Massimo&Valentina 2

Adieu papa.

6 ans plus tard...

Je passe les portes de la prison et cette fois ci pour en sortir libre. J'ai était libérée avec effet immédiat, je comptais purger ma peine jusqu'au bout mais les années que j'était censée passer en prison on pris une autre tournure.

Je monte dans la berline noir qui m'attend devant la prison.

- Comment tu te sens ? 

- La sortie de prison c'était obligé Nick ?

- On est obligé Valentina, ton ex mari doit très certainement te faire suivre et guetter ta sortie, on a laissez des échos se faire, ton jugement à était fait ce matin.

- Et qu'est ce que vous avez trouvé pour me faire libérer ?

- Ta bonne conduite et des faux témoignages comme quoi tu est innocente, que les preuves fournis venait de toi pour te faire inculper.

- C'est vous qui trouvez les preuves pour me faire tomber mais au final c'est moi qui ait tout inventée, c'est quand même drôle... dis je avec ironie.

- Nous t'avons formé pour être un soldat d'élite, nous attendons de toi que tu nous rejoignes après l'enterrement de ton père, prend le temps qu'il te faut avec ta famille mais n'oublie pas les rendez vous quotidiens c'est important, je t'ai fait acquitté pour ta peine et de combler ta punition pour être meilleure.

- Premièrement je n'ai plus de famille et secondement vous êtes venus me chercher dans ma cellule en me prenant de force pour me forcer à aller à l'armée dans le plus grand secret pour pas que la mafia sicilienne l'apprenne et fasse une guerre.

La voiture s'arrête devant un hôtel.

- Tu voulais faire quelque chose de ta vie, militaire ne te vas pas si mal je trouve.

Je lève les yeux aux ciels.

- C'est mieux qu'être une prisonnière oui mais pourquoi moi ?

- Je n'allais pas te laisser moisir en prison.

- C'est pourtant ce que tu voulais Nick.

- Ton ex mari a accepté de divorcer il y 'a six ans, il ne s'est battu que les premiers temps pour toi et puis après quoi ? 

Il me tend une enveloppe, je la saisie et l'ouvre. 

- Qu'est ce que c'est ?

-Ouvre.

Je m'exécute. Des photos sont à l'intérieur, je les regardes attentivement une par une. Massimo est sur ses photos entrain de baiser la mère de son fils en levrette.

- Pourquoi tu me montres ça ? 

- Il s'est re construit alors que tu as acceptais de plonger pour lui, regarde sa belle famille.

- Tu m'as dis de plonger pour lui Nick, tu savais qu'il ferait sa et tu l'as fais quand même.

- La loyauté ne vas que dans un sens Valentina, tu le vois bien. Moi au final, je t'ai trouvé quelque chose que t'aime vraiment, non ?

- J'aime ce que je suis devenue oui, je me sent bonne dans quelque chose pour une fois mais ça ma coutée beaucoup mais tu veux que je te dise ? Avoir une famille c'est ce qu'il voulait le plus et maintenant qu'il la, je ne vais pas lui prendre.

Il hausse les épaules.

- Tu as une chambre d'hôtel pour pouvoir te changer pour l'enterrement, après sa il faudra la rendre, si tu choisis de la garder sache qu'il fouillera tout et viendra, enfin je ne t'apprend rien n'est ce pas ? 

- Je ne la garderais pas je retournerais à la réserve dès ce soir.

- Ta moto t'attendra dehors sur le parking de l'hôtel, sois prudente et garde la tête froide.

- Evidemment, je suis militaire garder mon sang froid fait partie de moi, je lui fait sourit.

- Tu reste Valentina.

Je lui met un coup dans l'épaule et sort dans la voiture, je prend la sac puis je vais chercher ma clé.

J'entre dans ma chambre et ouvre le sac, je vais me doucher puis je me prépare. Je prend l'enveloppe et regarde à nouveau les photos, Massimo entrain de baisser une autre me rend un peu nauséeuse, je me persuade depuis des années que c'est bien finit lui et moi, que maintenant il a sa vie et moi la mienne mais que voulez vous, on s'est aimés si fort lui et moi.

Je sort de la chambre et rend la clé, je trouve ma moto sur le parking comme convenu.

Le monde qui se trouve devant le cimetière m'étonne un peu j'en viens même à penser qu'il y a un autre enterrement mais quand je vois toute les voitures de luxe et les hommes en costume, pas de toute la mafia sicilienne est bien de la partie. Fais chier.

Les yeux sont rivés sur moi, le bruit de ma moto ne rend rien de discret mais je m'en moque. Je descend et enlève mon casque, j'ai maintenant les cheveux au carrée et des une belle cicatrice sur le visage je le sais que mon visage à changé ainsi que mon corp, musclée par les efforts physique que l'armée impose mais dans tout sa c'est surtout les balles qui on ôté la vie que j'ai tirée qui m'ont changés.

Ma mère et mes frères sont assis devant le cercueil , Massimo se tient derrière ma mère ainsi que toute la mafia, qu'est ce qui foute la...

J'enlève mes lunettes de soleil, je sais qu'ils me dévisagent mais je passe outre, il le faut ou leurs regards me tueront à petit feu, j'en ai tellement fais des cauchemars.

Je reste à l'extrémité d'eux, j'ai fais le choix tout comme eux ne plus les considérés comme quoi que se soit. Un jeune ado passe à côté de moi, il est très chic et quand il se positionne à côté de Massimo, c'est une évidence que c'est son fils, se sont les mêmes. En revanche quand je vois la mère arriver et passer sa main dans le dos de Massimo devant ma mère, c'est comme si une fine lame me traverser le cœur, je refoule mes émotions. Je détourne le regard de cette scène surréaliste, comme ma présence à cette enterrement d'ailleurs.

Je remet mes lunettes comme si c'était un bouclier, un bruit de moto que je connais trop bien à arrive. La moto se gare à côté de la mienne et Kayz viens vers moi, Kayz c'est mon partenaire à l'armée comme dans la vie, il m'accompagne dans chaque étape de ma vie.

-Salut.

Il m'embrasse sur le front.

- Nick m'a dit que tu serais la, je pensais pas que tu y serais.

- Moi non plus.

- C'est ton ex mari qui est entrain de me buter du regard la ?

Je regarde Massimo, la haine dans ses yeux fais froid de le dos.

- C'est lui oui avec sa femme son fils et ma famille, enfin ce qu'il en reste je me fais aussi tuer du regard.

- On devrait pas tarder en tout cas, ils vont pas nous laissaient repartir vivant.

Il a raison, je m'avance vers le cercueil ouvert, mon père parait apaisé pour une fois. Je dépose une photo de lui et moi quand j'était petite avec une lettre qui dit que je lui pardonne d'avoir était un mauvais père durant toutes ses années.

- Je t'aime papa, repose en paix maintenant.

Je lève ma tête et inspire, allez Valentina tu peux le faire, je souffle.

Je me tourne face à ceux qui me dévisage, pince les lèvres, ils sont émus mais pas moi j'ai perdu ce côté humain et sensible depuis le coup du marteau du juge qui évoquer ma sentence et que la haine déferlée sur leurs visages.

Kayz s'approche de moi et me tend mon casque.

- On y vas. 

Ma mère se lève et m'attrape par le bras.

- Il y a un repas chez nous juste après, vient.

La main de Kayz se presse, je sais ce qu'il veut me faire passer. Sans aucun sourire ni émotions je me contente juste de ranger mes lunettes de soleil dans ma poche et de partir.