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AMARIA

« Sous mes airs de banlieusards,Je t'aime et ça tu sais que c'est hard »____________________

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« Sous mes airs de banlieusards,
Je t'aime et ça tu sais que c'est hard »
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Nous voilà sur le sol français. Ce pays qui n'était plus qu'un lointain souvenir pour Aqil et moi. Cette terre que l'on avait oublié et que l'on pensait avoir définitivement quitté. J'avais l'impression de me jeter à nouveau dans une nouvelle spirale de la vie. Tout avait l'air de recommencer, comme si nous n'étions jamais réellement partie. Je suis pensive à ce moment là et je peux pas m'empêcher de penser au danger que je prend pour cet enfant et moi. J'espère du plus profond de mon âme que mon imprudence n'allait pas ruiner ce qui était peu être la seul et unique chance de ma vie.









- Aqil : Smaïn nous attend dehors passe ta valise.








Il prend ma valise et nous nous dirigeons dans la plus grande des discrétions vers la sortie de cet aéroport. Nous arrivons rapidement à l'extérieur et c'est sans perdre de temps que mes yeux se posent sur Adnane et Smaïn.








Moi : Aqil regarde ils sont là.







Il se retourne et aperçois ses amis. Et je saurai pas vous décrite la joie que j'ai vu dans le regard de mon mari ce jour là. Il était l'homme le plus heureux du monde je le voyais bien. Je me rend compte à quel point je l'avais privé de ces amis, et inconsciemment je m'en voulais. Smaïn et Adnane eux aussi affichaient des sourire sincères et se sont ensuite précipités vers Aqil. Ils se sont serrer dans les bras comme des frères qui c'était beaucoup manqué. Smaïn ne voulait plus lâcher Aqil ..











- Smaïn : Putain t'es vraiment là en se détachant de lui.

- Aqil : Ouais je suis là, ça va vous ? T'as grandi mon fils en tapant le dos de Smaïn.

- Adnane : C'est du 50/50 ici .. un jour ça va, un jour ça va pas.

- Aqil : Et Ziyan ?

- Smaïn : On les a tous laissé à l'hôpital ils ont commencé la deuxième opération, la plus dangereuse, on y retourne direct là.

- Adnane : Oui montez dans la voiture l'hôpital n'est pas loin.

- Aqil : Quelqu'un sait qu'on est en France ?

- Smaïn : Non, même pas Akira.

- Moi : Comment elle va ?

- Smaïn : Elle me fait de la peine la pauvre w'Allah, elle est comme une ouf.

- Adnane : On parlera après, faut pas qu'on te voit Aqil.








Amaria « Ai plus de valeur que l'or » TOME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant