CHAPITRE 17

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PDV Prisca :

Nous venions de rentrer à leur repère,  pendant que tout le monde vaquai à ses occupations, moi je m'installais le plus loin possible du clown.

Je voulais lire, donc je sortie ma liseuse du sac, et commençait à lire xd AFTER.

Kuroro : Prisca, quelle est cette machine dans tes mains.

Moi : une liseuse, elle permet de stocker plusieurs centaines de livres numériques.

Kuroro : et tu lis quoi actuellement?

D'un coup, je sentie mes joues rougir comme jamais.

Moi : un livre de fille.

Kuroro : pourquoi te sens tu si gêné?

Je n'allais comme même pas lui dire de quoi parlait le livre, c'est gênant.

Shizuku : c'est une adolescente, c'est forcément une histoire d'amour.

Merci Shizuku.

Hisoka : comme j'aimerais goûter à ce fruit qui ne demande qu'à être croqué.

Sharnalk : ça suffit maintenant Hisoka.

Hisoka : avoues le toi aussi tu aimerais avaler ce délicieux nectar.

Pourquoi j'ai l'impression qu'ils parlent tous les 2 de moi.

Sharnalk : là n'est pas la question.

Hisoka : bien sur que si, une pêche si douce.

Phinks : on a tous compris où tu voulais en venir, Sharnalk a raison, ça suffit.

Hisoka : la concernée ne voit pas elle, tant d'innocence me fait frétiller de joie.

Moi : bon je vous laisse entre vous, je vais m'aérer.

Kuroro : ne t'enfuis pas?

Moi : je ne veux plus entendre l'autre pervers.

Kuroro : Shizuku et Machi allez avec elle.

Les 2 filles me rejoignent, mais on pouvait entendre les garçons s'engueuler avec Hisoka, y compris Kuroro et Feitan.

Machi : si Hisoka, a sorti toutes ses bêtises, c'est juste qu'il avait vu une ouverture pour t embarrasser, après t'avoir vu rougir.

Shizuku : ton livre raconte l'apprentissage sexuel?

Moi : oui, mais de façon cruelle.

Machi : de viol?

Moi : non, la fille rencontre un garçon qui est totalement différent de son petit ami.

Et ce garçon va l'initier aux préliminaires.

Shizuku : mais en quoi c'est cruel?

Moi : il le fait, parce qu'il a parié avec ses amis de lui prendre sa virginité et de rompre juste après.

Machi : oh je vois, charmant.

Shizuku : quel est ton livre préféré?

Moi : juste parce que j'ai envie de faire subir ça à Hisoka.

Je dirais la fée noire, un ou une meurtrière tue des hommes en les laissant se vider de leur sang, après leur avoir coupé leur cinquième bras.

Machi et Shizuku se mirent à éclater de rire, et ne pouvaient plus s'arrêter.

Les autres sortirent se demandant se qui se passait.

Machi était si impassible habituellement,  que l'entendre rire en était déroutant.

Kuroro : que se passe t'il ?

Moi : au rien, j'ai juste parlé d'un cinquième bras coupé.

Les rires redoublérent après mon explication.

Feitan : j'ai rien compris, et vous?

Tous les garçons non de la tête, sauf Hisoka.

Hisoka: c'était se qui avait dans ton livre je suppose.

Moi : pas celui que je lis actuellement, mais mon préféré surtout quand j'imagine ta tête.

Paku s'approcha et toucha Prisca pour mieux comprendre et rigolais aussi.

Paku : je suis tout à fait d'accord avec toi.

Hisoka : bon je vais faire un tour.

Moi de façon très ironique, " voyons Hisoka, si tu pars, je ne m'en remettrai pas, bien entendu c'est une plaisanterie.

Hisoka : vaut mieux que je parte quelque heures.

Moi : oui, pour rejoindre l'homme à la chaîne, n'est pas?
Je ne suis qu'un prétexte pour aller le voir.

A ce moment là, tous les autres membres, deployerent leur aura en direction du clown.

Hisoka : qu'est-ce qui m'a trahi?

Moi : quand les garçons et moi avons été attrapés, tu leur as fait comprendre en les regardant bien dans les yeux et en détournant brusquement le regard, qu'ils devaient faire comme si vous étiez des inconnus.

Et ton faux tatouage dans le dos.

Hisoka : tu es très intelligente dis moi, saches que je m'occuperai de ton cas.

Je ne vais pas te tuer se serait trop doux pour toi.

Et le clown disparu, laissant la brigade fantôme dans une rage inimaginable.

Même si je pouvais m'échapper à ce moment là, mon instinct me disait d'éviter de faire cette bêtise, ils pourraient se défouler sur moi.

Moi : bon je vais me coucher.

Shizuku : attends, je vais te montrer ta chambre, tu seras avec Sharnalk.

Je regardais Sharnalk qui avait l'air ravie, ceci dit, il sourit tout le temps, on ne sait jamais ce qu'il pense vraiment.

Je suivis Shizuku, elle me montra mon lit, je sortie un sac de couchage, et me mis dedans et je m'endormi instantanément.

Tard dans la nuit, je me suis réveillée,  je regardais autour de moi et vis Sharnalk endormie sur son lit.

Je me leva et m'approcha du lit du geek de la brigade.

Je pouvais maintenant me l'avouer, je le trouvais irrémédiablement attirant.
Je pense même que j'étais flatté et heureuse qu'il ne contredit pas l'autre taré avec ses propos obscènes.

Plus je m'approchais de lui, et plus j'étais attirée comme un aimant par ses lèvres.

Je pourrais juste lui donner un simple baiser et me recoucher.

Oui, je vais faire ça, je baissais donc ma tête pour que mes lèvres touchent les siennes, et je rompu le dernier espace existant entre nos lèvres.

A peine mes lèvres touchèrent les siennes, qu'il ouvrit les yeux.

Je me sentais honteuse, je me reculais pour courir me coucher.

Avec sa main, il dirigea ma tête à nouveau sur ses lèvres et fit pénétrer sa langue dans ma bouche.

Il invitait ma langue à danser avec la sienne, ce que je fis avec plaisir, je n'attendais que ça.

Il me fit m'allonger sur son lit et se mit sur moi, tout en continuant ce baiser.

Il se détacha de moi, et me prit dans ses bras.

Sharnalk : je préfère arrêter avant d'aller trop loin sans que tu sois prête.

Moi : merci
Je lui fis un bisous sur la joue.

Sharnalk : dors maintenant, je serais toujours prêt de toi.

Il me caressa les cheveux et fini par m'endormir avec celui qui m'avait attiré depuis le commencement.

DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant