Moi, fille du Joker et Harley Quinn

Chapitre 28

Flashback 7 ans en arrière.

PDV Joker :

Harley et moi sommes tranquillement assis dans le canapé. Nous sommes prêts à planifier notre prochain coup. Notre princesse dort à l'étage depuis maintenant un moment.

Harley : La banque centrale ?
Moi : Bonne idée. Pour Kaïla ?
Harley : Il faut faire ça pendant l'école. Alejandro ira la chercher.
Moi : Je l'appellerai.
Harley : Il faut qu'il ne lui arrive rien.
Moi : Ne t'inquiète pas.
Harley : Il faut qu'on la protège de tout ça. Quoi qu'il nous en coûte.
Moi : Et on le fera toute notre vie. Sa vie vaut bien bien plus que la nôtre.
Harley : Et si on se fait arrêter ?
Moi : Ca n'arrivera pas.

Elle soupire et passe ses mains sur son visage. La sécurité de notre ange sera toujours mise à l'épreuve. Certains dirai qu'on devrai arrêter pour la protéger mais on doit continuer. Ou ils nous trouveraient si facilement.

Harley : Il faut tout de même y penser.
Moi : On parlera d'elle en disant qu'elle est malade et qu'elle peut mourir. Tu sortiras. Tu iras la chercher et vous partirez loin d'ici. Personne pas même moi devra savoir où vous serez.
Harley : Et pour toi ?
Moi : Vous m'oublierez. Il faudra brûler tout souvenir de nous.
Harley : Elle ne pourra pas vivre sans son père.
Moi : Un jour viendra où je vous retrouverai.

Elle se jette dans mes bras. Cette décision n'enchante personne mais si on se fait attraper c'est la meilleure. Elle grandira sans moi. Elle aura une vie normale.

Kaïla : Papa ?

Sa petite voix si adorable. Je me retourne vers elle et la vois sur la dernière marche des escaliers. Elle a son doudou dans la main. Je lui fait signe de venir et elle court vers nous.

Elle monte sur le canapé et se joins à notre câlin familial. Elle est si jeune encore.

Kaïla : Pourquoi maman elle pleure ?
Harley : Je suis juste triste mon ange. C'est rien.
Moi : Regarde elle va mieux.
Harley : Mais mademoiselle. Ne devriez vous pas être coucher ?
Kaïla : J'ai fait un cauchemar.
Moi : Encore ce monstre ?

Elle hoche la tete de haut en bas. Un monstre serai sous son lit et attendrai pour la manger. Je lui souris et la prends dans mes bras.

Ne vaut mieux pas la remettre en haut ou elle ne dormira pas. Harley lui embrasse le crâne et je l'emmène dans notre chambre. Je la pose sur le lit et ferme les volets. Elle se met sous les couvertures et je m'assois à coter d'elle. Elle met sa tête sur moi et je lui caresse ses longs cheveux.

Kaïla : Tu vas aller l'enlever ?
Papa : Oui. Personne n'a le droit de manger ma Kaïla.
Kaïla : Mais il revient toujours.
Papa : La il pourra pas. Maintenant dors.

Je l'embrasse et sort de la chambre en laissant la porte entrouverte. Harley a ranger tout les papiers pour le prochain coup. On se pose devant la télé. Quelques dizaines de minutes plus tard la porte se fait enfoncer.

Comment c'est possible ? Je sort mon flingue tout comme Harley qui essaye d'aller dans la chambre protéger Kaïla. Je tire sur les flics et en descend deux ou trois.

J'entends ma princesse crier suivit de plusieurs coups. Je fonce vers la chambre et ne la trouve pas. Ou est ce qu'elle est ?

Moi : KAÏLA !
Kaïla : Papa ! Papa !

Elle pleure. Je monte à l'étage et la trouve dans la salle de bain. Je la prends contre moi et m'accroupis à son niveau. J'inspecte son visage et son corps. Elle n'a rien. Je la sert contre moi.

Kaïla : Ils ont pris maman. Ils ont maman.

Harley. Je peux pas laisser Kaïla toute seule. Je la prends par les bras et la regarde droit dans les yeux.

Moi : Kaïla. Tu restes accrocher à moi et surtout tu gardes les yeux fermer. Je suis sérieux.

Elle hoche la tete et s'accroche à ma jambe. Je descends en gardant une main sur sa tête. Je tire sur plusieurs d'entre eux avant qu'ils ne voient ma fille.

Je l'entends crier et pleurer. Ca me brise le cœur de l'entendre. Je la sert encore plus contre moi et cherche ma femme.

Harley : Poussin !
Kaïla : Maman !

Elle veux partir mais je la retiens. Elle arrive à partir quand un homme arrive par-derrière. Lui il est mort. Je lui donne un coup de tête et mon poing atterrit dans son visage. J'attrape ma batte et lui fracasse le crâne.

Je regarde autour de moi et cherche une petite blonde dans tout ce bazarre. La panique me prends quand je ne la vois pas. Je l'entends crier et pleurer mais n'arrive pas a voir ou elle est.

Flic : Quinn est prise au piège. Faites gaffe y'as une gamine. Salle à manger.

Je fonce la bas et attrape Kaïla par-derrière. Je nous cache dans un recoin sombre avec ma main devant sa bouche. Je la colle contre moi et regarde sa mère se faire emmener.

On l'a dit. Ca sera toujours Kaïla avant tout. J'essaye de rendre aveugle ses yeux innocent en mettant sa tête sur mon torse. Mais elle reste figer.

Une fois qu'ils sont sorti de mon champ de vision je la prends dans mes bras et monte à l'étage. Je la pose sur son lit alors qu'elle pleure. J'entends les véhicules partirent. On a une heure.

Kaïla : Papa je veux maman. Elle est où maman ?
Moi : Elle va bien Kaïla. Mais il faut que tu comprennes. Tu ne vas pas revoir maman tout de suite.
Kaïla : Non. Je veux maman. S'il te plait papa. Tu as promis qu'on serai toujours ensemble.

Elle pleure. Je la prends dans mes bras et essaye de la calmer. On aurai du arrêter et partir. Elle n'a pas à supporter ça à son âge. Elle a besoin de sa mère. Elle finis par s'endormir à force de pleurer. Je la laisse dans son lit et prépare des affaires.

J'enverrai des hommes demain. Ils tueront ceux qui connaissent notre adresse. Ils brûleront les papiers. Mais ma reine sera déjà loin. On la retrouvera.

Je descends les affaires et les lancent dans le coffre. Je remonte et prends ma blonde dans mes bras. Je redescends et l'attache. Je monte à mon tour et démarre au quart de tour.

Je pars en direction de ma boite. Je regarde a l'arrière. Tout les malheurs lui arriveront pour être ma fille. Au milieu de la route elle se réveille en pleurant et en criant. Je me met sur le bord de la route et passe à l'arrière.

Je la sert contre moi et essaye de la calmer. Elle passe ses mains sur mon torse et elles sont brûlantes. Je prends sa température en lui embrassant le front. Elle est bouillante.

Je la garde sur moi et reprend la route. Arriver mes hommes décharge la voiture et son parrain appelle notre médecin. Je rentre dans notre suite et la dépose sur le grand lit.

Elle s'accroche à moi comme si sa vie en dépendait. Le médecin met un temps fou à arriver et je m'énerve. Et bien évidement ça fait peur à ma princesse.

Moi : Alejandro. Trouve un nouveau médecin. Il ne reste plus longtemps à celui la.
Alejandro : J'ai déjà envoyer des hommes sur le coup. Elle va s'en remettre ?
Moi : J'espere. Il le faut. Il nous reste quelques hommes ?
Alejandro : Y'as qu'a demander et on te les sort.
Moi : Allez y.

Le médecin débarque et s'excuse de son retard. Tu peux t'excuser mais ta tête ne va pas rester en place. Il fait tout son truc pour me conseiller de la laisser se reposer quelque jours.

Deux des mes hommes l'attrapent et l'emmène hors de la salle. Je reste avec ma fille le temps qu'elle s'endorme. Une fois fait je sors de la pièce.

Et je passe plusieurs heure à torturer et massacrer certaines personnes quelque peu encombrante. Et pour évacuer ma colère d'avoir perdu ma reine.