My f*cking brother.

I hate you .

Je me réveille ce matin avec un mal de crâne pas possible , je suis en plein milieu du lit et je n'ai même pas la force de me lever. Je tourne la tête vers le mur en insultant Mila dans ma tête. Elle m'a entrainée avec elle pour boire.

Oh. Je me lève finalement 10 minutes plus tard et met ce qui me semble être une eternité à descendre les escaliers. J'entre dans la cuisine et mes yeux s'écarquillent quand je vois Zayn assis à table , torse nu. Je l'avais complètement oublié celui là. Je me fais un chocolat en ignorant son  regard noir sur moi. Merde. Merde , merde et encore merde.

-C'est bon , tu as décuvé ? , il me demande.

Je ne peux m'empêcher de penser que sa voix est attirante le matin , rauque et lente. Masculine. Je secoue la tête pour reprendre mes esprits et vais m'asseoir face à lui. Des fois j'aimerai ne plus pouvoir penser.

-Oui , merci.

Il rigole ,l'air moqueur et je passe la main sur mon visage. Je lui lance un regard des plus noirs et soupire longuement pour pouvoir me calmer un minimum.

Je voulais me lever pour prendre un médicament contre mon mal de tête mais cela lui donnerai une raison de de moquer de moi et ca , j'en ai pas envie. Je supporterai pas ça dès le matin.

-Tu m'as sauté dessus pendant que je dormais et tu te permet de me regarder comme ça ? , il me lance l'air amusé.

Ouais je suis chez moi bordel. Je fais ce que je veux.

-Bah désolé pour hier , je savais pas.

Il haussa un sourcil en souriant toujours.

-T'aurai pu faire attention., dit il calmement.

Oh putain , il m'énerve. Bien qu'à la base il m'énervait déjà , son sourire en coin et ses regard moqueurs me rende folle.

-Eh , écoutes , ferme ta gueule , j'me réveille.

Il se lève et je me lève à mon tour pour me retrouver face à lui.Il veut me mettre un coup de pression ? Pas de problèmes Zayn. Je n'ai même pas peur de toi.

Il attrape mes poignets et les serre avec force. Je grimace et tente de  repousser , inutile de dire qu'il est beaucoup plus fort que moi. Je commence a avoir vraiment mal aux poignets et mes larmes menacent de jaillir .... Il ne bouge pas d'un pouce. Son expression me fait clairement comprendre qu'il est enervé et , au fond , j'ai un peu peur.

-Ne me parle jamais comme ça, je suis pas ta mère moi.

-Lâches moi , crachai-je.

-C'est clair ?

-Mais dégages ! , je hurle de plus belle.

Il me lache en me poussant violemment et mon dos claque contre le réfrigérateur. Il jette sa tasse dans l'évier et je suis étonnée qu'elle ne se brise pas en milles morceaux, elles sont plus résistantes que je le pensais. Je grimace de douleur et, ma fierté prenant le dessus, je ne peux pas m'empêcher de l'ouvrir et de me rapprocher de lui à nouveau.

-Tu interviens dans ma vie , comme ça et tu te permet de me faire des rêflexions ? C'est pas avec ta gueule d'ange et tes sourires en coin que tu vas faire partie de la famille ! , je hurlai.

Nos fronts se collèrent et nos hurlements se mélangèrent.

-Tu crois que j'ai voulu intervenir dans ta putain de vie à la con ? J'aurai préféré que ma mère ne meurt pas et ne jamais te recontrer hein ! , il vociféra.

Je me décolle de lui lentement ou sinon je vais lui faire manger le sol.

- Je te hais ! Tu n'es qu'un... Un ... Un imbécile , idiot bien trop sûr de toi !

Je commence à avoir mal à la gorge à force de lui hurler dessus ainsi. D'ailleurs, je sens une larme de rage couler au coin de mon œil droit. Je l'essuie du revers de ma main en reniflant.

-Tu ne me connais même pas ! , répliqua t'il en hurlant lui aussi.

Je me tût durant un long moment, il avait raison. Mais je refuse catégoriquement de l'admettre, j'ai une fierté tout de même. C'est pas croyable ça.Il me sourit en coin, conscient qu'il a gagné cette petite bataille.

Puis je reprend mon calme en le défiant toujours du regard. Heureusement que mes parents ne sont pas là parce que , je me ferai fais arracher les yeux à force de crier ainsi. Rien que quand je chante je me fais engueuler.

-Tu n'es et ne sera jamais mon fucking frère.

Il se raidit instanément, me regarde un instant et j'ai l'impression que ce moment dure une éternité. Son visage est neutre, impassible, et je ne sais pas si il a envie de m'étrangler ou d'exploser de rire. Je ne saurai même pas dire si il m'a entendu tellement il a l'air éteint. Il sort de la cuisine et je soupire de soulagement. Il n'a pas hurlé, ne m'a pas frapper et ne m'a pas insulter de nouveau.
Je me rasseois et boit mon chocolat en fixant un point invisible. Je suis une imbécile profonde.

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Bonjour/Bonsoir !
Je tenais a dire a toutes les directioners qui lisent ma fiction qu'elles peuvent venir me parler en privé... Si elles ont besoin de se confier à propos des évenements de ces derniers jours. Je suis moi même, pas bien du tout.

Je continua mes fictions, avec du mal tout de même. Je ne vous cache pas que ce chapitre était écrit avant leur annonce, je n'ai fait que le rallonger. Merci et bonne lecture.