Où tout à basculer...

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Je me sens bizarre, ma tête me fait un mal de chien. Petit à petit je retrouve tous mes sens. J'ouvre doucement les yeux. Je me redresse doucement. Et puis un flash apparait, tous se qui sais passer hier soir (enfin je suppose que c'était hier soir) le karaoké, la baston, les joueurs, et puis cette personne avec ce masque qui fait froid dans le dos. Je me regarde autour de moi, un peu par reflexe, pour vois s'il n'y était pas. Il y a des corps allongés autour de moi. J'en reconnais un, c'est Dylan ! Je me précipite sur lui, et lui prend son pou. Il respire encore puis j'entends :

? : Ne t'en fait pas ils vont bien.

Je me retourne un peu sur le qui-vive. C'était Thomas. Il était assis sur une chaise contre un mur avec Alby et William le gars aux lunettes.

Thomas : Ils dorment juste.

Je regarde encore autour de moi, tous les corps sont ce des joueurs d'hier soir. J'observe donc maintenant le lieu où l'on se trouve. C'est une salle désaffecté assez petite et très faiblement éclairé. Les murs sont en béton, sans décoration et il fait assez lourd dedans. Je me tourne vers les garçons d'un air inquiet :

Moi : *voix inquiète* On est où la ?
Alby : On n'en sait rien. Hier soir après que tu sois partis au toilette, un gaz étrange s'est répondu dans la pièce et nous a endormis.
Thomas : Pour moi, quand tu es partis au toilette, je suis allé dehors pour voir si Jack, le mec qui s'est battu, aller bien et quand on est revenu, un mec avec un masque de lapin nous a assommé.
Moi : Moi c'est quand j'étais au toilette, la personne est sorti d'un des toilette et ma frappé la tête avec une barre en fer. *je me frotte la tête* D'ailleurs j'ai encore mal.

On se fixé les uns les autres. On était tendu. Petit à petit, tout le monde se réveillés. Alex et Dylan me rejoignirent. On expliqua tous ce qu'on savait à tout le monde. La plus part paniquèrent.
Franck, le mec hyper baraqué cria :

Franck : Silence ! Il faut sortir d'ici.
William (mec à lunette) : impossible la porte est fermée.

Soudain une voix modifié retentit :
« Salut à tous, mes chers amis. Je sais que vous aimez bien le jeu « A mort », je vous propose donc d'y joué mais de façon beaucoup plus réaliste, vous comprendrez bientôt. Chacun de vous à une puce sur lui. Cette puce électronique ouvre n'importe qu'elle porte de se bâtiment mais une fois que vous l'aurez utilisée, vous ne pourrez plus vous en resservir. Des sacs se trouvent au fond de cette salle, vous y trouverais tous se dont vous aurez besoins pour survivre, du moins en théorie. Réfléchissait bien. Je vous quitte. ». Un Bip retentit et puis plus rien.
Kate (la blonde) nous regarda paniqué

Kate : Il voulait dire quoi par « d'une façon plus réaliste » ?!

-Silence-

Kate : *criant* Répondez moi !

Elle s'écroula en pleur. Alexandra se jeta a terre pour la réconforter. Moi, je me réfugiai dans les bras de Dylan qui m'entoura de ses bras comme à chaque fois que j'ai peur. Thomas s'avança au centre. Les joueurs firent un cercle autour de lui.
Thomas : Très bien, pas de panique. Il faut garder notre calme. Avant de se préoccupé du jeu « réaliste », il a dit que chacun de nous avait une puce électronique sur lui, trouver là.
Chacun regarda un peu partout.

Thomas : Moi je l'ai sur le poignet.
Dylan : Moi à la cheville.

Je regarde Alexandra en train de chercher partout. Elle commencer à paniquer, car elle ne la trouver pas. J'aperçus sa puce dans son coup. Je le lui dis et son visage se détendit. Tout le monde annonçait ses puces. Kaya qui ne parlait pas rester dans son coin à me fixer. -- C'est quoi son problème à elle ? -- Je ne m'en préoccupais plus. A moi de trouvait le mien. J'inspectai chaque parcelle de ma peau seulement je ne trouve rien. Je commençais à perdre mon sang froid. Je commençais à m'énerver. Je passais et repassais encore mon corps, mais il fallait que je me rende à l'évidence : je n'en avais pas ! -- Si jamais je le dis aux autres, ils vont croient que c'est moi qui les a enfermé ici. Il faut que je trouve une idée vite ! --

Moi : Moi je l'ai sur la poitrine.
Au moins, ils n'iront pas la chercher. Mon cops se laissa prendre par la panique. J'étais crispé, mon cœur accéléra et je sentais des sueurs froides. Dylan me regardait bizarrement, -- il avait peut-être remarqué que je n'avais pas de code ?! Il allait surement le dire à tout le monde et ils m'accuseront d'être derrière tout ça. -- Je m'effondrai par terre. Dylan accouru.

Dylan : Hey ça va ?
Moi : Je...euh...Oui, c'est ma tête qui tourne un peu rien de grave.
Il m'aida à me relever. Je me suis surement fait des idées, Dylan n'a rien remarqué ou alors il ne veut rien dire pour me protéger. Thomas s'avança :

Thomas : Bien, tout le monde à sa puce ?

Je me tendis d'un coup. Il faut que j'agisse normalement. Je soufflai un coup et me détendit.

Thomas : La porte qui nous enferme détient un lecteur de ces puces, quelqu'un peut-il testé la sienne ?
Franck (costaud) : Moi ! On ne va pas y passer toute la nuit !

Il s'avança et approcha sa puce qu'il avait sur son avant-bras vers le lecteur. Un silence de mort régnait dans la salle. Tous retenaient son souffle. La porte émis un petit « clic ». Franck tira sur la poignet et la port s'ouvrit. Tout le monde souffla de soulagement.

Thomas : Bien, maintenant tout le monde prend un sac.

On exécuta ses ordres. Je pris un sac et attendit. En attendant j'observais Thomas. Il avait le visage sérieux, ses trait fin et son nez légèrement retrousser ne me laissait pas insensible... -- Mais qu'est-ce que je dis, je pense à ça dans un moment pareil, n'importe quoi. -- Il s'aperçut que je le fixé et me sourit. Je pense que ce sourire était notamment pour me rassurer. Je me sentais rougir. Je lui rendis mon plus beau sourire.

Thomas : Tout le monde à son sac ?
Bien, allons voir ce qu'il se cache derrière cette porte.

Il mit sa main sur la poignet. Chacun fixé la porte comme si c'était une bombe sur le point d'exploser. Il ouvrit lentement la porte et il lâcha son sac d'un coup sec. Il fixait quelques choses avec horreur. Seul lui voyait ce qu'il se passait de l'autre côté. Il ne bougeait plus, la bouche ouverte, terrifié. Alby fronça les sourcils :

Alby : Mec ça va ?
Thomas : *murmure* non, non ce n'est pas possible

Alby poussa doucement Thomas pour voir ce qu'il se passait et sursauta avant de lâcher un « Merde ! ».

Kaya : Merde les gars dite nous ce qu'il se passe ! On ne va pas y passer des plombes !

C'était la première fois qu'elle parlait. Tout le monde s'est retourné sur elle.

Alby : Surtout ne paniqué pas, ok

On hocha la tête. Alby ouvrit la porte en grand. Sur le mur dans face était accroché Claire, la jeune fille en fauteuil roulant. Elle avait un poignard dans le cœur. Il y avait du sang partout. Son fauteuil à ses pieds était recouvert de sang. Par sa bouche, un filet de sang coulé et ses yeux, rester ouvert, fixé avec horreur une personne imaginaire. Il faisait noir, mais la lumière de la salle suffisait à voir correctement le corps de Claire. On cria tous d'horreur. Kate et Alex pleurèrent et les mecs poussèrent des jurons. Puis on entendit : « Salut à vous mes cher petits lapins, je lance officiellement la nouvelle partie de « A mort » version réel. J'espère que vous allez bien vous amuser. Maintenant que le loup a tué un pauvre petit lapin sans défense, à vous de tuer l'un d'entre vous afin de démasquer le loup ! Bonne chance » *Bip*

e Sans

"A Mort ! " [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant