Crazy about you. BL. Terminé

Chapitre 40

PDV HARRY

Comme la fois précédente, l'appel provenait de la mère biologique de Sammy qui me relançait sans doute.

<< Allo ! Oui madame Daval c'est moi, Harry. C'était à moi de vous rappeler ... Nous en avions convenu ainsi, il me semble !

Mon compagnon est malade et je ne peux le laisser seul, aussi je vous propose de venir à mon domicile pour voir Sammy.

Disons demain après-midi. Dîtes-moi juste quelle heure vous convient le mieux. 15 heures ?

C'est parfait pour moi ! A demain donc Danny ...

LOUIS : J'ai compris chaton.

Rendez-vous demain, 15 heures, à la maison, c'est exact ?

Je me contentai d'acquiescer d'un hochement de tête avant de refondre sur sa bouche jusqu'à ce qu'il me l'entrouvre pour que j'y glisse ma langue, avec grand bonheur.

Cette fois l'appel n'avait pas anéanti mes ardeurs mais, au contraire, les avait décuplées.

Une certaine sauvagerie s'empara de moi et trouva écho dans celle que me manifesta Louis, à son tour.

Oubliée la tendresse habituelle, nous faisions l'amour comme si c'était la dernière fois que cela nous était permis, avec rage, avec hargne, avec désespoir en quelque sorte ...

HARRY : Je veux te sentir en moi bébé ! Lui dis-je brusquement en lui présentant mon posterieur, à genou sur la couette, mon sexe déformant l'élasticité de mon boxer.

LOUIS : Je te l'avais dit, Bottom mais pas pour la vie entière !

Je vais te prendre jusqu'à te faire pleurer de plaisir, mon chaton ... Me dit-il en faisant lentement descendre mon sous-vêtement le long de mes cuisses.

HARRY : Je n'attends que ça bébé !

Honore la promesse que tu viens juste de me faire ...

Je m'occupai immédiatement de ma longueur, sous ses yeux qui observaient le moindre de mes gestes.

Comme je restai devant lui à quatre pattes, je le vis s'allonger sur le dos en dessous de moi, la tête à la hauteur de mes parties intimes.

LOUIS : Viens dans ma bouche chaton ! Me demanda-t-il en écartant ses lippes.

Mon gland trouva de suite la chaleur humide de sa bouche accueillante et s'y enfonça avec délice.

Mes hanches, inconsciemment, se mirent en branle dans sa cavité buccale.

Oh Dieu que j'aimais cet homme du plus profond de mon coeur et de mon âme !

Je me laissai dévorer en haletant, mes doigts crispés dans ses cheveux tant l'émotion que je ressentais était intense.

Je baisai sa bouche si chaude, m'enfonçant profondément dans sa gorge, le mettant parfois au bord de l'étouffement sans en avoir réellement conscience.

Il plaça une de ses mains à la base de mon sexe pour reprendre le contrôle de ma pénétration, me tirant sur les testicules par la même occasion.

Je poussai un son guttural qui en disait long sur le plaisir qui me parcourait alors, pour la plus grande joie de celui qui n'allait pas tarder à prendre le dessus sur ma personne.

HARRY : Je vais jouir si tu continues de me pomper comme ça, bébé !

LOUIS : J'ai d'autres plans en tête, me répondit-il en lâchant sa caresse buccale de mon organe reproducteur.

Il se mit à genoux dans mon dos, prenant soin au préalable d'ôter son sous-vêtement.

Il posa ses mains sur chacune de mes fesses en les écartant doucement, les baisa, avant de laisser glisser sa langue baveuse dans mon sillon fessier.

Je ressentis une immense chaleur en sentant son organe percuter ma rosette.

Je me délectai de ce contact, savourant cet anilingus, ma main ayant repris son branle sur mon sexe dressé.

A sa langue, Louis ajouta ses doigts, fouillant mon anus pour arriver à ma prostate qu'il finit par trouver, en l'exprimant par un profond soupir tandis que je criai son nom.

HARRY : LOUIS !

LOUIS !

Mmmmmmmm !

Tu me tues de plaisir ...

Soudainement il arrêta son doigtage de mon intimité pour pointer son sexe contre elle, maintenant qu'elle était parfaitement en condition pour le recevoir.

Le lubrifiant dont il s'était enduit le gland puis la hampe suffit à rendre la pénétration de sa queue en moi possible.

Je ahanai tandis que je sentais chaque centimètre de son organe rentrer dans mon conduit intime.

La brûlure du début eut vit fait de disparaître pour être remplacée par des arcs électriques qui remontaient jusque dans mes reins, adorable torture qui me laissa gémissant contre Louis.

Attendant le signal que je ne tardai pas à lui donner en remuant mes hanches lentement, Louis se mit à me pilonner avec vigueur, augmentant la cadences au fur et à mesure des gémissements qui s'échappaient de ma bouche.

Tant et si bien que je vins sur la couette sans même avoir eu le temps de prévenir mon merveilleux amant.

Celui-ci, pourtant, perçut mon orgasme, aux contractions de mon conduit autour de son sexe, agréablement stimulé ainsi.

Il vint à son tour sur mes fesses quelques secondes, à peine, plus tard !

Me retournant pour que je lui fasse face, il me dévora les lèvres dans un baiser des plus agréable et profond.

LOUIS : Tu es ma moitié, tu es ma vie !

Je t'aime à la folie, Harry et tu es mien ! Me dit-il d'un air dominant en me donnant un coup de rein bien placé, encore dans mon conduit.

Je me déconnectai de son sexe, redevenu flasque, pour le serrer fortement contre mon torse.

HARRY : Tu es également mien, ne l'oublie jamais.

Nous nous appartenons pour l'éternité mon Lou' !