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            Je vais dans la cuisine, je prend les choux à la crème dans la frigo, je mourrais pour des choux à la crème, c'est une des meilleurs pâtisseries au monde.

J'arrive à coter de Sanzu, il n'a même pas encore fini de manger, son assiette est encore pleine.

-  c'est à cause du poivre que t'arrives pas à manger?

Sanzu- laisse moi manger.

- tu vis en ralentit ou quoi?

Sanzu-  pour passer plus de temps avec toi.

Sa disquette est nulle, ça me donne des frissons carrément.

Je m'assois de nouveau sur le canapé, je savoure les choux à la crème. Je suis au paradis, sanzu a pris un chou à la crème et il rajoute du poivre dessus...

Mon visage se décompose, il fait quoi au juste?
Je ne vais rien dire, autant qu'il vide mon poivrier.

Il se fait tard, le ciel est presque tout noir, j'entends des bruits de pas dans ma chambre,  Sanzu est juste à coter de moi.

- T'entends?

Sanzu- Tu vas te faire cambrioler, si tu ne te dépêches pas.

- Mais je suis pauvre, qu'est qu'il veut me voler?

Je vais prendre un couteau dans la cuisine discrètement, sanzu mange toujours ses pâtes...

Je rentre dans ma chambre, il ne porte meme pas de cagoule. Le cambrioleur est beaucoup trop moche, il a senti ma présence. Aussitôt, il pointe son pistolet contre moi. Je sens la goute de sueur sur mon front, nous ne sommes pas des ninjas.

Il ne faut pas énerver ce genre de personne, crier, bouger ou fuir ne servirais à rien.

Sanzu arrive, il était prêt à tirer une balle dans sa tête. Je lui fais signe de ne pas tirer.

Je l'arrête et il assomme le gars, je ne veux pas réveiller les personnes qui habitent dans mon bâtiment.

La meilleure solution c'est de le planter, ça fera moins de bruit contrairement au coup de feu.

Je me munie de mon couteau de cuisine et l'enfonce dans son cou, ça doit faire vachement mal.

Qui l'aurait cru, commettre un meurtre dans son propre domicile, ça va juste être compliqué de faire sortir son corps hors de mon appart sans être vus par quelqu'un.

J'ai construit une vie ici, ça serait dommage de la ruiner pour quelque chose de futile.

Sanzu a un grand sourit fixé sur son visage.

C'est sûrement l'adrénaline qui monte.

Sanzu- T'inquiète pas pour le corps, mes hommes s'en chargeront.

- Va finir tes pâtes.

Le corps gisant toujours sur le sol, on décide d'aller se promener dehors.

J'enfile une veste et nous sortions en direction de la voiture de Sanzu.

Sanzu- Quand nous serons rentrés les corps ne sera plus là.

Je lui donne un sourire puis nous montons dans sa voiture.

Ça sent la marijuanas a plein nez. Il doit se taper ses meilleurs substances dans sa voiture.

- T'en as encore?

Sanzu- Beaucoup.

Il me tend un sac, en l'ouvrant, le paradis se trouver donc dans ce sac.

Sanzu x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant