DE L'AUTRE COTÉ (SHARNALK OC)

CHAPITRE 9

PDV brigade :

La brigade se dirige vers son repère.

Le plus petit de la brigade commençait par s'ennuyer, il décidait donc à embêter la nouvelle arrivante.

Feitan : eh, la gamine, nous ne sommes pas un groupe de retraités, alors dépêches toi et marche devant nous.

Tous les membres se retournaient pour voir, la réaction de la jeune fille.
Ils furent tous étonnés de constater son absence.

Kuroro : feitan, phinks, Sharnalk et moi, rebroussons chemin, on pourra peut-être la rattraper.
Les autres vous retournez au repère, au cas elle y serait.

Machi : chef, j'ai un mauvais, pressentiment, je ne pense pas qu'elle soit partie d'elle-même.

Feitan : je ne le pense pas non plus.
Sachant, qu on tuerait ses amis, elle ne serait pas partie en les mettant en danger.

Kuroro : on y va.

Les quatre araignées reprirent la direction inverse.

Quand phinks vit les écouteurs sans-fil.

Phinks : chef, je crois que machi avait raison, elle n'aurait jamais laissé cet objet.

Feitan : je confirme, donnes les moi.

Sharnalk prit l'objet des mains du grand blond.

Sharnalk : je le lui rendrais à son retour.

Phinks : et après tu dis ne pas être sous son charme.

Kuroro : arrêtez de faire les idiots .
On retourne au repère.
On va lui laisser sa chance, de se débrouiller seule.

Si demain soir elle n'est pas revenue, ou elle nous a pas contacté, on la cherchera.

Une fois qu'on l'aura retrouvé, elle devra commencer un entraînement très acidu.

Retour PDV prisca :

J'ai mal à la nuque, je commence a me réveiller, j'ouvre les yeux petit à petit, pour les habituer à la lumière.

Je constate que je suis en sous-vêtements.

Soudain, j'entends des pas se rapprocher, je décide de faire semblant de dormir.

Cinq personnes entrèrent dont une femme.

??? : ne fais pas semblant de dormir, je sais que tu es réveillée, nous t'avons vu sur la caméra.

Je rouvris les yeux, et fus surprise de voir les deux Zoldik.
Je suppose que les autres doivent également être de la famille de Killua.

Silva : je te prie avant tout, de m'excuser de t'avoir  assommé et attachée ici.

Moi : que me voulez vous?
Pourriez-vous s'il vous plait me détacher.

Silva : bien, nous allons te détacher, mais si tu tentes de t'échapper, on te rattache et on te torture.

Moi : je pourrais également avoir mes vêtements, il fait froid ici.

Silva : oui, tiens voici ton sac, nous avons fouillé au cas ou tu posséderais une arme.

Je pensais au fonds de moi, si tu savais, j'ai l'objet qui me permettrait m'enfuir.

Je m'habille devant toutes ses personnes, qui ne cesse de m'observer, mais je sens un regard bien plus insistant que les autres.

Pourquoi ce grand brun aux cheveux long, non très long, me détail comme cela.