EREN I

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Étant compté comme le bras droit de Sinan, je me devais de l'accompagner à tous ses rendez-vous business, assurer sa sécurité, était l'une de mes priorités. J'étais sa protéger, et lui mon seule espoirs. Il m'avait pris sous son aile, et si aujourd'hui j'étais toujours en vie, c'était grâce à lui. Ce dernier ce retourna vers moi, affichant un sourire, posant sa main sur la mienne.

-Tu es prête ? Murmura t-il

Un hochement de tête fut ma simple réponse. Je n'étais pas stressée, a l'idée d'aller a la rencontre de la plus grande mafia turque du pays. C'était mon quotidien. Nous étions arrivé devant un grand buildings, parmi tant d'autres à Moscou. Ces grands bâtiments qui touche le ciel, était une habitude et ne m'impressionnais point.
J'avais repositionné mon arme avant de lâcher mes long cheveux, couleur bronze dans mon dos, et descendre de la voiture aux bras de Sinan. Le bruit de mes bottes à talons heurtant le sol, me donnais une sensation de domination. Plusieurs de nos hommes nous suivaient a l'arrière, assurant ainsi notre sécurité.

Sinan, semblait connaître les lieux à la perfection en réalité seule sa confiance en sois lui donnait une tél assurance.
Nous avions passé le portail de sécurité aisément. Avant de voir deux hommes, bien formé arrivés en notre direction. L'un d'eux présenta sa main à Sinan, celui-ci la saisit d'une poigne ferme.

-Si vous le permettez, je vais vous escorter, vers Monsieur Olguz.

Seule le bruit de nos pas longeant le couloir sombre, se faisait entendre. Une atmosphère sérieuse et pesante c'était installé . J'aimais ses moments, car c'était les seules ou le pouvoir était entre mes mains. J'étais la porteuse d'arme. Vue l'importance de Sinan, personne n'avait osé me fouillé à l'entrée du bâtiment. Cependant les hommes de mains n'y avait pas échappé. Si la situation venait a dérapé, j'étais la seule à pouvoir nous sauvé.

Nous avions fait notre entrée dans le bureau. Olguz, était assis au bout d'un longue table en verre. Ce vieux monsieur à la barbe et au cheveux blanc, possédait la moitié du patrimoine turc. Un de ses hommes était posté droit derrière lui. Olguz c'était levé, prenant chaleureusement Sinan dans ses bras. Celui-ci avait lâché ma main, laissant une sensation de vide. Nous avions prit place à l'autre bout de la table, je me trouvais debout derrière mon supérieur une main posé sur son épaule.

-Je vois que ton bras droit t'accompagne toujours.

Olguz, affichait un sourire, qui dominait tout son visage et faisait apparaître ses rides, envahissant la majeur partie de son visage.

-On ne change pas une équipe qui gagne. Répondit-il avec tact. Ne perdons pas de temps commençons les négociations. Poursuit-il

Sinan avait pour habitude, de ne pas s'attarder et aller droit au but. L'une de ses qualités qui m'impressionnais tant.

La porte s'ouvrît subitement, interrompant l'échange entres les deux hommes. Celui-ci devait être suicidaire pour osé un tel affront. Le jeune brun, avait la carrure similaire à celle d'un soldat britannique, ses cheveux noir ébène, humide à cause de la pluie qui régnait depuis maintenant quelques temps sur Moscou, retomber sur son visage de manière ordonnée. Son pull remontant jusque son cou tracé à merveille les courbe de son corps. Son regard perçant à la couleur caramel, je pouvais le reconnaître parmi mille. Olguz, lui avait fait signe de prendre place à ses côté.

-Aayan, tu arrives à temps. Nous allions commencé les négociations.

Celui-ci se tenait droit, et n'avais jeter aucun regard en notre direction. Mon corps c'était raidit. Et mon regard ne l'avait plus lâché. Comment pouvait-il se trouvé ici. L'univers avait comploté contre moi.

Sinan et Olguz avaient reprit leurs échanges. Mon esprit semblait loin et ne prenait plus part à la conversation. Les informations qu'elle contenait passaient d'une oreille à l'autre. Mes yeux étaient rivé sur Aayan, qui depuis le début du meeting, n'avait révéler la tête.

-Si nous suivons les termes du contrat, vous devriez me livrer la moitié de votre patrimoine à la fin du mois, en transaction régulière.
En contre partie, nous assurerons la livraison de certaines de vos armes.

La voix assurée de Sinan, m'avais sortis de ma rêverie. Olguz faisait des mouvements de rotation faisant tourné dans son verre le liquide qu'il contenait.

-Si nous acceptons, quand est ce que nous pourrions voir votre marchandise ?

Celui-ci paraissait septique à la proposition de Sinan. Son expression du visage ne trompait pas, il doutait de la loyauté de mon supérieur.

-Dès ce soir, deux de vos hommes pourront se joindre à nous.

-Cinq.

-Trois, je m'assure que la sécurité de mes propriétés reste apte.

-Sinan...Vous êtes bien dure en affaire. Marmonna t-il en buvant une gorgé de sa boisson

-Ce sont mes conditions. La balle reste dans votre camps.

Sinan attrapa son téléphone qu'il avait déposé sur la table en début d'heure, regardant les minutes s'écouler, un signe démontrant son impatiente face à la situation. Sinan détestait ne pas être prit au sérieux.

-Bien ! Les termes et les conditions sont bouclé. Vous m'enverrez la position à laquelle j'enverrais trois de mes hommes.

-Parfait.

Sinan c'était levé, j'avais jeter un dernier regard en direction de Aayan, celui-ci avait relevé la tête. Son regard froid, croisa le mien. Ce dernier était vide d'émotions, aucune lueur de surprise ne l'avait traversé. Me faisant croire à la manipulation, qu'il avait put utilisé lors de notre première rencontre. Sinan se dirigea à son tour vers Olguz lui serrant la main.
Le vielle homme pris ma main, avant de l'approcher de sa bouche, et d'y déposé ses lèvres blanches asséchées par le temps.

-Cela est toujours un plaisir, d'accueillir Eren dans nos rangs.

-Plaisir partagé. Répondis-je sur la retenue

Les louanges du vieillard, me répugnais. Olguz était connue pour son trafique de jeune filles privatisé. Il cachait bien son jeu. Mais rien n'échappait à Sinan, il empoigna la main fermement au vieil homme, avant de m'entraîner avec lui en dehors du bureau. Nous avions fait le chemin de retour, jusque la voiture. Perturbé par Aayan, et perdus dans mes pensées.

Sans même savoir l'identité de cet inconnue j'avais trahit mes rangs. Si Sinan venait à l'apprendre, je pourrais perdre gros. Ma loyauté envers ce dernier n'en était que déchu.

EREN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant