EREN VIII

14 0 0
                                    

Une douzaine de minutes plus tard, le corps imposant de Sinan avait franchit la porte de ce club. Ses traits était fermé, il était contrarié. Il était monter d'un pas déterminé dans la voiture. Verrouillant les portes de celle-ci. Il démarra la Jeep sans jeter un regard vers l'arrière.

-Quelle heure est-il ? Cracha t-il

-minuit trente-cinq.

-Rentrons on a assez perdue de temps comme ça.

Après plus de 30 minutes de trajet, nous étions enfin tout les trois arrivés à destination. Le visage de Sinan était toujours fermé et ne présageait rien de bon. Il ouvrit la portière arrière.

-C'est pas vrai. Lança t-il en se pincent l'arrêt de nez

J'ouvris a mon tour la portière jetant un œil à l'arrière, sur ce qui avait bien pus rajouté de l'huile sur le feu.

Yelda était complètement endormis son souffle était régulier. Elle était plongé dans un profond sommeil.

-Tu ne compte pas la réveillé quand même.

-Je vais me gêner. Cracha t-il

-Je t'arrache les yeux si tu fais ça. Ça a été une longue soirée pour nous tous. Alors interdit de réveillé ceux qui dorment déjà.

Sinan soupira bruyamment, avant d'attraper Yelda dans ses bras, j'amassais ses affaires à mon tour quittant la jeep. J'avais accompagné Sinan jusque la chambre de Yelda, où il l'avait délicatement déposé sur le lit. J'entrepris de la déchaussé. Avant de la recouvrir du drap en soie. Sinan était sortis de la chambre visiblement mécontent de l'état de son amie. J'avais attrapé le sac ainsi que la veste de la jeune femme les déposant sur l'un des fauteuils près du lit. Une carte de visite c'était échappé de sa petite pochette bleu satinée, venant s'écraser au sol.

Je m'étais abaissé attrapant du bout de doigt le bout de carton. Lisant les écritures italiques inscrite.

Cette dernière présentait un certains
M. Anatole spécialisé dans la psychologie de l'esprit. La question était pourquoi Yelda, avait en sa possession ce genre de chose ? J'avais rapidement enfouie le bout de papier dans la poche de ma jupe avant d'éteindre la lumière regagnant ma chambre.

La journée qui c'était écoulé n'avait été que de rebondissement, Sinan comme Yelda était épuisé. D'ailleurs ce dernier avait filer après avoir déposé Yelda. Je m'étais changer rapidement avant de m'en aller pour un sommeil bien mérité. Je ne m'étais pas plus posé de question sur le contenue de cette carte de visite.

Yelda depuis maintenant plusieurs jours avait parue être distraite, et complètement éloigné de la réalité. L'amour non réciproque  qu'elle portait à Sinan la rongeait. N'étant  jamais été exposé à ce genre de situation. Je ne pouvais comprendre son ressentis. D'une part je m'en voulais de ne pas avoir été assez à l'écoute, elle avait besoin de parler. Et je n'avais pas été là pour elle.

La nuit c'était écoulé bien trop vite à mon goût, le bruit de mon alarme près de mes oreilles, était le son le plus détesté du domaine. Elle ne réveille pas seulement l'humaine que j'étais mais toute la propriété. Huit heure trente avait sonné, et je m'étais comme à mon habitude difficilement réveillé.

Mon cerveau n'avait cessé de tourné en rond. Comme d'ailleurs la plupart des nuits, depuis que j'avais été aux côtés de Sinan. Ce dernier devait sûrement être déjà réveillé.

Je m'étais extirpé de mon lit, prenant la direction de la salle de bain. La même routine incessante se m'était en place. Douche, brossage de dents et habillage. J'avais opter aujourd'hui pour un pantalon en cuire noir accompagné corset en dentelles de la meme couleur. J'avais revêtit mes bottes. Me dirigeant vers la cuisine cherchant a répondre à l'appelle de la faim.

Les couloirs du domaine étaient encore bien vide les employés venaient tout juste d'arrivé. Isik c'était empressé à ma rencontre.

-Bonjour Eren, as tu bien dormis mon enfant ?

-Bonjour, la nuit à était courte mais mieux que d'habitude. Avais-je prononcé un sourire étirait mon visage

-Je suis heureuse de te voir souriante de bon matin, le déjeuner est presque près.

Il me suffisait de voir le visage d'Isik pour soulager mon cœur. C'était la part d'innocence dans le monde dans lequel on baignait depuis maintenant beaucoup trop longtemps Sinan et moi.

J'avais pénétré dans la salle qui nous servait de rendez vous pour déjeuner et dîner. Sinan était déjà lever, assis sur sa chaise en bout de table, un café dans la main et son téléphone de l'autre. Son visage était fermer pour changer. Concentré à taper sur l'écran de sa boîte technologique.

-Bonjour, il me semblait que les téléphones étaient interdit dans cette pièce ? Prononçais-je en prenant place

La table était déjà bien garnis de viennoiseries, et tout type de boisson chaude comme froide. J'avais saisit un pain au chocolat comme à mon habitude, une tasse de thé sur le côté.

-Bonjour, il me semblait que tu te reposais aujourd'hui ?

-J'aurais bien voulus, mais tu te rappelles je dois emmener Yelda refaire sa garde robe.

-Je veux que tu la garde à l'œil.

-Tout est sous contrôle détend toi.

J'avais avalé déjà la moitié de mon petit déjeuner, Sinan mangeait peu. Sa condition physique ne lui permettais pas de faire d'écart. Ce que je pouvais comprendre, mais honnêtement, ce n'était pas mon cas. Une grande partie de ma vie a était lié à des problèmes d'alimentation, alors aujourd'hui je me régaler, et profitais de tout type de plat.

-Je dois y aller, il reste des petits détails à régler avant la livraison de demain.

Avec la soirée d'hier j'avais passer la livraison d'Olguz au second plan. Et l'idée de revoir Aayan ne m'enchantais pas vraiment. Malgré ce fait, cela était tout de même inévitable.

Sinan avait rapidement attrapé son téléphone, se levant par la même occasion, avant de déposé un rapide baiser sur le haut de mon crâne.

-Soyez prudente et prenez la sécurité qu'il vous faut.

-T'inquiètes pas pour ça.

Les pas de Sinan s'éloignant résonnait, laissant un grand vide au sein de la pièce.

Cependant l'histoire du psychologue me turlupinait toujours autant. Et si Yelda, lui avait déjà confié certains éléments de notre vie.

Parler de cette affaire à Sinan, l'aurait plongé dans une colère insoutenable. Yelda ce sentait déjà assez mal, pour pouvoir supporter les propos blessant que Sinan aurait pus avoir envers elle. Je devais alors régler cette histoire de moi même.

Je m'étais lever, interrompant mes propres pensées. Appelant un des hommes de mains.

-Mlle. Eren, vous m'avez fait appeler.

-J'aurais besoin que vous trouviez cet homme, assurez-vous qu'il n'ai aucune information sur nous. Si c'est le cas faite en sorte qu'il n'en ai aucun souvenir. Nul besoin de mettre Sinan au courant. Lui tendis-je le bout de carton

-Bien, compter sur moi.

Des pas soulignés c'étaient fait entendre, et à ma grande surprise Yelda, descendait les escaliers. Affichant une certaine gueule de bois flagrante. Du moins elle avait essayer de le cacher avec son maquillage prononcé. Cependant on pouvais le remarqué à ses yeux à moitié fermer et sa démarche forcée.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Dec 09, 2021 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

EREN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant