Chapitre 2

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Ce jour là commencé comme tous les autres. J'étais partie dans mon bus qui me conduisait à mon collège. Je me suit assise et j'ai eu une révélation ! Je me suis dit que je pourrais rechercher et traquer là où les personnes qui avaient tué mon père. Je voulais les humilier à mon tour et je gardais cette volonté toujours au font de moi.

Au bout de quelques minutes, j'étais arrivée devant mon collège, je m'en souviens parfaitement. J'ai marché jusqu'à la porte d'entrée et un groupe de personnes populaire se sont dirigées vers moi. Je les ai reconnues : ce sont les personnes qui m'insuitent quotidiennement, je les surnomme le groupe de "cons".

Je me suis dépêchée de rentrer dans ce collège moche (cette école ressemble à une épave).

"Hey" dit une des filles qui est dans le groupe qui m'humilie.

Je l'ai regarder, puis j'ai regardé son groupe et je suis partie. J'entendais ses insultes à 50 mètre de distance. Elle n'a pas dû apprécier mon vent, mais moi en revanche j'étais très satisfaite.

Durant les cours, personne n'était concentré en même temps. C'était la fin des cours, les élèves ne pensaient plus qu'à une seule choses : "Dans une semaine, c'est les grande vacances". On avait aussi commencé à l'oublier. À ce moment là, ça faisait 10 moins que mon père était mort, mais je ne m'en étais toujours pas remise : j'étais en colère et aussi un peu triste mais surtout en colère non pas que mon père sois mort, non... Mais de l'humiliation qu'il a dû subir. C'est ça qui me mettait en colère. Même s'il était mort, il avait droit au respect : on ne devait pas l'hulier pas de cette façon !

La sonnerie retentit. C'est une musique douce mais on l'entend bien. La plupart des élèves courent pour aller le plus rapidement à la cantine.  J'aime toujours analyser ce genre de spécimens. Ils se conduisent comme des animaux, je pense que leur cerveau reptilien resurgit, attiré par la nourriture, c'est compréhensible.

Arrivée devant la cantine, je prends un plateau qu'on nous distribué à chaque repas, puis je prends de la nourriture et trouve une petite table. Seule la nourriture me tenait compagnie.

Je commence  à manger jusqu'à ce que "Mise Rabat-joie" me rejoigne, elle et son groupe, et une personne assez musclée. Toujours plus courage, on ne change pas une équipe qui gagne !

"Alors ? Tu m'as oubliée ?" Me dit-elle avec un ton provocateur.

Je souffle pour ne pas lui donner un point dans la face.

"Non, je ne t'ai pas oubliée.

- Tu m'as fait un affront !

- Tu sais ce que ça veut dire ?" Répondis-je d'un ton narquois.

Son groupe commence à rire, sauf elle bien évidemment. Au fond, ils ne sont pas méchants. Ils suivent juste une meneuse. Et puis certaines personnes se sont excusées de me faire subir ce harcèlement et sont parties du groupe. Mais beaucoup restent par peur de perdre des amis. De plus notre cerveau cherche à faire partie d'un groupe, et cette volonté est énormément présente à l'adolescence, plui on accepté les règle du groupe. Moi aussi je voulais avoir des amis.

Des amies, des vrais amis... Où ça se trouve ? Pensais-je.

J'avais presque oubliée qu'elle était là parce que j'étais plongée dans mes pensées, enfin je l'ai oubliée jusqu'à ce qu'elle me renverse mon verre d'eau sur la tête.

"Hé ? Tu m'écoute ?

- Non, mais merci, ça rafréchie ! Pour la première fois je lui ai souri sincèrement.

- Ok. Je ne t'ai pas encore présentée mon copain ?" Dit-elle tout en montrant le garçon musclé.

Je sais pas pourquoi mais là je le sens pas... J'avais raison.

"Tu sais t'es pas obligée Marine... Dit un garçon du groupe, sur un ton timide.

- Tu peux pas te faire deux minutes ? À non je commend mieux, tu veux que je ruine ta réputation ?

- Non... Fait comme si j'avais rien dit... Une fille lui tapote l'épaule gauche pour le réconforter.

- Bon ! Tu peux y aller chouchou !"

Je me prends une droite dans la joue, j'aurais pu l'esquiver mais seulement en légitime défense donc je me retrouve parterre. Il continue de me frapper de partout, je saigne du nez, mon œil gauche enfle pour commencer à former un coquard.

Légitime défense... C'est quoi la légitime défense ? Je dois me défendre mais... Est-ce légitime ?

"Bah quoi ? Papa n'est plus là pour te défendre ?" Ricanât-elle.

Je me suis relevée avec un sourire aux lèvres. Marine arrêta soudain de rire. Son "Chouchou" a réessayer de me frapper mais je lui avais fait une clé de bras.

"Arrête tu me fais mal ! Gémis-t-il.

-  Toi aussi tu m'as fait mal, mais je ne me plains pas !" Dis-je avec un ton neutre.

J'avais commencé à relâcher la pression, puis j'ai tourné son bras, d'un coup sec. Après avoir entendu un craquement, il hurla de toute ses forces.

"Salé @#~^'°$ ! Tu m'as cassé le bras !

- Tu crois ? Dis-je avec un sourire jusqu'aux oreilles.

- T'es folle, ma pauvre...

- Marine tu ne t'es jamais dit qu'il ne fallait pas m'énerver ? Et ça vous amuse de filmer une personne en train de se faire tabasser ? Ho ! Non, j'oubliais vous êtres trop bêtes pour avoir la présence d'esprit d'aider cette personne !"

Les cours se sont finis sur cet incident, j'ai été renvoyée du collège. Le pire dans cette histoire c'est que j'ai été rendue responsable d'avoir cassé la bras de cette armoire à glace, et lui il n'a rien eu ! Marine a eu un rapport. Comme j'ai aussi été la victime, j'ai seulement dû m'excuser auprès de Marine et de... J'ai oublié son nom. On m'a aussi dit que ma mère allait recevoir un mail sur ce qu'il s'était passé. J'étais ravie ! J'avais déjà mal de partout pas la peine d'enfoncer me couteau dans la plaie avec les leçon de bonne conduite de ma mère, de plus je serai privée de sortie, d'écrans...

Comment je vais faire pour trouver l'homme qui a tué et humilié mon père...

FolleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant