EREN VII

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La journée était passer sans encombre. J'avais été plongé dans mes fichiers, seule dans ce grand bureau. Pour cacher ma détresse, j'avais pour habitude, de ne jamais me relâcher et de sans cesse prouver que tout aller parfaitement en me focalisant sur le travail. Même si la paperasse m'ennuyais c'était le seule moyens pour occupé mon esprit. Tout ce qui était administratif, j'avais insisté pour m'en occupé. Je devais ainsi gérée toutes les grandes entreprises que Sinan avait acquis.

Le soleil c'était couché, j'avais éteins mon ordinateur. Et fermer mon bureau. Un verre d'eau à la main, j'avais descendus les escaliers. Les agents de ménages devaient tous être rentrés. La maison était dorénavant vide. Et les lumières éteintes, je détestais affreusement cette maison plongé dans l'obscurité. Seule l'ombre des meubles, prenant la forme de monstre, m'effrayait par la même occasion. La grande baie vitrée amenant au jardin, était grande ouverte. Laissant paraître le corps sculpté d'un inconnu, appuyé contre la balustrade du balcon. Ma main avait instinctivement attrapé le vase posé près de moi sur une des petite table basse du séjour. Avant de m'approcher petite à petit de l'inconnu. Le prendre par surprise était le résultat que je voulais obtenir.

-Parfait, bonne soirée.

J'avais soudainement relâché le vase, qui était venue s'écraser au sol éparpillant une multitude de bout de verre. Le principal intéressé c'était retourner, allumant par la même occasion la lumière qui jusqu'ici était resté éteinte.

-Eren ? Avait-il lâché surprit

-Moi qui cherchais l'effet de surprise. Marmonnais-je

Je m'étais abaissé, ramassant le chaos que j'avais créé.

-Je rêve ou tu voulais m'assommer.

-Bien évidemment ! Quel idée de rester dans l'obscurité complète.

-La maison est surveillé, je pensais que tu avais compris le fait que personne ne peut y pénétré.

-On élimine le risque tu te rappelles.

-Révèle toi, et laisse ça tu vas te blessé. Rétorque t-il en m'attrapant par le bras

-Tu étais au téléphone ?

-Oui, avec l'un de nos fournisseurs. La livraison d'arme pour Olguz sera faites dans 2 jours à Istanbul.

-C'est rapide.

-On va gagner gros, crois moi.

-Je te fais confiance.

Sinan avait parue confiant. Et disons que j'étais perplexe. Nous n'avions jamais fait de livraison d'arme aussi rapide. Et je n'arrivais pas à croire que cette histoire soit plié en l'espace de trois jours, c'était impossible. Faire travailler mon esprits sur cette affaire me rendais déjà malade. Et une autre question m'avait brûlé les lèvres.

-Yelda n'est toujours pas rentré ? Lâchais-Je regardant autour de moi

-Bordel, je l'avais complètement oublié.

En l'espace de deux seconde, Sinan avait ressortie son téléphone de façon habile et rapide composant un numéro. Il avait apporté le téléphone à son oreille, attendant visiblement une réponse. Au bout de quelques minutes d'attente sans réponse, Sinan me contourna.

-Son chauffeur ne répond pas.

-Ils sont pris le SUV noir, en partant. Celui avec la plaque EC. Signalais-je

-Parfait, il détient normalement un balise, on va pourvoir les localisés.

Sinan attrapa la tablette posé sur la surface plate de la cheminé. Ce dernier ne paraissait pas inquiété, les traits de son visage étaient neutre comme à son habitude. Son sang froid avait pris tout le contrôle de son être. Un trait de caractère dont je raffolais chez Sinan.

-Leurs voiture est à l'arrêt. Je prend la jeep et j'y vais.

-Je viens avec toi. Laisse moi seulement prendre mon arme.

J'étais remonté à l'étage de la propriété à vive allure, attrapant mon arme ainsi que ma veste. J'avais grimper à bord de la Jeep Wrangler. Sinan avait démarré, il avait déjà inscrit de ses doigts fluide sur l'écran tactile, les coordonnées GPS de notre cible.

Nous avions roulé plus de 30 minutes, arrivant devant un café, ou plutôt un bar illuminé.

Je pouvais apercevoir de loin, la chevelure blonde de Yelda, son corps se balançais de droit à gauche, elle dansait et pas seule.

-Je vais la tuer. Lança t-il

Je m'étais retourné en direction de Sinan, voyant sa tête posé sur le volant de la voiture. Sinan n'étais pas jaloux, il détestait perdre son temps. Et nous avions perdus plus d'une heure maintenant. Sinan, serrait le volant, avant de posé sa main sur la poignée de la portière, signalant une descente du véhicule. Ma main vin se poser instinctivement sur son épaule.

-Je m'en occupe.

En moins de 30 seconde je m'étais retrouvé hors de la voiture. Entrant dans le bistro, d'un pas déterminé.

Yelda illuminait la pièce, tout les regards étaient braqué sur elle. Les courbes de son corps suivaient le rythme de la musique et se balançaient de droit à gauche épousant parfaitement la mélodie.

Cette scène me décrochait un sourire, Yelda n'était pas du genre à faire la fête, elle était discrète et se fondait dans la masse.

Un corps inconnue c'était visiblement approché d'elle, lui bouffant son espace vitale.

J'avais comme par automatisme, déposé ma mains sur mon arme dissimulé, dans mon dos. Avant de m'approche des deux individus donc une que je connaissais déjà.

-Vous m'excuser, si je dois interrompre votre petite danse. M'interposais-je entre eux

-Oh ! Eren tu es la ! Souffla t-elle

Yelda, empestait l'alcool. Elle n'était pas du tout du genre à boire. Ou du moins Sinan lui interdisait formellement. Il n'aimait pas les femmes qui touchaient à l'alcool ou qui avait tous types d'antécédents à ce genre de boisson.

-Oui, et on va rentré !

-J... je vais chercher ma veste !

Yelda c'était éloigné plus loin, allant chercher le reste de ses vêtements. Elle était très peu stable mais arrivait tout de même a marché. Mes pas s'apprêtait au la suivre. Quand une main inconnue attrapa mon bras, m'immobilisant.

-Eh bah poupée, tu viens de m'enlever mon petit bijoux de la nuit, tu vas devoir la remplacer.

Cet homme au cheveux marrons, et à la peau vieillit par le temps, me répugnait au plus haut point. Le sourire narquois qu'il avait aux lèvres, pouvait faire gerber la moitié d'un village. Et le regard emplit de perversion, devait être punit. Il n'avais aucun droit de me regarder de la sorte ni même de m'adresser la parole.

-Enlève tes pattes, si tu ne veux pas que je t'ampute les 5 doigts de la main.

La voix de Sinan avait était tranchante, le canon du revolver de celui-ci était pointé sur la tempe, du vieil homme. Qui avait automatiquement lâcher mon bras.

-Regagner la voiture. Lança t-il

Tout le club c'était subitement arrêter, seule la musique résonnait dans nos oreilles. Les regards étaient tous en notre direction. J'avais saisit Yelda par le bras, l'emmenant à l'extérieur de l'établissement. Celle-ci avait manqué de tombé plusieurs fois sur le chemin de la voiture. Je l'avais installé à l'arrière, avant de refermer la portière et me monter à mon tour, attendant le retour de Sinan.

EREN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant