EREN III

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Les heures étaient passés, Sinan avait quitté les lieux avec Yelda à ses côtés. Celui-ci affichait une mine inquiète, mais n'avait pas voulu le montrer. Sinan était doux avec moi, il me faisait confiance les yeux fermés. J'étais sa petite perle, qu'il ne voulait pas abîmé. Comme un trésor qu'on cache aux yeux du monde. J'aimais cette complicité qu'on avait à deux.

Visiblement le soleil c'était couché, il ne restait plus que quelques minutes avant de décoller du domaine. Pour se rendre à l'adresse que m'avait donné Sinan quelques heures plus tôt. J'étais confiante. J'avais rapidement enfiler mes bottines cuivrées. J'avais attrapé mon long mentaux au vol, avant de quitter ma chambre. J'étais arrivé devant le porche ou 4, Range Rover noire Matte m'attendais. J'étais monté à bord du premier, Juz un de nos hommes de mains était coté conducteur, il avait immédiatement démarré.

-Sinan, t'a indiqué l'endroit.

-Oui Mlle.

-Parfait, nous devons y être en moins d'une heure. Expliquais-Je

J'étais confiante. Jusqu'à maintenant chaque livraison que j'avais effectué, c'était passé à merveille. Ce n'était pas celle-ci qui aller échouer. Le 4x4 roulait à une allure convenable. A ce rythme, nous étions arrivés en moins d'une heure à destination. Le paysage était presque semblable à celui d'un film d'horreur, chaque maison qui défilait devant nos yeux tombé complètement en ruine, des débris jonchaient les sol, Juz devait contourné chaque déchet, la voiture slalomait, en pleine ville. ce "village" était inhabité, Compliqué de savoir si avant les guerres civils, cet endroit contenait des âmes. J'avais levé les yeux, remarquant d'autres de nos homme placé sur les façades, des sniper en mains. Nous étions arrivé devant un entrepôt délabré et affaissé par l'humidité. J'avais envoyé un message à Sinan.

                            "Début. 
                             -Eren.   "

-Faites rentré les voitures à l'intérieur.

J'avais rechargé mon arme. La rentrant dans son étuis, J'étais descendue de manière déterminée, du véhicule impressionnant. Une fois les voitures arrêtées, les Dizaines d'hommes m'accompagnant avaient descendus les caisses en bois, contenant les armes. Les posants à même le sol.

-Vous en poser 2 le reste, reste dans les voitures.

Trois caissons avaient été déposé devant nos 4 Range Rover. Une atmosphère pesante et stressante c'était installer. L'heure tournait et aucune apparition des hommes de Olguz. J'étais appuyé sur le capot de la voiture, attendant patiemment. Au bout d'une dizaine de minutes. Des bruits de moteurs c'étaient fait entendre. En un seule geste j'avais indiqué aux hommes de se mette en place. Le signale avait été envoyé.

-2 SUV noir à l'approche à 45 secondes. Avait précisé un des hommes à la radio

Ces 45 secondes avaient parue être une éternité. Effectivement quelques secondes plus tard 2 SUV noir, venait de faire leurs entrés dans l'entrepôt. Ils avaient pris place juste devant nos 4x4. Une fois à l'arrêt les portières c'étaient toutes ouvertes, de manière coordonnées. Et de façon spectaculaire. Chaque homme étaient descendus sereinement. Olguz, n'était bien évidemment pas présent. Un vieillard comme lui n'avait pas le courage de se mettre autant en danger, venir à une transaction d'arme était trop risqué pour lui. Il préférait resté auprès de ses petites jeunettes qui prenaient soins de lui.

La première voiture avait laisser la carrure d'Aayan se dresser devant les yeux. Mon sourire narquois avait totalement disparus. J'avais repris mes esprits, faisant mine de ne pas le connaître. Je m'étais avancé vers eux.

-A qui dois-je m'adresser ? Demandais-Je

Comme par habitude ou instinct, les hommes qui accompagnaient Aayan, avait tous fait un pas en arrière excepté le principale concerné.

-Bien.

J'avais rapidement tendue la main vers ce dernier. Aayan, m'avait répondue d'un poigne ferme.

-Eren, c'est moi qui me charge de la transaction.

La façon dont il me regardait, me déstabilisais. Il faisait comme si il ne m'avait jamais vue. Il avait cette facilité à cacher toute ses émotions. Cela devait être une qualité traitre chez les hommes. J'avais instinctivement tourné le dos me dirigeant vers les boites d'arme déposé au sol. Aayan, avait suivit mes pas de près. Juz avait entrepris d'ouvrir les caisses une par une.

-Il en manque.

C'était la première fois depuis maintenant 3 semaine, que j'entendais la voix rauque et grave d'Aayan. Celui-ci ne me regardait point. Son regard était figé sur les armes.

-Le reste est dans les voitures. Expliquais-je

-Combien de caisse avez vous au totale ?

-4.

-C'est n'était pas ce qui était convenue.

-C'est qui était convenue, c'était que vous veniez voir la marchandise pas sur vous la récupériez. On vous fait la faveur de vous en livrer 4. Le reste sera à Istanbul dans 3 jours. Ce sont les termes du contrat négocier avec Olguz. Dis-je sévèrement

Aayan avait fait signe à ses hommes, plusieurs d'entre eux étaient apparue saisissant les caisses une par une.

-Le reste à Istanbul, quand la garantie que le patrimoine sois à vous.

-Effectivement.

Aayan afficher une mine sérieuse et fermer, sa mâchoire, complètement contracté. Ce mec pouvait présenté plusieurs personnalités à la fois. Il était complètement différent de celui, que j'avais rencontré quelques semaines plutôt à New-York.

-Olguz, vous souhaite un bon séjour à Moscou. Dit-il en me tendant la main

Je répondit favorablement à sa poigne. Sa main entra en collision avec la mienne. Entre celles-ci, un bout de papier fin les avaient séparés. J'avais relevé les yeux en direction de ceux de Aayan. Voyant et comprenant son jeu. Il se défit de ma poigne, j'avais instinctivement dissimulé le bout de papier en boule à l'intérieur de ma main. Il s'éloigna avec ses hommes, remontant respectivement dans leurs SVU, avant de quitter les lieux. J'avais saisit mon téléphone envoyant le message de fin à Sinan.

                         "Terminé
                            -Eren.   "

J'avais fait signe à tout mes hommes de remonter en voiture, nous avions tous quitter les lieux. Nous rendant une fois de plus vers notre maison.

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