CEDRIC DIGGORY FANFICTION.
« Julia Lorelai n'aurait jamais pensé que sa sixième année à l'école de sorcellerie poudlard serait aussi mouvementée et Cedric Diggory, son meilleur ami, non plus. »
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
MAUREEN'S NOTE;
qklejfhskfhkdsjhf j'aime, et tu sais à quel point j'admire cette oeuvre ldkfjs
23rd February 1994;Hogwarts.
— vous saviez que pendant une noyade on retient notre respiration jusqu'à perdre conscience ? Questionna Julia en posant ses coudes sur le bureau de Dumbledore tout en le fixant avec insistance. Ça s'appelle l'apnée volontaire.
Dumbledore haussa les sourcils à travers ses lunettes en demi cercle, le mage ne comprit pas où la blonde vénitienne voulait en venir.
— Ça veut dire que vous avez beau être terrorisé, votre instinct de survie est tellement puissant que vous gardez la bouche fermée jusqu'à que vous ayez l'impression que votre tête va exploser. C'est quand vous laissez l'eau rentrer que vous arrêtez de souffrir, c'est là que la peur s'arrête et que tout devient paisible. Même la magie ne pourrait pas y remédier Professeur.
— Et si vous retenez votre respiration jusqu'au tout dernier moment Miss Lorelai, qu'est-ce qu'il se passerait si vous décidiez de ne pas ouvrir la bouche? De ne pas laisser l'eau entrer? Demanda le vielle homme en regardant la jeune femme dans les yeux.
Julia soupira;
- On est obligé de laisser entrer l'eau Monsieur, c'est un reflex et comme je vous l'ai dit même la magie n'a aucun pouvoir sur ça. Expliqua-t-elle en commençant à perdre un peu patience.
Il esquissa un bref sourire.
- Mais si vous retenez votre respiration un peu plus longtemps jusqu'à que ce réflexe se déclenche, ça pourrait être suffisant pour vous faire remonter à la surface?
Julia retomba net dans son fauteuil.
- Je ne prendrai pas le risque. Lâcha-t-elle de but en blanc avant de plisser les yeux en prenant un air vraiment sérieux. On parle quand même du Lac Noir, en plein milieu de sirènes sanguinaires et de tout ce qui ne ressemble pas à de l'air! C'est à dire de l'eau!
Elle marqua une pause avant de reprendre ;
- Pensez au moins aux champions! S'énerva Julia. Je n'ai aucun problème avec le fait d'aider mon copain en me portant volontaire mais je ne prendrai pas le risque.
- si ça n'aurait tenu qu'à moi j'aurais arrêté ce tournoi depuis plus longtemps que vous ne le conservait. Pensez-vous vraiment que ça me fait plaisir d'envoyer deux de mes élèves dans ce genre jeu où la seule issue possible est la mort? Eh bien écoutez, non. Mais j'essaye de relativiser ! C'est ce qu'on fait tous !
Il marqua une pause et se tourna vers elle;
- s'il vous plaît, c'est la seule chose que je vous demanderai..
La jeune femme se pencha vers le mage et le regarda dans les yeux, elle n'avait jamais fait ça, et ça serait sûrement la seule fois qu'elle le ferait. Certes, risquer sa vie pour la personne qu'on aime c'était la plus belle preuve d'amour de l'aimant vers l'être aimé. Mais la vraie question que Julia se posa, la vraie question qu'en réalité tout le monde devait se poser, était en valait-il vraiment la peine? Et bien là réponse était oui, Cedric en valait tellement la peine. Et oui elle était prête à risquer sa vie pour lui, dans le seul but de lui offrir un moment de gloire, son moment de gloire.
Parce qu'elle savait; elle savait que s'il gagnait il considérait sa victoire comme la leur. Parce que ses victoires étaient sienne et ce comme pour les défaites. Ils étaient partenaires, coéquipiers, âmes-soeur.
Ils étaient tout.
Julia et Cedric.
Les deux âmes-sœur.
Julia posa son regard bien veillant sur son directeur et dit les mots qui par leur insignifiance voulaient en réalité dire beaucoup plus de chose que rien.
- comme vous le dites si bien monsieur, il faut savoir trouver la lumière même dans les moments les plus sombres.
Il sourit, reconnaissant l'une de ses maximes préférées. D'ailleurs, Dumbledore n'avait jamais compris pourquoi les gens aimaient tant s'attarder sur ce qu'il disait alors que, lui même ne comprenait pas un traitre mot de ce qu'il disait. À chaque fois, il les laissait dans une totale incompréhension qui les menaient à méditer sur la phrase du vielle homme.
- j'accepte. Souffla la loyale gryffondor en se levant.
- très bien, nous nous reverrons donc demain à la première heure.
