait des différences entre toi et ton frère.

Tu es ma fille, j'ai pris la liberté de faire un test ADN pour en être certain.

Prisca : Pourquoi me le dire?

Kuroro : je voudrais que tu restes auprès de moi.

Prisca commençait par manquer d'air, elle était sous le choc, dans la panique Kuroro appela Shizuku, qui celle-ci arriva avec la ventoline.

La jeune fille s'évanouie, Kuroro prie sa fille et la coucha sur son lit, il décida de rester auprès d'elle, il s'allongea à ses côtés et lui baisa son front d'une manière tellement délicate, qu'elle donnait l'impression, qu'il n'attendait que cela.

Kuroro se dit au fonds de lui même, qu'au moins l'abcès est crevé, ils peuvent tous les deux construire une nouvelle relation père fille, du moins il l'espérait.

DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant