𝕎𝕠𝕠𝕤𝕒𝕟 - 𝕃𝕠𝕚𝕟 𝕕𝕦 𝕗𝕣𝕠𝕚𝕕 𝕕𝕖 𝕕é𝕔𝕖𝕞𝕓𝕣𝕖

Chapitre 21

Après une courte nuit, Wooyoung, qui n'avait pas réussi à fermer l'œil, était allongé sur le côté, en regardant San qui dormait profondément. Cela ne faisait pas longtemps qu'il s'était endormi. Le plus jeune avait encore beaucoup de mal à croire que tout cela était la réalité et bien que San lui ait dévoilé ses sentiments, qu'il lui avait offert un baiser plein de douceur, il avait peur de ne vivre ce moment que dans un rêve et c'était pour cette raison qu'il s'efforçait de ne pas fermer les yeux.

Si tout cela n'était qu'un rêve, il ne voudrait plus jamais en sortir, afin de pouvoir rester éternellement à ses côtés, parce qu'au jour d'aujourd'hui, il lui était inconcevable de vivre sa vie, sans San à ses côtés et plus en tant qu'amis... Non, il voulait que San soit à lui pour toujours.

Ce sont les premiers rayons du soleil, qui brillait sur le visage de San qui lui fit ouvrit les yeux, illuminant son visage de petit scintillement.

- Bonjour toi... Wooyoung caressait son visage, affichant un large sourire à la vision de l'homme qui se tenait face à lui.

Le visage de San au réveil était encore plus adorable qu'habituellement. Ses petits yeux en amande, dont le noir profond était encore à peine visible, car ses paupières étaient encore endormies, plissaient les yeux en collant sa main contre son front pour se cacher du soleil qui l'éblouissait.

Wooyoung, qui avait attendu patiemment son réveil, le fit basculer tout contre lui, en collant son visage dans le creux de son épaule, en repliant son autre bras sur le haut de sa tête, afin de lui offrir un peu d'obscurité. San, qui fut attendri par ce geste, souriait en silence. Son cœur s'accélérait et il pouvait entendre les battements de Wooyoung, qui étaient tout aussi rapides que les siens. Il releva légèrement la tête afin d'observer discrètement le visage de son bien-aimé.

Wooyoung semblait fatigué, mais ses yeux étaient pétillants de bonheur. Il déposa un baiser dans le creux de son cou avant de caresser de sa main libre, sa chute de reins qui était légèrement découverte. Wooyoung qui ne s'attendait pas à ça, eu un petit mouvement de recul, mais la sensation qu'avait procurée cette caresse ainsi que de ses lèvres au contact de sa peau, lui procurait une sensation étrange, il en voulait plus, son corps avait besoin de plus.

San, qui ressentit les vibrations du plus jeune, continuait de caresser ses flancs avec délicatesse, du bout des doigts, c'était presque un effleurement, mais d'une délicatesse, qui faisait tourner la tête au plus jeune. Sa peau était douce et chaude, ce qui était agréable pour le plus vieux, qui adorait le contact de sa peau contre ses doigts. Wooyoung caressait la nuque sa San, en faisant de petits sillons, en les glissant avec une lenteur calculée, à travers son tee-shirt le long de sa colonne vertébrale, pour finir son trajet jusqu'à sa chute de reins qui était légèrement découverte. Les sensations que ressentait San étaient-elles, qu'il avait du mal à reprendre le cours normal de sa respiration qui c'était accélérer.

Wooyoung, dont le regard, c'était arrêter sur les lèvres de San, ne put contenir une minute de plus ce besoin enivrant. Il saisit la nuque de San, qui se laissait porter par la fougue du plus jeune et captura d'un geste plein de fougue les lèvres de son amour, en faisant glisser sa langue contre la sienne. La chaleur, la douceur de ce contact était intense, incroyablement ensorcelantes.

Wooyoung, se plaça à califourchon sur le plus vieux, en glissant ses mains sous son tee-shirt, la chaleur de sa peau, réchauffait ses mains froides. San, qui releva son buste, retira au passage son tee-shirt qui l'étouffait, suivi par Wooyoung. Les deux hommes, étaient l'un face à l'autre, la respiration entre couper et dont les caresses de ce souffle chaud et puissant, accentuaient encore plus leur désir. Wooyoung observait le corps de San, qui était sculpté avec grâce et harmonie, sa peau était lisse, légèrement luisante à cause de la transpiration. Le plus jeune glissait ses doigts sur cette peau qui brûlait tout ses sens, suivant les gouttelettes qui perlaient sur ce corps qui ne le laissait pas insensible, avant de s'arrêter à la barrière de son pantalon.