DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)

CHAPITRE 19

PDV PRISCA:

Je devais rester dans la grande salle avec Shizuku et Feitan.

Shizuku ne me dérangeait pas, Feitan ne savais jamais comment le prendre.

Kuroro et lui étaient les deux personnes les plus indéchiffrables de la brigade.

Ils étaient avec moi très autoritaires et protecteurs, et je n'en connais pas la raison.

J'hésite à demander à monsieur ronchon, la raison de leur comportement, à chaque fois je m'énerve avec lui.

Tout à coup, mes pensées furent interrompues par mes détecteurs de mouvement que j'avais placé ici et là.

Je regarde les deux autres, ils ne donnent pas l'impression d'avoir remarqué quelque chose, ou du moins c'est ce qu'il laisse croire.

Moi : Feitan as tu remarqué que l'air est d'un seul coup plus lourd que d'habitude?
On a l'impression d'être étouffé par le monde alors que nous sommes seul.

J'espère qu'il a compris le message.

Je le vois relever sa tête lentement et regarder discrètement tous les sens.
Il pianote quelque chose sur son téléphone.

Je m'approche de shizuku, je fais apparaître un de mes anges, qui va me permettre de communiquer avec elle par télépathie, je la touche avec la paume de ma main et fais de même avec Feitan.

Lui me regarde bizarrement.

Moi par pensée : Feitan, Shizuku, nous pouvons communiquer par télépathie, mais aucun de nous de doit parler.

Feitan : très bien, dis moi, comment as tu su pour les intrus, je n'avais rien remarqué ?

Moi : j'avais mis des détecteurs de mouvement un peu partout autour du repère.

Shizuku : tu es prévoyante.

Moi : pas vraiment, mais quand Hisoka a  précisé que j'allais payer ce que je lui avais fait.

Feitan : combien de personne ?

Moi : je dirais 4

Feitan : tu n'en es pas sûre?

Moi : on dirait qu'une personne est devenue complètement indétectable depuis 2mn.

Shizuku : tu connais ses personnes ?

Moi ; oui, je pense qu'hisoka est avec 3 personnes, mais j'espère me tromper

Feitan : tu penses à qui?

Moi : trois Zoldik

Feitan et Shizuku : nous aussi, nous espérons que tu te trompes.

Moi : je peux nous rendre invisible, le temps de récupérer mon sac, pour récupérer ma capsule et la lancer.

Shizuku : tu penses que le vortex sera invisible.

Moi : non, une fois que j'aurai lancé la capsule, elle redeviendra visible.

Feitan : dans ce cas, laisses tomber ce plan.
Si Hisoka est bien là, des qu'il verra le vortex, il se mettra à côté.
Je dois reconnaître qu'il a des sens surhumains, il arrivera au mieux à attraper l'un d'entre nous.

Le mieux serait que tu fasses apparaître la plus grande peur du plus fort, les autres essayeront de l'aider,nous pourront partir par la suite.

Moi : cela ne te ressembles pas de fuir.

Feitan : il n'y aurait que Shizuku et moi, on se seraient battus.

Kuroro a dit que tu ne devais pas te faire capturer par quiconque.

Si Shizuku et moi mourront, rien ne me prouve qu'ils ne te rattraperont pas.

Surtout si, c'est les Zoldik et Hisoka.

Moi : ils ne sont plus qu'à 100 m, je propose que vous vous rapprochez de moi, et quand ils seront proches, je lancerai ml à capsule  et ferais apparaître mon ange pour nous rendre invisibles.

Je récupérerai ma capsule, cela leur fera penser que l'on a sauter dedans.

Feitan : oui, on peut essayer ça et on pourra peut-être en apprendre sur la raison de leur venu ici.

J'ai donc rejoint feitan et shizuku, je vis apparaître les quatre silhouettes.

Il s'agissait bien des trois Zoldik accompagné d'hisoka.

Je pris donc ma capsule et la lança.
Je fis apparaître mon ange et toucha les deux autres pour qu'on devienne invisibles comme il était prévus quelque minute avant.

Étant tous les trois invisibles, je repris ma capsule.

Nous restions à attendre en espérant avoir des réponses.

Hisoka : sur ce coup là elle nous bien eu.

Silva : elle doit absolument faire partie de notre famille.

Je regardais Feitan honteuse, lui me fixait et haussa les épaules

Irumi : Hisoka, tu m'avais bien dit qu'elle était maligne.

Hisoka : oui, pourquoi,

Irumi : je me disais que finalement, ils ne sont pas partis et ils nous observent

Feitan commençait à dégainer son épée.

Hisoka : oh, je vois, j'y pensais aussi.
Mais je vois surtout très prudente, elle  n'aurait pas pris le risque de se faire attraper, sauf si elle et les deux autres  peuvent se rendre invisibles et mais je n'y crois pas.

Zéno : bien partons, nous n'avons plus rien à faire ici.

Tous les partirent aussitôt, mais je maintenait notre état invisible jusqu'au retour des autres.

Dès l'instant où notre invisibilité se leva, se fut le noir total.
Je crois que j'avais mis énormément d'énergie pour rester indétectables.
Je m'évanouis.