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Il vient appuyer son menton contre ma nuque, je pouvais entendre son souffle et sentir son cœur battre. Son cœur battait très vite, limite il a couru un marathon. Je pose ma tête délicatement sur son épaule.

Sanzu- Ce parfum, j'en ai plein, t'en prendra autant que tu veux.

Son tatouage sur le bras droit était merveilleusement beau. D'ailleurs les gars du restaurant et kakucho le possédaient aussi.

En même pas l'espace d'une seconde, je l'embrasse, on entendait la pluie tombée sur le rebord de la fenêtre.
Tout les deux, nous étions assez fatigué, ça se voyait à nos cernes.

La pluie tombée toujours, j'ai dormis côte à côte avec lui. Son lit est confortable, j'ai passé une nuit agréable dans ses bras.

Au beau petit matin, je me réveille assez tôt, je n'avais toujours pas de vêtements, je pris un costard au pif dans l'armoire de Sanzu. C'était à ma taille, ça m'allait extrêmement bien avec la chemise. Problème, je ne sais pas comment nouer la cravate. C'est qu'un détaille, je l'enroule autour de mon cou, je chercherais un tuto pour cravate plus tard, je fais un noeud vite fais bien fait sauf qu'il est mal fait.

Je vais vers la cuisine pour allumer sa machine à café. Ça faisait beaucoup de bruit, Sanzu se réveilla suite au bruit de la machine. Il était à moitié réveillé.

- Rendors toi, ta des grosse cernes.

Il se dirigeait vers ma position, toujours fatigué.

Sanzu-  il te va bien mon costume.

- Tout me va.

Sanzu- ça va hein, la modestie.

Il prend la cravate autour de mon cou et essaye de dénouer l'atroce noeud que j'avais fait.

Sanzu- Ton noeud est grave serré la, ta niqué ma cravate.

- Ta au moins 30 cravates, une de plus ou de moins, ça va rien changer.

Il me tira par le col en me mettant une pichenette sur le front. Il s'en alla dans la chambre pour s'habiller en jetant sa cravate que j'ai apparement niqué dans la poubelle.

- Ta même pas de force.

Je retourne boire le café qui était prêt depuis un moment, le café chez Sanzu est juste degueu, comment c'est possible de boire cette merde.

- Sanzu, ta pas de goût en matière de café, même les chiens ils boivent pas ça.

Sanzu- Ferme ta gueule en plus il est périmé.

Je soupire et renverse le café qui rester dans l'évier.
Effectivement, le café était périmés depuis quelques mois.

Sanzu arriva en costume, il a que ça façon. Il tenait une cravate dans sa main, c'était sûrement pour moi.

- Pourquoi tu me fixes?

Il rit tout seul, je m'approche vers lui pour lui prendre la cravate, il la jette assez loin pour que je ne puisse pas l'atteindre. La cravate se retrouve sur le lustre.

- Tu sais que tu vas aller la chercher.

Sanzu- Pourquoi j'irais la chercher même? Alors que c'est moi qui l'ai lancé dessus.

- tu sais même pas bien lancer.

Sanzu- ta gueule.

- En plus ton lustre, il va tombé, t'as vu comment il est fragile.

Sanzu- S'il tombe, il tombera sur toi avec ta force de fourmis.

Des le matin, il se croit drôle avec ses blagues peter, je monte sur une chaise et récupère la cravate.

Sanzu x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant