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AMARIA

« Viens avec moi, je t'emmènerai au pays des merveillesIl me semble que la misère serait moins pénible au soleil »_________________

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« Viens avec moi, je t'emmènerai au pays des merveilles
Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil »
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Nous venions d'atterrit sur les pistes de l'aéroport Ezeiza à Buenos Aires. Il avait tenu sa promesse et comme tout homme de parole il m'avait emmener dans ce beau pays. Nous avions atterri en fin de soirée donc le couché de soleil s'offrait fièrement à nous tandis qu'un vent léger nous saluait. Buenos Aires fait partie des grandes villes qui m'auront toujours fait rêver, depuis petite. Mon père avait le dons de m'en parler de la plus belle des manières à travers toutes ses belles histoires. Aujourd'hui j'étais enfin sur le sol argentin, peu être pas pour les bonnes raisons, mais j'y étais tout de même.










- Aqil : Viens on va prendre un taxi.


Moi : Ou est ce qu'on va après ?


- Aqil : Pour le moment on va chez une ami à moi, le temps d'avoir la maison.


Moi : Une amie à toi ?


- Aqil : C'est la petite soeur d'un pote à moi déstresse, elle habite ici, c'est chez elle que la bande doit se cacher.


Moi : Mais elle est au courant qu'on arrive ?


- Aqil : Non, mais elle savait que ça devait arriver un jour ou l'autre.


Moi : D'accord .. on y va maintenant ?


- Aqil : Ouais attend.









Il se met à sifflait et c'est tout naturellement qu'une voiture de taxi s'arrête à notre niveau. C'était un homme assez âgé qui conduisait. Aqil me prend la main et me dit avec un ton amusé..








- Aqil : Bon L'sbonioliya « l'espagnol » maintenant c'est toi qui gère. Demande lui s'il emmène la en me montrant une adresse.









Je lui souris et me retourne vers le conducteur pour lui expliquer la situation. Il nous dit que c'est possible d'être emmené jusqu'à là-bas donc on monte immédiatement dans la voiture. Nous avions roulé un long moment je m'en souviens, je dirai presque une heure. Les routes ici était quelques peu désastreuses c'est vrai .. Nous sommes finalement arrivé dans un quartier assez pauvre. On se croyait  dans les Favélas. Nous descendons de la voiture et Aqil tend l'argent au chauffeur avant de lui dire avec fierté « gracias ».












Moi : Bravo tu sais dire merci.


- Aqil : Tu te fou de ma gueule ?


Moi : Non je n'oserai pas.


Amaria « Ai plus de valeur que l'or » TOME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant