DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)

CHAPITRE 22

Je me sens tellement lourde, je ne sais plus où je suis.

Je commence à ouvrir difficilement les yeux, oh malheur, je me sens vraiment mal, j'ai la tête qui tourne, alors que je suis encore allongée.

Moi : Il y a quelqu'un?

Machi : tu es enfin réveillée?

Moi : Machi, je me sens vraiment pas bien, j'ai la tête qui tourne.

Machi : sans blague, cela fait près de deux semaines que tu dors, on commençait tous à nous inquiété.

Tu aurais vus l'état de Sharnalk, on pouvait voir la peur se lire sur son visage, enfin sur nous tous.

Moi : Pourquoi, vous vous inquiétez autant pour moi?

Machi : c'est pas à moi de te le dire.

Moi : Est ce que  la raison pour laquelle Sharnalk s'intéresse à moi, est que je lui fais penser à une personne pour qui il éprouvait de fort sentiments?

Machi : entre autre mais

Moi : alors il ne m'aime pas vraiment pour moi.

Machi : Il n'y a pas que ça, tu es très jolie, même si tu n'y crois pas trop, en plus Sharnalk a toujours était amoureux de personne intelligente, et toi tu l'es plus que nécessaire.

Moi : Machi, pourquoi j'ai si peu confiance en moi, si je suis si intelligente?

Machi : je dirais que beaucoup de personnes ton rabaisser, au point que tu ne voyais plus tes qualités, qui sont pourtant évidentes.

Moi : et le Zoldik, joue sur mon gros défaut.

Machi : oui, il est un maitre de la manipulation, bon Sharnalk aussi, mais il ne se sert pas de toi.

Dis moi ce que tu veux manger?

Moi : oh, je ne sais pas si vous avez ce genre de plat ici.

Mais bon, j'ai pris des capsules avec de la nourriture, je pourrais faire mon plat.

Machi : c'est quoi ce plat.

Moi : Je suis une grande gourmande, c'est très riche en calories.

c'est la tartiflette.

Tu pourras m'aider s'il te plait, j'ai l'impression de ne pas tenir debout très longtemps.

Machi : oui, bien entendu, je pourrais gouter?

Moi : On en fera pour tout le monde.

Prisca se leva et se dirigea vers la cuisine pour préparer le repas, elle fit cuire les pomme de terre dans l'eau.

Pendant ce temps, Machi informa les membres de la brigade que Prisca était réveillée, et qu'elle préparait à manger pour tout le monde.

Les autres râlèrent, ils trouvèrent qu'il était plus normal à ce que Machi fasse la cuisine pour la jeune fille, Machi leur répondit qu'elle lui avait proposé mais qu'elle préférait un plat de chez elle, a base de pomme de terre, de lard, d'oignon et de fromage.

Moi : Machi, tu peux venir me remplacer s'il te plait, je ne me sens vraiment pas bien, je crois que je vais tomber par terre.

Machi n'eut pas le temps de raccrochez le téléphone que Prisca était sur le sol, inanimé.

Machi : bon dépêchez vous pour m'aider, elle vient de s'évanouir.

Machi, ramena la jeune fille sur son lit et la recouvrit, elle ne put s'empêcher de se dire qu'elle était vraiment têtue, elle aurait du rester allonger.

La rose retourna à la cuisine, pour voir où en été le plat, elle s'aperçut que le plat était au four, il ne lui restait plus qu'à attendre qu'il gratine.

Feitan arriva, coupant toutes les pensées de la rose.

Feitan : alors comment va t'elle?

Machi : oh, je pense que qu'elle aura mangé, elle ira beaucoup mieux.

Feitan : franchement, pourquoi l'avoir laisser faire à manger, tu aurais plus faire une soupe.

Machi : oui, merci, mais elle est aussi têtue que n'importe lequel d'entre nous, elle voulait manger ce plat et après ce qu'elle a fait pour nous, je ne pouvais pas refuser.

Dis moi Feitan, toi aussi tu es tombé amoureux d'elle, je me trompe.

Feitan : Pourquoi tu dis ça

Machi : cela serait n'importe lequel d'entre nous, tu ne serais pas accouru aussi à son chevet.

Feitan : tu te trompes, il suffit de l'observer un peu, pour voir qu'elle connait les vices de la vie et pourtant contrairement à moi elle n'a aucune rancoeur.

Je suis admiratif pour cela et aussi parce qu'elle se fiche de savoir ce qu'il peut lui arriver en disant ce qu'elle pense.

Machi : Oui, maintenant que tu le dis c'est vrai, c'est pour ça que le clown c'est allié au ZOLDIK.

Enfin, je dois dire que même si son petit combat avec Hisoka avait continué, je pense qu'elle serait morte, heureusement qu'on les séparé.

Feitan : oui, elle nous a tous surpris.

Machi : oh, le plat est prêt, ils arrivent quand les autres?

Feitan : ils ne sont plus très loin.

Eh, tu es censé être dans ton lit, retournes s'y Machi va t'amener ta part.

Moi : Merci Machi, je préfère rester debout

Feitan : idiote, tu vas encore t'évanouir.

Le plus petit de la brigade, pris sur son épaule la jeune fille,  l'allongea sur son lit, en lui disant qu'on allait lui donner à manger.

Il eut a peine  franchi les portes de la chambre, que la jeune fille sombra.

Il fallut attendre une heure pour que la jeune fille puisse manger et elle s'endormi sur la chaise de la cuisine.